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Dans une interview accordée au Journal du Dimanche, Philippe Brassac, directeur général de Crédit Agricole S.A., donne son point de vue sur les tensions qui se multiplient en France, entre accélération de l'inflation et mouvements sociaux. « Ce qui me frappe dans la période actuelle, c’est la grande opacité du présent, qui en devient donc anxiogène », indique-t-il. Face à cette situation, toute stratégie doit s’orienter autour des défis auxquels la France fait face, selon le directeur. Philippe Brassac parle également des missions de Crédit Agricole S.A. relatives à l’inclusion sociale. Il souligne que le groupe propose des produits bancaires pour tous les profils. (Le Journal du Dimanche, Marie-Pierre Gröndahl, 25/02)
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Les sociétaires du Crédit Agricole Centre France (CACF) sont actuellement invités à élire leurs représentants à travers la Creuse. La caisse régionale a annoncé des chiffres records avec 4,1 milliards d’euros de prêts attribués en 2022. Sur ce montant, 700 millions d’euros ont été prêtés aux agriculteurs, 350 millions aux entreprises et les restes sont des prêts immobiliers. « Cela place le CACF sur le podium des caisses régionales en France », souligne son directeur général adjoint, Jean-Claude Mazza. Pour l’avenir, « on sent un ralentissement, une prudence, mais pas d’effondrement », explique-t-il. Restant confiant pour l’économie en 2023, le CACF prévoit de continuer à recruter, après avoir attiré 171 nouveaux collaborateurs en 2022. (La Montagne, Eric Donzé, 04/03)
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Dans une interview croisée accordée à Paris Normandie, Stephane Roger et Guillaume Ducroquet, respectivement directeur Stratégie, Finances, Immeubles et Sécurité, et directeur patrimoine, Assurance et Immobilier chez Crédit Agricole Normandie-Seine, analysent la situation de l'immobilier en 2023 dans la région. Selon eux, plusieurs villes du territoire, comme Le Havre, restent « extrêmement dynamiques ». (Paris Normandie, Marie-Christine Urset, 04/03)
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Depuis le 1er mars 2023, Nicolas Denis a pris les fonctions de directeur général de Predica, de directeur général adjoint et de second dirigeant effectif de Crédit Agricoles Assurances (CAA). À ce titre, il rejoint le comité exécutif du groupe. (Les Échos, 06/03)
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Stellantis et le Crédit Agricole s’unissent pour former une coentreprise de leasing, née de la fusion entre Leasys et Free2move Lease. La nouvelle société de leasing sera présidée par Richard Bouligny, actuel directeur général adjoint de Crédit Agricole Consumer Finance et la direction générale revient à Rolando D’Arco, DG de Leasys. (Le Figaro, 04-05/03)
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Le Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE) se réunira le 16 mars 2023. L’explosion du bilan de l’institution et de ses achats de titres sur le marché sera abordée à cette occasion ainsi que l’évolution des taux directeurs. La question de l’énorme bilan de l’institution est d’ailleurs assez urgente puisque l’inflation recule moins que prévu et commence à affecter l’ensemble de l’économie. Il existe en effet plusieurs risques d’un arrêt brutal des achats de la BCE, ce qui explique la prudence de l’institution. Dans un discours sur la dimension quantitative de la politique monétaire prononcé le 2 mars 2023, la membre du directoire de la BCE Isabel Schnabel a indiqué que le stock d’actifs détenus par la BCE continuait « d’assouplir significativement la politique monétaire », ce qui entrave sa lutte contre l’inflation. (Les Échos, Sophie Rolland, 06/03)
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JPMorgan Chase & Co., affiche une rentabilité forte et régulière. Mi-janvier 2023, elle a publié un bénéfice net 2022 de 35,9 milliards de dollars, soit trois fois plus que celui de BNP Paribas. « C’est une banque bien gérée et intégrée, qui maîtrise beaucoup de métiers, et a une approche globale des grandes entreprises clientes, des crédits aux opérations de marché », explique Romain Burnand, président de Moneta Asset Management. Outre sa clientèle diversifiée et sa gestion prudente, JPMorgan Chase & Co. bénéficie depuis 2022 de la hausse des taux d’intérêt. Par ailleurs, la banque a su maîtriser les risques de crédit. (Investir-Le Journal des Finances, Jean-Luc Champetier, 04/03)
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PRODUITS / MÉTIERS / ACTIVITÉS BANCAIRES
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À chaque achat par carte bancaire, certaines banques, comme LCL, et applications, telles que Goin, Ismo ou Plum, proposent à leurs clients de mettre de côté automatiquement leurs arrondis. Cette pratique multiplie les occasions d’épargner avec le développement du paiement sans contact. LCL permet à ses clients de choisir entre arrondir leurs dépenses à l’euro supérieur ou aux cinq euros supérieurs, l’argent collecté par les arrondis est automatiquement placé sur un livret bancaire, comme le livret A ou le LDDS. « Ce service met le pied à l’étrier des jeunes qui n’ont pas l’habitude d’épargner, cela devient un réflexe, et ils peuvent bien entendu compléter par des versements ponctuels », explique Jean-Baptiste Roudillon, directeur d’épargne chez LCL. (Le Monde, Agnès Lambert, 04/03)
