|
|
|
|
|
Le groupe Covivio a annoncé dans un communiqué le décès de son président, Jean Laurent, le 12 janvier 2023. Spécialiste de l’informatique et de la banque de détail, Jean Laurent a passé l’essentiel de sa carrière au Crédit Agricole. De 1999 à 2005, il avait dirigé la Caisse Nationale du Crédit Agricole (CNCA). Il a été l’artisan de la métamorphose du groupe à travers deux opérations majeures : I’introduction en Bourse de la CNCA fin 2001, devenue pour l’occasion Crédit Agricole S.A., et le rachat du Crédit Lyonnais un an plus tard. (L’Agefi, 16/01/2023)
|
|
|
|
|
|
|
Après avoir enregistré une année 2022 « plutôt bonne » selon les mots de son directeur général Laurent Bonnet, le Crédit Agricole des Savoie compte encore relever plusieurs défis en 2023. L'établissement souhaite devenir un acteur majeur des différentes transitions en cours. « En 2023, l’endroit où il faudra être dans le monde, c’est la France. Et en France, il faudra être dans les Pays de Savoie. Ce sont des territoires résilients qui ont toujours su s’adapter. On va tout faire pour que cela continue », a souligné le directeur général adjoint, Olivier Balima. « Quoi qu’il en soit, le Crédit Agricole des Savoie entend continuer à soutenir les particuliers dans leurs projets immobiliers. Les gens comptent sur nous et nous répondrons présents », a affirmé son président, Éric Vial. (Le Dauphiné Libéré, Jean-Baptiste Serron, 16/01/2023)
|
|
|
|
|
|
|
Le 11 janvier 2023, le Gelioc et la caisse régionale du Crédit Agricole Nord-Midi-Pyrénées ont signé une convention de partenariat visant à financer la station de tests et de commercialisation des reproducteurs de la race limousine. L’aide octroyée par Crédit Agricole s’élève à 1 500 euros par an sur trois ans. Benoît Quintard, vice-président de la caisse régionale Nord-Midi-Pyrénées, affirme que « le Gelioc effectue un travail d’avenir qui contribue à travers la sélection à mieux faire vivre les éleveurs ». (Midi Libre, C.C., 1601)
|
|
|
|
|
|
|
Le 13 janvier 2023, Crédit Agricole a fait part de la décision de son Conseil d’administration de réduire le capital social de la société. La réalisation définitive de cette réduction, par voie d’annulation de 16 658 366 actions auto-détenues représentant environ 0,5% du capital social, est intervenue le même jour. Le capital social de Crédit Agricole S.A. s’est élevé à 9 077 707 050 euros à la suite de cette annulation d’actions. (www.latribune.fr, 13/01)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Entre le 9 et le 13 janvier 2023, plus de 100 milliards d’euros de dette ont été levés par les États, les entreprises et les acteurs de la finance. Malgré la volatilité des taux des banques centrales, le marché est en progression depuis le début de l’année. Les institutions financières veulent sécuriser les fonds. Crédit Agricole fait partie des émetteurs bancaires à avoir placé plusieurs types de titres de dette dans le marché. « Les rendements offerts par les obligations émises par les entreprises et les institutions financières sont redevenus attrayants et les investisseurs ont à nouveau de l’appétit pour la classe d'actifs », explique François Villemain, responsable chez Barclays. (Les Échos, Sophie Rolland, 16/01)
|
|
|
|
|
|
|
Les 10 premiers jours de l’année 2023, 54 milliards d’euros ont été levés par les émetteurs souverains européens, contre 50 milliards seulement en 2022, à la même période. Parmi les émetteurs souverains, il y a l’Italie, la France ou encore la Belgique. Selon Cyril Regnat, expert chez Natixis, les États ont d’importants programmes de financement pour 2023, d’où la hausse des emprunts. « Nous voyons revenir les trésoreries des banques avec des tailles significatives, ce qui confirme qu'elles trouvent les valorisations actuelles des dettes souveraines attractives », constate Benjamin Moulle, responsable chez Crédit Agricole CIB. Face aux incertitudes de la stratégie monétaire de la Banque centrale européenne (BCE), cette situation pourrait ne pas durer. (Les Échos, Guillaume Benoit, 16/01)
|
|
|
|
|
|
|
