["ARGUS DE LA PRESSE"]
 
SYNTHESE DU 03/09/2020
A LA UNE
 
Le plan de relance, baptisé « France Relance » et doté d’une enveloppe de 100 milliards d’euros, sera présenté le 3 septembre. Avec ce dispositif, le gouvernement espère un retour du PIB à son niveau d’avant-crise en 2022. Ce plan est également « censé préparer la France à l’horizon 2030 ». L’exécutif cherche, par ailleurs, à stopper l’hémorragie sur l’emploi. Il espère ainsi créer, grâce au plan de relance, 200 000 emplois, l’an prochain. « Le taux de chômage devrait dépasser le seuil de 10 % dans les mois à venir. Revenir sous ce seuil à l’horizon 2022 est l’objectif », avance-t-on à Bercy. (Les Echos, 03/09)
 
 
Pour accélérer le décaissement des crédits du plan de relance de 100 milliards d’euros, le gouvernement va créer un guichet unique à Bercy. « Nous ferons le point toutes les semaines pour s’assurer que les projets avancent au rythme annoncé. Si ce n’est pas le cas, nous déplacerons les crédits vers d’autres projets », avait expliqué, la semaine dernière, le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, à l’université d’été du Medef. Avec cette organisation, le gouvernement espère pouvoir dépenser en 2021 près de 30 milliards sur les 100 milliards prévus pour l’ensemble du plan de relance, le reste étant décaissé d’ici à 2024. (Les Echos, R. Ho., 03/09)
 
VIE DU GROUPE
 
Les premiers « green bonds » de l’Allemagne ont attiré, le 2 septembre, une demande particulièrement importante, avec un livre d’ordres de 33 milliards d’euros, ce qui a permis d’émettre avec une prime de 1 point de base par rapport à l’obligation classique jumelle. Berlin a ainsi pu lever 6,5 milliards, soit environ 10 % du volume d’obligations souveraines vertes en circulation. « C’est remarquable. Cela montre que leur approche innovante séduit les investisseurs », souligne Tanguy Claquin, responsable de la finance durable chez Crédit Agricole CIB, qui a participé à l’opération. L’Allemagne a, en effet, fait le choix d’émettre à la fois une obligation verte et une obligation classique avec exactement les mêmes conditions, permettant à un investisseur d’échanger l’obligation verte contre l’obligation classique si la première affiche une décote. « Il s’agit de la première fois qu’une prime verte à l’émission peut être scientifiquement constatée, les deux titres ayant exactement les mêmes caractéristiques », précise Tanguy Claquin. Il estime d’ailleurs que « l’émission allemande va faire bouger les lignes et inciter d’autres émetteurs souverains à accélérer leurs projets d’émissions ». (L’Agefi, Xavier Diaz, 03/09 ; Les Echos, Guillaume Benoit, 03/09)
 
 
Fin juillet, l’Arabie Saoudite a signé son premier crédit vert dans le cadre de son plan Vision 2030, qui a pour objectif de réduire sa dépendance à la rente pétrolière, rapporte L’Agefi Hebdo. L’opération a été structurée par le Crédit Agricole CIB. Il s’agissait de son premier prêt vert garanti par une agence de crédit export. La banque de financement et d’investissement prévoit, par ailleurs, de développer ces solutions en matière de trade finance sur des financements à plus court terme comme des lettres de crédit. Elle a signé en mai dernier sa toute première facilité verte au profit de Siemens Gamesa Renewable Energy portant jusqu’à 195 millions d’euros, permettant au groupe espagnol de fournir sa technologie à des parcs éoliens à travers le monde. (L’Agefi Hebdo, Florent Le Quintrec, 03-09/09)
 
