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Le Crédit Agricole Assurances a fait de l’assurance dommages aux entreprises un gisement de croissance dans son plan stratégique à horizon 2022. « Nous entamerons notre montée en puissance sur la bancassurance des entreprises en dommage de la même manière que nous l’avons fait sur le marché des assurances collectives il y a cinq », a indiqué son directeur général, Philippe Dumont. Dans cette optique, 536 conseillers sont déjà dédiés aux marchés des professionnels. Le groupe s’est, par ailleurs, installé dans les entreprises à travers l’assurance santé, puis les a multi-équipées en leur proposant des produits de prévoyance et de retraite. L’assurance dommages viendra, par la suite, boucler le processus. « […] Nous y croyons, et nous allons amplifier ce développement en lançant, à la fin de l’année, une offre sur l’IARD d’entreprise », a ajouté Pierre Guillocheau, directeur des assurances collectives du Crédit Agricole Assurances. (L’Argus de l’assurance, Raphaële Karayan, 25/09)
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La situation de H2O AM commence à être critique. Le quotidien Financial Times a, en effet, indiqué que le Crédit Agricole Assurances, qui distribue à la marge les fonds H2O dans ses contrats d’assurance vie, a décidé d’en arrêter la commercialisation, au moins jusqu’au mois de décembre, et ce même pour les produits qui ne sont pas gelés par le gestionnaire. Un porte-parole de Crédit Agricole Assurances souligne, d’ailleurs, que « non seulement l’exposition de nos clients aux unités de compte (UC) H2O est extrêmement faible rapportée aux encours d’épargne, mais elle pèse très peu dans les encours du gestionnaire ». Ce principe de précaution adopté par le groupe Crédit Agricole pourrait être suivi par d’autres. (L’Agefi, Laurence Pochard et Franck Joselin, 25/09)
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Anne Girard est nommée responsable de la conformité de Crédit Agricole Corporate & Investment Bank. Elle a commencé sa carrière dans les financements structurés au Crédit lyonnais New York en 1993. Elle rejoint le Groupe Crédit Agricole en 2001 et occupe plusieurs postes à l’international au sein du département risques de Crédit Agricole Corporate & Investment Bank en Asie-Pacifique, puis dans la région Amériques. (L’Agefi, 24/09)
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Selon Bloomberg, le Crédit Agricole étudierait d’éventuelles acquisitions en Italie ; l’agence mentionne des cibles comme Banco BPM et Credito Valtellinese. Pour sa part, la Banque verte a indiqué que sa stratégie « demeurait inchangée » (Les Echos, 25-26/09)
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Benoît Lucas, directeur général du Crédit Agricole du Finistère, est en poste depuis le 1er septembre à Quimper. Après sept ans à Paris, il a changé de région, en rejoignant son territoire natal. « Depuis mon arrivée à Quimper, je consacre l’essentiel de mon temps à rencontrer les membres du comité de direction, les élus représentant les clients et les collaborateurs des 120 agences », indique Benoît Lucas. Il a, par ailleurs, bénéficié d’un appui du Crédit Agricole pour trouver son logement. (Les Echos supplément, Eliane Kan, 25/09)
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Les caisses régionales de Crédit Agricole Normandie-Seine et leur fonds de mécénat mutualiste ont financé la fabrication de 330 claviers d’ordinateur antimicrobiens destinés aux 27 établissements de santé de l’Eure et de la Seine-Maritime. La banque a pu compter sur le savoir-faire du verrier normand Riou Glass pour la conception de ces claviers tactiles entièrement constitués de verres et commercialisés sous la marque Ingenium Glass. Par ailleurs, les caisses locales du Crédit Agricole de Caudebec-en-Caux, Criquetot-l’Esneval, Doudeville, Fauville-en-Caux, Yerville et Yvetot se sont associées pour offrir douze de ces claviers à l’hôpital Asselin-Hedelin. (Normandie, 22/09)
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Société Générale multiplie les initiatives pour améliorer une rentabilité défaillante. Il envisage ainsi une fusion de son réseau de banque de détail avec celui de sa filiale Crédit du Nord. Il prévoit également la cession de sa filiale de gestion d’actifs Lyxor, une décision qui, selon Reuters, relèverait désormais du feu vert du conseil d’administration. Des contacts ont été établis avec des acquéreurs potentiels, dont Amundi. (Le Revenu, L.G, du 25/09 au 01/10)