Entre 2013 et 2022, les six grandes banques américaines, JPMorgan, Bank of America, Wells Fargo, Citigroup, Goldman Sachs et Morgan Stanley, ont engrangé un montant record de 1 000 milliards de dollars de bénéfice, d’après l’agence Bloomberg. Durant cette période, marquée par une succession de crises, notamment celle du coronavirus, elles ont largement bénéficié du soutien de l’État américain. JPMorgan est l’établissement qui a le plus gagné avec 297,3 milliards de dollars de bénéfice. En 2022, les revenus annuels du groupe se sont élevés à 128,7 milliards, en hausse de 5,8% par rapport à 2021, selon ses résultats publiés le 13 janvier 2023. Son bénéfice net a atteint 37,7 milliards de dollars, en recul de 22%. Pour 2023, les banques américaines ont décidé d’accroitre leurs provisions et de réduire leurs effectifs, afin de se préparer à une éventuelle récession. JP Morgan a décidé de mettre de côté 1,4 milliard de dollars. Bloomberg indique que Goldman Sachs prévoit, pour sa part, de supprimer 3 200 postes dans le monde, soit 6,6% de ses 48 500 salariés. (Investir - Le journal des finances, J. -L. C., 14/01 ; Le Figaro, Danièle Guinot, 14-15/01 ; Les Echos, Solveig Godeluck, Romain Gueugneau, 16/01)
|
|
|
|
|
|
|
|
PRODUITS / MÉTIERS / ACTIVITÉS BANCAIRES
|
|
|
|
|
|
|
Alors qu’une hausse du taux d’intérêt du livret A à 3,30% était attendue, celle-ci ne passera finalement qu’à 3% au 1er février 2023, contre 2% actuellement, comme l’a annoncé le ministre de l’Économie Bruno Le Maire ce 13 janvier 2023. « Les sommes placées sur le livret A servent aussi à financer les emprunts de ceux qui achètent leur maison ou leur appartement, les investissements des collectivités locales, des PME, des TPE. II faut trouver le bon équilibre entre la protection de nos compatriotes contre l'inflation et la nécessité de protéger les emprunteurs et les investisseurs », indique le locataire de Bercy. De son côté, le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau confirme qu’un taux trop élevé « serait très défavorable » au secteur du logement social pour la cohésion sociale et l’activité économique de la France. (Le Figaro, Jorge Carasso et D.G., 14-15/01 ; Le Parisien, Maxime Gayraud et Victor Tassel, 14/01)
|
|
|
|
|
|
|
BNP Paribas a annoncé qu’elle allait étendre ses activités de vente de produits et services en Floride. Elle a en effet déclaré avoir signé un bail d’une durée de sept ans pour l’implantation d’un nouveau bureau sur Brickell Avenue, le quartier financier de Miami, dès fin 2023. Elle accueillera sur place une cinquantaine de salariés de la division « Global Markets ». « La réflexion a commencé il y a 18 mois, pendant la crise du Covid, lorsqu’il est apparu clairement que les fonds spéculatifs, les gestionnaires d’actifs et les institutionnels s'installaient en Floride. C’est une tendance qui va probablement se poursuivre et il est important pour nous de pouvoir traiter en face à face avec nos clients », commente Joe Bonnaud, chef adjoint de la division Global Markets America. La pandémie de Covid 19 aurait accéléré les migrations des banques vers la Floride, avec notamment une vague d’arrivées d’institutions financières et technologiques depuis New York et la Californie. (Les Échos, Véronique Le Billon, 16/01)
|
|
|
|
|
|
|
Le 12 janvier 2023, JP Morgan a fermé le site internet Frank, acheté en 2021. D’une valeur de 175 millions de dollars, la start-up avait prétendu avoir 4,265 millions d’utilisateurs. En décembre 2022, JP Morgan a porté plainte contre la fondatrice, Charlie Javice et un dirigeant de la fintech, pour création de faux comptes utilisateurs. Il s’agit de près de 4 millions de faux comptes, soit plus de 90% des comptes utilisateurs. Avec cette affaire, les experts remettent en question la discipline financière de JP Morgan. Pour rappel, le dirigeant de JP Morgan, Jamie Dimon, a annoncé 15 acquisitions depuis 2020. (Les Échos, Julia Guerin, 16/01)
|
|
|
|
|
|
|
La hausse des taux d’intérêt s’est accentuée depuis le deuxième semestre 2022. Les crédits aux entreprises ont été multipliés par deux en moyenne, et dépassent même la barre des 3%. Cette augmentation aurait des impacts sur l’activité des entreprises, notamment dans le secteur de l’immobilier. « Le marché est un peu grippé, car les vendeurs qui ne sont pas pressés de vendre préfèrent attendre plutôt que de baisser leur prix », précise Philippe Graziani, directeur général France de GLP, gestionnaire d’actifs spécialisé dans la logistique. « C’est problématique pour les entreprises. Car cela s’ajoute à d’autres hausses de coûts, comme ceux de l’énergie, mais aussi aux reprises du recouvrement des créances de l’Urssaf, ou encore au remboursement des PGE », les prêts garantis par l’État consentis pendant la période Covid, analyse Denis Le Bossé, président du Cabinet ARC, spécialiste du recouvrement de créances. De son côté, Bpifrance indique qu’ « un tiers des TPE et PME citent le coût du crédit comme un frein à l’investissement, contre seulement 10% il y a un an ». (Les Échos, Elsa Dicharry, 16/01)
|
|
|
|
|
|
|