 
Dans une interview, Jean-Louis Bertholle, responsable capital & Innovation au Crédit Agricole Alpes-Provence et Damien Ailleret, directeur des entreprises et membre de direction de la caisse régionale expliquent pourquoi le Crédit Agricole Alpes-Provence a fait le choix d’Ecotrophelia, se positionnant en tant que partenaire à l’occasion de cette édition 2020. « C’est la première année que nous sommes présents au côté d’Ecotrophelia, un événement porteur, ambitieux qui coche, pour nous, Crédit Agricole, plusieurs cases », déclarent-ils. « Le Crédit Agricole Alpes-Provence accompagne l’innovation et l’entrepreneuriat grâce à son dispositif “Capital et Innovation” qui intervient en investissant en capital dans les entreprises à fort potentiel, mais aussi en amont, par l’octroi de prêts d’honneur », ajoutent les dirigeants. « Nous allons être des partenaires particulièrement attentifs, mais également observateurs des nouvelles tendances… Nous sommes membres du jury et prenons évidemment ce rôle au sérieux… Il y a aussi le prix spécial Entrepreneuriat coaching Village par le Crédit Agricole Alpes-Provence/The Camp », affirment Jean-Louis Bertholle et Damien Ailleret. (La Provence, 03/09)
 
ENVIRONNEMENT BANCAIRE
 
Selon une étude du cabinet Accenture, les banques européennes devraient augmenter leurs provisions de plus de 300 milliards. Ces établissements devront provisionner « entre 2 % et 2,4 % de leurs portefeuilles de crédits (…) soit près du double des abandons de créances enregistrés lors de la crise financière mondiale de 2008 », précise le cabinet. Cette prévision rejoint celle de l’Autorité bancaire européenne (ABE) qui prévoyait des pertes potentielles de 315 milliards d’euros sur les fonds propres « durs » des banques de l’Union européenne. Les banques devront, en outre, faire face à la gestion de leurs portefeuilles existants, tout en assurant l’octroi de nouveaux crédits. « Avec l’arrêt progressif des programmes publics de soutien des entreprises et des particuliers, c’est aux banques qu’il va incomber de mobiliser des capitaux supplémentaires pour absorber les défauts de crédit et continuer à financer l’économie », estime Accenture. (La Tribune, 03/09)
 
 
La crise du Covid-19 s’est reflétée de façon marquée dans les performances des banques européennes dès les six premiers mois de l’année 2020. Jean-Marc Velasque, expert Sopra Banking Software, indique que « le secteur a annoncé cet été ses plus mauvais résultats depuis 2008, sous l’effet conjugué d’une baisse des revenus, tout particulièrement dans les activités de financement et d’investissement, et d’une hausse des provisions liées aux pertes attendues sur les crédits ». Le résultat net cumulé des vingt premières banques européennes a atteint 21 milliards d’euros, un montant en baisse de près de 80 % par rapport au premier semestre de 2019. De leur côté, les banques françaises affichent un positionnement disparate, affirme L’Agefi Hebdo. Crédit Agricole a, par exemple, fait preuve de solidité et figure ainsi en 6e position en termes d’évolution du résultat net, tandis que BPCE et la Société générale ont enregistré de fortes baisses de leurs revenus et se classent au 16e et au 19e rang du Top 20 européen. (L’Agefi, Virginie Deneuville, 03-09/09)
 
 
Depuis la fin du confinement, les établissements bancaires ont adopté un certain nombre d’habitudes, notamment la généralisation du télétravail et du roulement des équipes. D’ailleurs, les réflexions sur ce sujet s’accentuent. Des négociations sont d’ores et déjà en cours dans certaines banques et pourraient aboutir à de nouveaux accords dès l’automne. « Tout l’enjeu va être de se dire qu’on entre dans un régime qui va durer des mois, jusqu’à l’adoption de vaccins, pour éviter une hausse des hospitalisations. C’est donc une nouvelle normalité (…) », explique Maya Atig, directrice générale de la Fédération bancaire française. (Les Echos, Gabriel Nedelec, 03/09)
 