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Face à la hausse du taux du livret A, à 3% depuis début février 2023, les banques de réseau réagissent et augmentent la rémunération sur les comptes épargne. Le Crédit Agricole des Savoie fixe le taux d’intérêt de son livret « Fortissimo » à 4%. « Nous avons recueilli 300 millions d’euros depuis le début de l’année sur ce nouveau produit », a déclaré Ludovic Tomas, directeur marketing et responsable de l’épargne de la banque aux Échos. « Notre but est de donner un signal aux clients. Notre taux promotionnel réactive la relation de conseil et ouvre ensuite une discussion sur la meilleure façon d'allouer cette épargne, par exemple sur des contrats d’assurance vie », ajoute le dirigeant. Cette stratégie est aussi adoptée par BforBank, une filiale du Crédit Agricole. (Les Échos, Edouard Lederer, 06/03)
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La hausse des taux de rémunération de l’épargne a conduit les banques à remettre leurs liquidités au travail et à ne plus les laisser rester sur un compte courant non rémunéré. De leur côté, les trésoriers d’entreprise essayent de trouver les meilleurs placements de court terme. « Nous cherchons en permanence à aligner le trio sécurité-liquidité-rentabilité », explique Cyril Merkel, président de la commission placements à l’Association française des trésoriers d’entreprise (AFTE). Pour satisfaire leurs clients, les banques proposent les comptes et dépôts à terme, qui avaient disparu ces dernières années. Dans cette compétition, les banques mutualistes se montrent très agressives, car elles ont d’importants besoins à financer alors que le bassin local de dépôt n’est pas toujours très large. « La surprise est plutôt venue de réseaux comme BNP Paribas ou LCL qui se sont positionnés très nettement », indique David Guyot, dirigeant du courtier Pandat Finance. (Les Échos, E. Le., 06/03)
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La start-up N2F, qui développe une application de gestion des notes de frais, a bouclé un financement de 24 millions d’euros auprès de la société de « growth equity » PSG. Elle souhaite accélérer à l’international, tout en continuant à améliorer sa solution. La croissance de N2F a atteint 78% en 2022. Par ailleurs de nombreuses start-up ont également développé des modules de notes de frais. Pour sa part, Crédit Agricole a déjà ajouté des modules de notes de frais à ses nouvelles offres bancaires, destinées aux indépendants. (Les Échos, Charlie Perreau, 06/03)
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Le concept de « smart beta » se développe chez les gérants d’actifs. Reposant sur l’utilisation systématique de facteurs, il vise à mieux gérer les risques dans un portefeuille. « Dans le cadre de la gestion smart beta, une gestion active se définit comme reposant sur un modèle quantitatif propriétaire », explique Bruno Taillardat, chargé des gestions quantitatives, smart beta et factorielles chez Amundi. La société de gestion française s’appuie sur trois facteurs de risque : la « value » ou décote, la qualité et la faible volatilité, toujours selon le responsable. (Option Finance, 06/03)
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Pour accélérer son déploiement, la société Foncia, filiale d’Emeria, a rachéte près d’un cabinet de syndic par semaine en France. L’administrateur de biens a acquis 47 cabinets français en 2022. « Les premiers effets devraient avoir lieu en 2025-2026. L'idée, c’est de parvenir à générer entre 2 et 4 points de croissance organique », indique Philippe Salle, le président du groupe. Une étude de l’agence Moody’s a estimé à 25 millions d’euros par an les gains d’ici à fin 2024. Foncia affirme détenir une part de marché de 18% en France, loin devant Square Habitat, qui revendique une part de marché de 2%. (Les Échos, Emmanuel Grasland, 06/03)
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ESG ET TRANSITION ENVIRONNEMENTALES ET SOCIÉTALE
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Les entreprises de plus de 50 salariés avaient jusqu’au 1er mars 2023 pour calculer et publier leur nouvel index de l’égalité femmes hommes. Malgré cette échéance, de nombreuses sociétés n’ont pas encore actualisé leurs informations. À noter que cet index repose sur cinq indicateurs : écarts de rémunération, écarts d’augmentation, écarts de promotion, augmentations et retours de maternité, et présence des femmes dans le top 10 des rémunérations. Selon le tableau portant sur l’index égalité femmes hommes, Crédit Agricole S.A. avait affiché un score de 89 en 2022, contre 86 en 2021. (Argus Assurance Newsletter, 03/04)