Après une période post-Covid dynamique, l'industrie du capital-investissement stagne depuis le second semestre 2022 en raison de l'inflation, de la pénurie de matières premières et d'énergie, de la hausse des taux d'intérêt et des difficultés de financement. Le marché du private equity voit le nombre d’opérations diminué. « Depuis septembre dernier, nous constatons une baisse des levées de fonds, quels que soient les segments de nos adhérents. Cela va probablement persister sur les mois qui viennent », a indiqué Claire Chabrier, directrice associée d’Amundi Private Equity Funds. (Option Finance, Sahra Saoudi, 16/01)
|
|
|
|
|
|
|
En dépit du contexte incertain actuel, en raison de l’inflation persistante, les PME et ETI arrivent à garder le cap. Dans le cadre de l’évènement Les Rencontres M&A 2022 by Option Finance, plusieurs personnalités, dont Guillaume Queyrat, directeur d’affaires chez Crédit Agricole Midcap Advisors, ont échangé sur la possible croissance des PME et ETI grâce aux fusions-acquisitions. « Le marché est structurellement toujours animé dans la mesure où certaines entreprises, souvent très incarnées par leur dirigeant partant à la retraite, sont à vendre », explique Guillaume Queyrat. Selon lui, « les typologies de financement restent relativement classiques ; par conséquent, les valorisations restent raisonnables ». Un constat partagé par les autres acteurs, notamment Bernard Cendrier, directeur associé chez In Extenso Finance & Transmission. « Les questions qui vont se poser prochainement sont celles de la continuité d’accès au crédit. Au-delà des contingences économiques actuelles, une raréfaction du crédit pourrait représenter un frein sur ce segment d’activité », selon Guillaume Queyrat. (Option Finance, 16/01)
|
|
|
|
|
|
|
|
ESG ET TRANSITION ENVIRONNEMENTALES ET SOCIÉTALE
|
|
|
|
|
|
|
Lors d’une table ronde consacrée aux rôles des banques centrales, à Stockholm, en Suède, Isabel Schnabel, membre du directoire de la Banque centrale européenne (BCE), a annoncé, le 10 janvier 2023, qu’il faut agir sur le stock de dette détenu par l’institution, pour faire face aux enjeux climatiques. D’après elle, la politique actuelle de la BCE ne permet pas de « garantir une trajectoire de décarbonisation compatible avec la neutralité carbone de [ses] opérations d’ici à 2050 ». Isabel Schnabel souhaite que la banque « gère activement son portefeuille obligataire », afin d’alimenter la croissance des financements consacrés à la lutte contre le réchauffement climatique. Selon Larissa Fritz, de Bloomberg, « cette annonce aura forcément un impact particulièrement négatif sur les spreads, pour les émetteurs qui n’ont pas de potentiel de transition énergétique ». (Les Echos, G. Be., 16/01)
|
|
|
|
|
|
|
Dans l’acronyme ESG, les piliers de la gouvernance « G » et de l’environnement « E » dominaient dans les analyses extrafinancières des gérants. Ce n’est que durant la pandémie que « les sujets sociaux se sont retrouvés sur le devant de la scène », relève Jean-Philippe Desmartin, directeur de l’investissement responsable chez Edmond de Rothschild Asset Management. Le « S » est également « indissociable de la transition énergétique », ajoute Jean-Jacques Barbéris, directeur du pôle clients institutionnels et ESG chez Amundi. D'ailleurs, la société expérimente « une nouvelle méthodologie pour intégrer » dans son analyse « la question de la transition socialement juste », a-t-il souligné. (Option Finance, Séverine Leboucher, 1601)
|
|
|
|
|
|
|
Les critères RSE/ESG jouent aujourd’hui un rôle important dans l’appréciation des risques extra-financiers d’une opération de fusion-acquisition ou Mergers & Acquisitions (M&A). Les corporates ainsi que les fonds de private equity prennent en considération ces nouveaux enjeux. Crédit Agricole CIB dispose notamment de grilles de mesures d'impact détaillées pour les deals sensibles, y compris au stade des due diligences. « II faut être proactif, et avoir autour de la table des conseils sensibilisés et équipés dans ce domaine », commente Jean Bel, head of greentech de Crédit Agricole CIB. Françoise Gintrac, associée chez PwC France et Maghreb souhaite que la réglementation Disclosure aide le monde du M&A « à mieux apprécier la valeur des entreprises, mais aussi à regarder la valeur apportée par toutes les parties prenantes d’une entreprise ». Jean Bel souligne l’intervention des compétences de différents secteurs dans ces transactions. (Option Finance, 16/01)
|
|
|
|
|
|
|