 
Robin Rousseau, responsable des fusions-acquisitions de Deutsche Bank pour la zone Emea et ex-poids lourd de Goldman Sachs, rejoint Citi. Il sera en charge du suivi de grands clients industriels sur la zone Europe, Moyen-Orient et Afrique de Citi, à partir de décembre, a annoncé cette semaine la banque américaine, engagée dans l’offensive de Veolia sur Suez. Par ailleurs, Citi se classe, depuis le début de l’année, en sixième position des banques d’affaires sur le marché du M & A français. (Les Echos, Anne Drif, 03/09)
 
 
Après avoir passé la barre des 1,20 dollar, le 1er septembre, l’euro a reculé d’un coup, jusqu’à 11 830 dollars, le 2 septembre. Selon Philip Lane, chef économiste de la Banque centrale européenne (BCE), « le taux euro-dollar importe » et l’institution en tient compte dans sa politique monétaire. Une hausse de l’euro pourrait avoir un impact négatif sur les entreprises exportatrices européennes, leur compétitivité, et pourrait repousser l’atteinte des objectifs d’inflation. Par contre, elle peut être due au facteur positif selon lequel « les gestionnaires de réserves de charge des pays émergents – Chine en tête – achètent aujourd’hui moins de dollars et plus d’euros », analyse Sébastien Galy, stratégiste senior chez Nordea. Par ailleurs, la BCE n’intervient généralement pas pour dévaluer sa monnaie et se limitera à des communications. Néanmoins, un rallye prolongé au-dessus de 1,20 dollar pourrait accélérer des initiatives accommodantes ciblant l’inflation. (L’Agefi, Fabrice Anselmi, 03/09)
 
PRODUITS / METIERS / ACTIVITES BANCAIRES
 
Le mois d’août a été calme, selon les courtiers en crédit immobilier. De quoi peser sur les taux, indique l’Observatoire Crédit Logement/CSA, qui a relevé en août une nouvelle décrue légère du taux moyen du crédit immobilier, confirmant la tendance de juillet, après la remontée des taux au début de la crise sanitaire. Une étude mensuelle, qui fait référence dans le secteur, rapporte, par ailleurs, que les banques ont révisé leurs barèmes à la baisse de 1 point de base (hors rachats de crédits), à 1,24 % en moyenne, contre 1,25 % en juillet et 1,29 % en juin. Elles ont assoupli leurs tarifs « afin de soutenir la demande de crédits immobiliers », souligne l’Observatoire. Les taux n’auront donc progressé que de 13 points depuis décembre. En outre, si les réseaux bancaires ont un peu relâché leurs conditions d’octroi, avec une durée moyenne des crédits à l’habitat qui s’allonge de nouveau à 230 mois, ils restent, selon les courtiers, inflexibles sur certaines conditions, comme le plafond à 33 % du taux d’effort, recommandé il y a un an par le HCSF. (Les Echos, Eric Benhamou, 03/09)
 
RSE/DEVELOPPEMENT DURABLE
 
Les membres de la convention citoyenne pour le climat entament une rentrée chargée après une courte pause estivale. Ils doivent rencontrer une cinquantaine d’organisations pour présenter leurs 146 propositions, les expliciter et les défendre. De plus, les « 150 » devront enchaîner huit réunions de concertation au ministère de la Transition écologique dans les deux prochaines semaines. De son côté, le ministère de la Transition écologique promet de boucler, d’ici début octobre, un projet de loi qui devrait reprendre un tiers de leurs mesures et qui sera examiné début 2021 au Parlement. Par ailleurs, les citoyens n’ont pas été associés à la préparation du plan de relance du gouvernement, qui sera dévoilé le 3 septembre. « Tous les instruments législatifs sont en place pour reprendre les propositions de la convention, qu’il s’agisse du plan de relance, du projet de loi de finances ou du projet de loi d’octobre, mais il manque une volonté politique », affirme Samuel Leré, responsable du plaidoyer à la Fondation Nicolas Hulot. Il craint également que chaque mesure de la convention soit « rabaissée ». (Le Monde, Rémy Barroux et Audrey Garric, 03/09)
 