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Bien que la nouvelle opération de refinancement ciblé à long terme (TLTRO 3.5) de la Banque centrale européenne a attiré moins d’intérêt qu’en juin, elle a généré plus de demandes que prévu. Or, « en théorie, la demande aurait dû être extrêmement faible dans la mesure où les banques avaient intérêt à participer au maximum à l’opération de juin afin de bénéficier, pour la plus longue période possible, du taux d’emprunt minimum de -1 % qui court jusqu’à juin 2021 », explique Frederik Ducrozet, stratégiste de Pictet WM. Mais, comme les banques n’ont utilisé qu’à peine plus d’une moitié des allocations possibles, elles avaient nettement de la marge pour cette opération, souligne-t-il. Par ailleurs, avec l’assouplissement des conditions des TLTRO 3 initié par la BCE, au printemps dernier, davantage de petites institutions se sont mobilisées pour cette opération. (L’Agefi, Fabrice Anselmi, 25/09)
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PRODUITS / METIERS / ACTIVITES BANCAIRES
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Les solutions de paiement fractionné ont fait bondir les activités de la Banque Casino et d’Oney Bank, filiale de BPCE au premier semestre. Pour Jean-Pierre Viboud, directeur général d’Oney Bank, « la digitalisation de la consommation due au confinement pendant le premier semestre a accéléré la croissance du paiement fractionné ». Ainsi, la production de paiement fractionné de la banque a atteint les 51 %, un rebond qui a permis de compenser la baisse dans le crédit à la consommation. Au total, le groupe a vu ses revenus progresser de 7 % au premier semestre 2020, par rapport à la même période l’an dernier. La Banque Casino s’attend, pour sa part, à une croissance de 5 à 10 % du marché cette année. (Les Echos, 25 au 26/09)
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Selon les chiffres publiés le 24 septembre par la Fédération française de l’assurance (FFA), les versements des assureurs aux épargnants ont encore dépassé, en août, les sommes placées par les particuliers sur l’assurance-vie, d’habitude très prisée. Les épargnants ont, en effet, déposé beaucoup moins d’argent sur l’assurance vie, privilégiant les dépôts sur les livrets bancaires, peu rémunérés. De leur côté, les assureurs n’ont collecté que 73 milliards d’euros depuis le mois de janvier, soit 25 milliards d’euros de moins que l’an dernier. La FFA attribue, par ailleurs, ce « net recul » de l’assurance-vie à « la réduction de l’activité des réseaux commerciaux » dans le sillage du confinement. (Les Echos, S. Po., 25 au 26/09)
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Les responsables du Fonds public de garantie ont indiqué, le 24 septembre, que la lutte contre les ravages provoqués par les conducteurs sans assurance risque de se compliquer avec la crise. Eloïse Le Goff, directrice de la communication du fonds, a d’ailleurs affirmé qu’ils étaient « inquiets par rapport à la décision qui pourrait être prise par certaines personnes de rogner sur l’assurance auto ». Le fonds pourrait, de ce fait, avoir plus de mal à recouvrir l’argent auprès des conducteurs non assurés, qui risquent de se heurter à des difficultés financières. Par ailleurs, mettant en priorité la lutte contre la non-assurance, le Fonds vient de lancer une campagne nationale de sensibilisation, pour prévenir les drames. (Les Echos, 25 au 26/09)
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RSE/DEVELOPPEMENT DURABLE
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Selon une enquête menée par l’Ifop et l’UFF, 61 % des Français accordent une place importante aux impacts environnementaux dans leurs placements. Depuis le début de la crise sanitaire, 39 % ont modifié leur comportement d’épargne, mais seulement 20 % sont prêts à privilégier des fonds labellisés ISR pour donner du sens à leur épargne. Par ailleurs, seuls 8 % des épargnants interrogés ont déjà investi dans des produits ISR. Pourtant, 68 % des Français sondés par l’institut considèrent que l’ISR est aussi performant que les autres placements. Par ailleurs, la nouvelle version du référentiel ISR, qui entrera en vigueur le 23 octobre, obligera les fonds labélisés à traduire leurs actions d’engagement auprès des émetteurs. Pour Anne-Catherine Husson-Traore, directrice générale de Novethic, « la grande nouveauté de cette réforme est l’ouverture aux fonds immobiliers. La question de l’immobilier durable est en train de prendre de l’ampleur ». (Les Echos, 25-26/09)
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Axa Investment Managers, BNP Paribas Asset Management, Sycomore et Mirova prévoient de développer un outil de mesure de l’impact des investissements sur la biodiversité. Selon Sarah Maillard, analyste ISR de Mirova, « la décision de lancer ce projet à quatre sociétés de gestion permet de donner plus de visibilité à notre démarche. D’autant que nous cherchons à développer un outil qui puisse servir à l’ensemble du secteur financier ». Les gestionnaires ont ainsi choisi deux prestataires, à savoir la fintech Iceberg Data La et le cabinet de conseil I care & Consult, pour réaliser ce projet. D’après Robert-Alexandre Poujade, analyste ESG de BNP Paribas Asset Management, l’objectif pour les deux acteurs est de mettre au point une métrique qui soit « robuste et compréhensible ». Les deux prestataires choisis pourront compter sur au moins quatre clients et peuvent aussi espérer attirer une partie des 30 signataires de la déclaration, dont Amundi, Aviva Investors et Groupama Asset Management. (L’Agefi, Laurence Marchal, 25/09)