Face aux extinctions massives des espèces, plusieurs nations comptent préserver le matériel génétique de la vie sauvage et domestique avec la création des banques cryogéniques animales. « On est là devant un impératif scientifique », indique l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Classé en danger critique d’extinction par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), le léopard d’Arabie figure parmi les animaux sauvages menacés. Selon les scientifiques, plus d’un million d’espèces animales ou végétales pourraient encore disparaître avant la fin du siècle. (Les Échos, Paul Molga, 16/01/2023)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Le 9 janvier 2023, le commissaire européen à l'Agriculture, Janusz Wojdechowski, a exprimé devant les eurodéputés de la Commission de l’Agriculture son inquiétude face à l’impact de l’inflation sur le budget de la politique agricole commune (Pac). En octobre 2022, le think tank Farm Europe avait estimé que la valeur du budget de la Pac rétrécirait de 84,57 milliards d’euros en termes réels au cours de la période 2021-2027, par rapport à 2020. D’après les chiffres avancés par le commissaire européen, la valeur de la production agricole européenne a bondi en raison de l’inflation, passant de 440 milliards d’euros en 2021 à 536 milliards en 2022. « Ce montant n’aura donc pas un impact sur les revenus des agriculteurs, comparable à celui des années précédentes », alors que leurs tâches sont multipliées, déplore Janusz Wojdechowski. La Commission européenne envisage de réévaluer l'enveloppe budgétaire agricole dans le cadre de l'examen à mi-parcours du budget 2021-2027, prévu en 2023. (Agra Presse, AG, 16/01/2023)
|
|
|
|
|
|
|
Selon une étude de l’Insee, la surface agricole a diminué de 1 827 hectares entre 2011 et 2021, au Pays basque, quand la population a augmenté de plus de 5% entre 2014 et 2020. Face à la situation, la Communauté d'Agglomération Pays Basque (CAPB) vient de décider de mesures inédites afin de « moraliser les prix de vente des terres agricoles ». La collectivité prévoit de charger la Safer de préempter en son nom et de manière systématique les terrains dont le prix excède les valeurs de référence. (Les Echos, G. Be., 16/01)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
En Europe, l’économie déjoue les prévisions et continue de résister à l’inflation et aux conséquences de la guerre en Ukraine, grâce au soutien des gouvernements. En novembre 2022, la production industrielle dans la zone euro a bondi de 1% et le taux de chômage s’est établi à 6,5%, soit son plus bas niveau historique. Cette bonne dynamique est appelée à se poursuivre en 2023 avec la fin de la politique « zéro Covid » en Chine. L’économie chinoise devrait repartir et soutenir l’exportation européenne. Brian Coulton, chef économiste de l’agence de notation Fitch Ratings, prévient toutefois que l’augmentation de la consommation chinoise risque d’entrainer une envolée des prix des matières premières au cours des deuxièmes et troisièmes trimestres 2023 et une progression de l’inflation. Dans une interview, Ambroise Fayolle, vice-président de la Banque européenne d’investissement (BEI), estime que l’Europe doit plus que jamais investir pour sa souveraineté industrielle. Selon lui, il faut encourager les acteurs de l’industrie à innover, en les accompagnant via « la combinaison des ressources du secteur public et du secteur privé ». (Le Figaro, Florentin Collomp, 14-15/01 ; Le Figaro, Marie Visot, 14-15/01 ; Les Echos, Guillaume de Calignon, 16/01)
|
|
|
|
|
|
|
Outre les prix de l’énergie, l’inflation touche de nombreux produits de la vie quotidienne, comme ceux de l’alimentation. Les fruits surgelés ont connu les plus fortes hausses de tarifs, avec une augmentation moyenne de 25% depuis un an, selon l’Insee. Les huiles alimentaires enregistrent également une forte hausse des prix de 58,6% sur un an, en raison des effets de la guerre en Ukraine. Agnès Bénassy-Quéré, chef économiste de la direction générale du Trésor, note qu’« en 2023, un des principaux moteurs de l’inflation devrait être la hausse des salaires, laquelle pourrait dépasser 6% sur un an, selon la Banque de France ». « Cette hausse des salaires nourrira à son tour la hausse des prix ». Le renchérissement du coût de la main-d’œuvre favorise aussi une inflation dans les services. (Le Figaro, 14-15/01)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Synthèse réalisée par Cision-L'Argus de la Presse
|
|
|
|
|
|
|
Document réalisé avec l'autorisation du CFC.
Il est interdit de diffuser ou redistribuer, sous quelque forme que ce soit, tout ou partie de ce document.
|
|
|
|
|
|
|