 
La Ligue pour la protection des oiseaux (LPO), les Amis de la Terre et France nature environnement (FNE), ont refusé de participer, le 1er septembre, à une réunion du Conseil national de la transition écologique (CNTE). Celle-ci était consacrée à la présentation du projet de texte entérinant la dérogation à l’interdiction des pesticides néonicotinoïdes et à une rencontre avec des représentants de la convention citoyenne pour le climat. Les ONG dénoncent « une série de régressions environnementales, le poids des lobbys agricoles et cynégétiques et le peu de cas fait aux corps intermédiaires ». Néanmoins, elles se disent toujours ouvertes au dialogue, en réaffirmant leur soutien à Barbara Pompili, ministre de l’Écologie, qui a, selon elles, largement prouvé son engagement sur ces questions dans le passé. (Le Monde, Perrine Mouterde, 03/09)
 
 
Pour Bertrand Manier, président de Solstice Groupe, « la population a pris conscience des enjeux écologiques ». Désormais, la puissance publique doit accompagner la « décarbonation » au bénéfice des générations futures en rationalisant ses modalités d’intervention. Par ailleurs, « le financement participatif apporte une réponse adaptée dans la période la plus critique des projets que représente la phase d’amorçage », explique-t-il. Actuellement, certaines plateformes de crowdfunding sont spécialisées dans le domaine des énergies renouvelables et du développement durable. « Le financement participatif permet, en somme, de réconcilier les acteurs de la transition énergétique en orientant l’épargne vers des préoccupations citoyennes et en permettant à “Monsieur Tout-le-monde” de contribuer au développement d’une économie réelle et responsable de manière simple, sécurisée et accessible », conclut Bertrand Manier. (L’Agefi, 03-09/09)
 
REGLEMENTATION BANCAIRE
 
Le 2 septembre, l’autorité fédérale de surveillance des marchés financiers, la Finma, a annoncé l’ouverture d’une enquête dite d’enforcement à l’encontre de Credit Suisse. Cette décision fait suite à l’enquête menée par le gendarme financier depuis décembre 2019 avec la révélation de la filature du banquier star Iqbal Khan, passé depuis au concurrent UBS. La procédure d’enforcement implique notamment la consultation de nouveaux documents et la réalisation de nouveaux interrogatoires au sein de la banque. Selon la Finma, « ces investigations pourraient durer plusieurs mois ». Credit Suisse a assuré de son côté qu’il « continuera de collaborer pleinement avec la Finma [...] afin de garantir une conclusion rapide et complète de l’examen de cet épisode et en tirer tous les enseignements ». (Les Echos, Romain Gueugneau, 03/09)
 
STRATEGIE DIGITALE
 
Pour redonner un nouvel élan aux acteurs du marketing digital, la start-up Smartpush a choisi de travailler avec les données bancaires. Concrètement, sa solution permet aux commerces de proposer des offres ciblées aux consommateurs, sur la base de leurs données bancaires. La jeune pousse se finance, d’une part, à travers une licence d’utilisation de la plateforme payée par les banques et, d’autre part, grâce à une commission d’apporteur d’affaires payée par le commerçant. « Les banques voient en cette plateforme un relais de croissance énorme, car elles récupèrent 1 % de chaque transaction, contre 0,25 % pour l’interchange, c’est-à-dire que notre plateforme génère quatre fois plus de revenus que le paiement », se réjouit Cédric Nallet, co-fondateur de Smartpush. Cet argument a séduit Bernard-Louis Roques, associé chez Truffle Capital. La start-up a d’ailleurs bouclé, en avril, une levée de fonds de 1,5 million auprès de ce fonds de gestion de capital-risque et de la Région Sud Investissement, à laquelle s’ajoutent 600 000 euros accordés par Bpifrance. (Les Echos, Déborah Loye, 03/09)
 