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D’après le collectif Sista et d’audit Boston Consulting Group, 88% du montant total des fonds levés par les start-ups auraient été attribués à des équipes 100% masculines en 2021. Pour Solène Madec et Louise Bousquet, co-fondatrices de Leia Capital, un parterre d’investisseurs essentiellement composé d’hommes explique cette situation. Elles estiment néanmoins que cela ne reflète ni la réalité, ni la diversité des visions. D’ailleurs, les deux femmes veulent contribuer à effacer ce manque de diversité et « apporter une pluralité de regards dans l’investissement ». Comptant 14 investisseuses au moment de sa création en 2021, Leia Capital réunit désormais 30 personnalités femmes. (Le Parisien Éco, Virginie de Kerautem, 06/03)
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Les trois syndicats professionnels des énergies renouvelables, du solaire et de l'éolien ont décidé de contester devant le Conseil d'État les conditions imposées par le gouvernement pour le reversement de leurs profits. Ils demandent l'annulation d'un arrêté du décembre 2022 fixant des profits liés à la flambée des cours de l'électricité. Les énergies renouvelables devraient apporter un revenu estimé à 31 milliards pour les finances publiques, au titre de 2022 et 2023. « Nous ne sommes pas contre le principe d’une redistribution, à condition que celle-ci soit équitable, comme le prévoyait la loi de finances qui encadre le dispositif », explique Jules Nyssen, président du Syndicat des énergies renouvelables. (Les Échos, Sharon Wajsbrot, 06/03)
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D’après le cabinet Trendeo, la France a enregistré plus de créations d’usines que de fermetures en 2022, malgré la hausse des prix de l’énergie causée par la guerre en Ukraine. 80 usines ont été créées, avec 150 ouvertures et 70 fermetures. Cette résilience s’explique par la multiplication des projets et des investissements dans la décarbonation, encouragée par le soutien de l’État. Le gouvernement français compte notamment engager 9 milliards d’euros pour accompagner les projets de développement de l’hydrogène. Des « zones industrielles bas carbone », dont à Dunkerque et à Fos-sur-Mer, ont aussi été mises en place pour « soutenir financièrement le déploiement accéléré des technologies, infrastructures et réseaux nécessaires à la décarbonation ». Une loi industrie verte devrait également être présentée en avril 2023. (Le Figaro, Emmanuel Egloff, 06/03)
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Après environ vingt ans de discussions, les États membres de l’ONU ont finalisé le 4 février 2023 à New York le premier traité international de protection de la haute mer. « II s’agit d’un instrument juridique contraignant, et non pas d'une simple addition de bonnes volontés », affirme dans un communiqué le directeur des politiques internationales à la Fondation Tara Océan, André Abreu, qui qualifie l’accord d’ « historique ». L’enjeu est crucial d’autant plus que la haute mer représente 60% des océans. Au total, les États se sont engagés à mettre sur la table près de 20 milliards de dollars pour financer la protection des océans. Les États-Unis y participent à hauteur de 6 milliards de dollars, tandis que l’Union européenne a promis une enveloppe de 800 millions d’euros pour 2023. (Les Échos, Anne Feitz, 06/03)
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Craignant « une année noire pour l’agroalimentaire » et des faillites d’entreprise, le gouvernement a présenté, le 3 mars 2023, un plan doté d’un fonds public-privé de 500 millions d’euros pour soutenir le secteur. Outre son exposition à la hausse des prix de l’énergie, l’industrie agroalimentaire française souffre depuis plusieurs années d’un déficit de compétitivité. Ce fonds vise à retrouver cette compétitivité perdue. Mais comme l’État n’a pas vocation à investir tout seul, sans quoi « cela reviendrait à nationaliser » des entreprises de l’agroalimentaire, il appelle les investisseurs spécialisés, comme Idia Capital Investissement, une filiale du Crédit Agricole, Unigrains, Sofiprotéol, Cerea, FrenchFood Capital ou FnB Capital, à compléter ce fonds. Au-delà de la compétitivité, ce dernier vise à accompagner la modernisation des PME du secteur. (Le Figaro, Marie Bartnik, 04-05/03)
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Le 28 février 2023 à l’occasion d’une conférence de presse organisée par l'Office de développement de l'économie agricole d'outre-mer (ODEADOM), Joël Mathurin, directeur de cabinet du ministre délégué des Outre-Mer, Jean-François Carenco, a annoncé le report de la présentation des trajectoires d'autonomie alimentaire lors du comité interministériel des outre-mers (Ciom), prévu pour le printemps 2023. Les freins à l'autosuffisance alimentaire dans les départements d’outre-mer, notamment le foncier, ont également été évoqués à cette occasion. Pour répondre à ce défi, de nombreux groupements fonciers agricoles (GFA), détenus à 60% par des opérateurs institutionnels, dont la Safer, le Crédit Agricole, et le conseil départemental, ont été créés dans les Antilles. (Agra Presse Hebdo, MR, 06/03)
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Synthèse réalisée par Cision-L'Argus de la Presse
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