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Fatih Birol, directeur exécutif de l’Agence internationale de l’énergie, a indiqué, le 24 septembre, qu’il sera « impossible » d’atteindre l’objectif d’un niveau zéro d’émissions nettes en 2050, si l’on n’accélère pas le déploiement de solutions de capture, d’utilisation et de stockage du gaz carbonique. Aujourd’hui, à peine 40 millions de tonnes de CO2 sont captées, alors qu’il faudrait viser 800 millions de tonnes à l’horizon 2030, poursuit-il. L’AIE a également affirmé qu’il faudrait investir 160 milliards de dollars d’ici à 2030 dans le captage, l’utilisation et le stockage de CO2. Pourtant, les investissements annuels ne dépassent pas 0,5 % de l’ensemble des dépenses réalisées dans les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique, pointe-t-elle. Elle se félicite, toutefois, d’une « dynamique particulière » depuis quelques mois. Une trentaine de projets ont, en effet, été annoncés dernièrement, notamment en Amérique du Nord et en Europe, pour environ 4 milliards de dollars promis par le gouvernement et les entreprises. (Le Figaro, Armelle Bohineust, 25/09)
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Le président chinois Xi Jinping a annoncé, lors de son intervention, par visioconférence, au cours de la 75e session de l’Assemblée générale des Nations unies (ONU), que la Chine s’était fixé un objectif de neutralité carbone, à l’horizon 2060. Le pays s’engage également à atteindre un pic de ses rejets de CO2 avant 2030. L’annonce du président laisse toutefois certains spécialistes sceptiques, car la Chine continue de construire de nombreuses centrales au charbon. Certains observateurs n’y voient également qu’une simple rhétorique sans effet, alors que d’autres sont, au contraire, convaincus que la Chine veut aussi prendre le leadership international sur les questions environnementales. C’est d’ailleurs en Chine que sont produits la plupart des batteries ion-lithium, des panneaux solaires et des éoliennes dans le monde. (Le Monde, Audrey Garric et Frédéric Lemaître, 25/09)
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Selon Bloomberg et Reuters, la banque JP Morgan s’apprête à verser près d’un milliard de dollars d’amende pour solder les poursuites des autorités américaines qui l’accusent d’avoir manipulé les cours sur les marchés des métaux et des bons du Trésor. L’enquête a, en effet, révélé des pratiques de « spoofing », consistant à placer de nombreux ordres, avant de les annuler. Le règlement de ce contentieux avec le département de la Justice, la Securities and Exchange Commission (SEC) et la Commodity Futures Trading Commission (CFTC) pourrait, par ailleurs, être officialisé cette semaine. Toutefois, il n’est pas certain que JP Morgan ait à plaider coupable, car cette pratique n’est pas en soi répréhensible, sauf si elle est instaurée en vue de tromper des tiers en faisant varier les cours au profit de la banque. En outre, cet accord n’entraînera pas de restrictions des opérations de la banque. (Les Echos, Anne Drif, 25-26/09)
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La Fédération internationale pour les droits de l’Homme (FIDH) a annoncé sur son compte twitter qu’une information judiciaire a été ouverte le 22 septembre à Paris à l’encontre de BNP Paribas, qui est accusée de « complicité de crimes contre l’humanité » commis au Soudan. La FIDH est dix autres plaignants accusent en effet la banque française d’avoir indirectement contribué aux exactions du régime soudanais au Darfour. Ils ont alors porté plainte contre elle en septembre 2019. De son côté, BNP Paribas a affirmé à L’Agefi ne disposer « d’aucune information sur cette procédure ». (L’Agefi, 25/09)
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Face à la récession historique, les tensions géopolitiques et la sortie de la Grande-Bretagne du marché unique, la présidente de la Commission européenne, Ursula Von der Leyen, a décidé de faire de l’union des marchés de capitaux, une des priorités de sa stratégie. Pour cela, elle a présenté, le 24 septembre, dans son nouveau plan d’action, seize mesures pour faire progresser ce vaste chantier. Elle prévoit notamment de revoir la législation sur les fonds d’investissement, de stimuler la titrisation, d’harmoniser le droit des faillites, de standardiser les mécanismes de prélèvements à la source sur les revenus des capitaux, et de créer une définition européenne de l’actionnaire. (Le Figaro, Florentin Collomp, 25/09)