 
À l’heure de l’annonce de son palmarès annuel, le Grand Prix de l’Innovation digitale, organisé par le site Petit Web, consacre, pour sa sixième édition, des projets inédits dans l’innovation numérique et le marketing interactif. Cette édition 2020 a attiré 373 participants. Le choix des jurys s’est fait suivant deux critères : « le projet doit être inédit et apporter une valeur ajoutée réelle au public visé ». En outre, « il n’y a pas de dotation financière. Mais certains gagnants ont levé des fonds ou changé de dimension grâce aux rencontres et au gain de notoriété liés à cette compétition », précise Geneviève Petit, la fondatrice de Petit Web. (L’Obs, Stéphanie Condis, 03-09/09)
 
CONJONCTURE ECONOMIQUE
 
La France est montée à la 12e place de l’index mondial de l’innovation, publié le 2 septembre. Cet index est établi, chaque année, par l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle, l’Institut européen d’administration des affaires et l’université américaine de Cornell. Selon Les Echos, « les progrès du pays récompensent une stratégie économique constante, quels que soient les locataires de l’Élysée ou de Bercy ». Le quotidien ajoute que « l’effort de financement public des start-up via la banque publique d’investissement, renforcé par les 4 milliards d’euros d’aide fléchés vers les jeunes pousses pour les sauver de la crise postpandémie, a dynamisé la création d’entreprises innovantes et multiplié les débouchés possibles en France ». Les sociétés innovantes dans l’Hexagone profitent également du crédit impôt recherche. (Les Echos, Florian Dèbes, 03/09)
 
 
La crise du Covid-19 a fait émerger de nouvelles pratiques managériales. Selon une enquête menée en juin par le Boston Consulting Group (BCG) et l’Association nationale des DRH (ANDRH), les nouveaux modes de travail doivent évoluer vers plus d’autonomie du salarié pour 87 % des DRH, davantage de collaboration entre les équipes (59 %) et de transparence (59 %). De plus, 93 % des entreprises interrogées estiment que l’adoption du télétravail doit s’accompagner d’une refonte du système managérial. En outre, 85 % des sociétés considèrent comme souhaitable le développement du télétravail de façon pérenne et 88 % sont conscients des risques que cette pratique peut faire peser sur la cohésion entre salariés. Toutefois, « il y aura forcément des coûts, notamment en matière de formation. Et il faudra aussi laisser du temps aux entreprises pour qu’elles s’adaptent », affirme Pascal Martin, professeur de management à l’Ecole supérieure des sciences commerciales d’Angers (Essca). (Le Monde, Myriam Dubertrand, 03/09)
 
 
Le Brexit devait permettre au Royaume-Uni de nouer à sa guise des accords commerciaux avec les pays tiers. Mais à quatre mois de la sortie de l’UE, effective au 31 décembre, le Premier ministre britannique Boris Johnson affiche des difficultés à joindre le geste à la parole. En effet, les discussions avec Bruxelles n’ont pas progressé pendant l’été, tandis que les contours d’un accord de libre-échange avec l’UE tardent toujours à apparaître. Pour les négociations avec Washington, Londres a abandonné il y a quelques semaines l’espoir de les voir déboucher d’ici à la fin de l’année. Les pourparlers ouverts début juin avec Tokyo semblent néanmoins être sur le point d’aboutir. Les deux parties se seraient entendues, en août, pour annuler progressivement les tarifs douaniers britanniques sur les exportations automobiles japonaises d’ici à 2026. Les chiffres du gouvernement britannique estiment qu’un accord commercial avec le Japon ne devrait permettre d’augmenter les exportations britanniques vers cette destination que de 21 %, et les importations japonaises devraient bondir de 79 %. Il ne devrait ainsi apporter au Royaume-Uni que 0,07 % de PIB supplémentaires à long terme, alors que la sortie de l’Union européenne devrait lui coûter 4,9 % de croissance à horizon 15 ans. (Les Echos, Alexandre Counis, 03/09)
 
 
Retrouvez la synthèse du 02/09/2020 ici : https://xml.luqi.fr/casa/fluxpresse/20200902/synthese.html
 
Synthèse réalisée par Cision-L'Argus de la Presse
 
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