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L’annonce du lancement de la « monnaie » numérique Libra par Facebook, en 2019, a accéléré la prise de conscience, à Bruxelles, des lacunes juridiques entourant les moyens de paiement virtuels. La Commission européenne a ainsi présenté, le 24 septembre, sa stratégie pour encourager et encadrer la finance numérique et a proposé sa première législation ciblant toute forme de cryptoactifs. De quoi « permettre aux entreprises de tirer parti des possibilités offertes par ces actifs » tout en « atténuant les risques pour les investisseurs et en préservant la stabilité financière », a expliqué Valdis Dombrovskis, vice-président de l’exécutif. Pour les actifs cryptés, la Commission s’engage à établir un cadre pour l’utilisation de la technologie des registres distribués, d’ici 2024. Pour les cryptoactifs non réglementés, un régime sur mesure sera proposé. Les règles seront, en outre, plus sévères pour les « stable coins », les devises numériques adossées à des monnaies souveraines. (Le Figaro, Léonor Hubaut, 25/09)
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L’intelligence artificielle s’est ajoutée aux armes traditionnelles dans la lutte contre la fraude à l’assurance. L’enjeu est considérable pour les assureurs. En effet, en 2019, la fraude déclarée à l’agence de lutte contre la fraude à l’assurance (Alfa) approchait les 420 M€, dont 211 M€ en auto. Depuis cette année, Alfa mène avec Shift Technology une expérimentation de place sur la déclaration de sinistres en assurance automobile. Plus de 30 % des données de marché ont été mutualisées par quatre assureurs, dont Pacifica. « Notre but est de détecter des typologies de fraudes touchant au moins deux assureurs automobiles. À partir de ces scénarios, nous transmettons les alertes identifiées par l’assurtech aux assureurs afin qu’ils en qualifient la pertinence », explique-t-on à l’agence. (L’Argus de l’assurance, Jean-Charles Naimi, 25/09)
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Les nouvelles restrictions, liées à l’aggravation du nombre de cas de Covid-19, annoncées le 23 septembre par le ministre de la Santé, Olivier Véran, inquiètent les entreprises françaises de l’hôtellerie et de la restauration. « C’est une catastrophe pour les entreprises concernées, mais aussi pour l’économie globalement, car les conséquences sur la confiance vont toucher tout le monde », prévient Laurent Menurot, président de l’Union des entreprises proximité (U2P). « Nos entreprises n’arrivent plus à se projeter dans l’avenir », ajoute-t-il. Fin août, 32 % des entreprises interrogées par l’Insee indiquaient être incapables de dater le retour à la normale de leur activité. Il est également possible que l’aggravation du nombre de cas de Covid-19 a déjà eu, au cours des dernières semaines, un impact sur l’attitude des consommateurs. Ainsi, le nombre d’entreprises qui prévoient une amélioration de leur activité et de la demande diminue de nouveau légèrement et s’éloigne de sa moyenne. (Les Echos, 25-26/09)
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Le ministre britannique des Finances Rishi Sunak a présenté, le 24 septembre, un nouveau système de soutien à l’emploi censé prendre, début novembre, la relève du mécanisme gouvernemental de chômage partiel qui doit s’achever fin octobre. Le nouveau plan prévoit de prendre en charge, pendant six mois, une partie des salaires de ceux que la pandémie force à travailler à temps partiel, à condition qu’ils travaillent plus du tiers de leurs heures habituelles. Le dispositif sera ouvert à toutes les PME, tandis que les grandes entreprises devront justifier d’une baisse de chiffre d’affaires causée par le coronavirus. Par ailleurs, d’autres mesures ont été annoncées, notamment la prolongation de la baisse de TVA pour le tourisme et la restauration, où le taux continuera d’être réduit à 5 % jusqu’à la fin mars. (Les Echos, 25-26/09)
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L’actionnariat salarié a pris son essor en France. En effet, un nombre record d’augmentations de capital réservées aux salariés ou, moins fréquemment, de cessions d’actions ont été réalisées en 2019, soit 40 opérations menées par 36 entreprises, pour un montant total de 3,40 milliards d’euros. Selon le dernier panorama de l’actionnariat salarié d’Eres, « l’année 2019 a été marquée par le record du plan collectif le plus important jamais réalisé. Celui-ci a atteint 567 millions d’euros ». C’est dans la finance (Crédit Agricole en particulier) et dans la construction et le BTP que l’actionnariat salarié s’est le plus répandu. Ces deux secteurs représentent respectivement 22 et 21 % du montant total des opérations menées entre 2010 et 2019. Cependant, l’année 2020 s’annonce plus décevante, avec la tempête boursière de mars et le confinement, qui ont mis un certain nombre de projets à l’arrêt. (Les Echos, 25-26/09)
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Synthèse réalisée par Cision-L'Argus de la Presse
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