["ARGUS DE LA PRESSE"]
 
SYNTHESE DU 15/10/2020
VIE DU GROUPE
 
À l'occasion de l'AM Tech Day, organisé le 13 octobre à Paris, L'Agefi a remis six prix récompensant les entreprises les plus innovantes dans le milieu de la technologie financière. Amundi a reçu, à cette occasion, le prix de la meilleure expérience client. (L’Agefi, 15/10)
 
 
Plébiscitée par les meilleurs clients des banques ou des marques de luxe, la conciergerie privée de luxe se développe pour répondre à des demandes inédites. Ces prestataires de service ont pour mission de répondre à n'importe quelle requête, vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept, dans la limite de la légalité. « C'est du last minute tout le temps », indique Jérémy Vosse, fondateur de Premium Conciergerie. Certaines entreprises en ont également fait le cœur de la fidélisation client, à commencer par les banques. Ainsi, Cartes Visa Infinite ou American Express Platinium incluent cette prestation dans leur prix. « C'est cousu main », affirme Bertrand Corbeau, directeur général adjoint de Crédit agricole SA. « 20 % des personnes qui ont accès au service l'utilisent, avec un taux de satisfaction de 90 %. Les sollicitations ont progressé de 50 % entre janvier et décembre 2019 », ajoute-t-il. Par ailleurs, de nombreuses marques de luxe proposent également ce service, qui est un vrai business, chiffré à plus de 1 milliard d'euros au niveau mondial. (L’Express, Stéphanie Gendron, 15-21/10)
 
ENVIRONNEMENT BANCAIRE
 
Dans une interview à L'Agefi Hebdo, Maya Atig, directrice générale de la Fédération bancaire française (FBF), explique comment les banques contribueront aux besoins en fonds propres des entreprises. « Dans le cadre du plan de relance, nous sommes en train de co-construire un produit simple pour les entreprises, distribué par les banques, qui prendront une partie du montant sur leur bilan, la grande majorité provenant de fonds de dette », note-t-elle. Par ailleurs, le métier des paiements évolue sous l’impulsion de la directive sur les services de paiement, DSP2, et de l’Initiative européenne EPI, portée par 16 banques de la zone euro. Interrogée sur ce point, elle indique que « les banques françaises saluent le projet EPI qui repose sur un schéma multisupport. La BCE s’y intéresse particulièrement, comme miroir des paiements de gros qu’elle gère. Une société intérimaire a été créée afin de définir le business model et la gouvernance adaptés en vue d’un lancement à la fin 2021 ». Concernant la renégociation des prêts garantis par l’État (PGE), Maya Atig précise que « nous aurons plus de visibilité au printemps prochain sur les remboursements et les extensions, sachant que les dépôts des entreprises ont fortement augmenté, de 140 milliards, signe qu’elles traversent peut-être la crise mieux qu’attendu ». (L’Agefi Hebdo, Sylvie Guyony et Frédérique Garrouste, 15-21/10)
 
 
Le gérant américain Capital Group a augmenté sa participation dans Deutsche Bank de 2,6 % en mars à 3,61 %, a révélé Dow Jones. La banque affiche une des meilleures performances du secteur depuis le début de l’année, avec une progression de 11,88 %, alors que l’indice Eurostoxx banques chute de 42,34 % sur la période. Si la société a souffert comme les autres au début de la crise sanitaire, elle a annoncé, début octobre, que ses provisions pour créances douteuses allaient baisser au troisième trimestre, attendues à 300 millions d’euros, contre 700 millions au trimestre précédent. Par ailleurs, Deutsche Bank, qui est actuellement dans une phase de restructuration drastique, est en proie à des problèmes judiciaires, en particulier avec son implication dans le scandale de blanchiment touchant Danske Bank. (L’Agefi, 15/10)
 
 
Le quotidien des affaires Il Sole 24 Ore a révélé qu’UniCredit a mis à l’étude une possible séparation entre ses activités italiennes et étrangères, dans le but de réduire les coûts de financement. Ses actifs en Allemagne et en Autriche pourraient ainsi être regroupés dans cette structure. La banque n’a pas émis de commentaire, alors que le sujet est porté par le directeur d’UniCredit, Jean-Pierre Mustier, qui l’avait mentionné au menu du plan stratégique de la banque, présenté en décembre 2019. Les opérations de consolidation se multiplient depuis quelques semaines en Europe. Mais, jusqu’à présent, Jean-Pierre Mustier a affirmé son opposition à ces opérations, tant au niveau européen que domestique. En outre, le groupe italien pourrait également compter sur une nouvelle gouvernance, avec le choix officialisé, le 13 octobre, de Pier Carlo Padoan, pour le poste de président du Conseil d’administration. (Les Echos, Olivier Tosseri, 15/10)
 
 
Goldman Sachs a presque doublé son bénéfice net au troisième trimestre 2020, avec un profit de 3,5 milliards de dollars. Le chiffre d'affaires du groupe a également atteint 10,8 milliards de dollars, en hausse de 30% sur un an. De plus, les revenus issus de l’activité de gestion d’actifs se sont envolés de 71% et ceux de la division dédiée aux particuliers et à la gestion de fortune ont augmenté de 13%. Ces résultats montrent que la firme supporte la récession qui a provoqué la hausse du nombre de chômeurs et la fermeture de petites entreprises aux États-Unis. En outre, la banque n’a provisionné que 278 millions de dollars sur la période, alors qu’au deuxième trimestre, elle avait passé près de 1,6 milliard de provisions. (Le Figaro, 15/10)
 
PRODUITS / METIERS / ACTIVITES BANCAIRES
 
En France, le poids du crédit immobilier dans le surendettement des ménages ne cesse de grimper ces dernières années. La dernière enquête typologique de la Banque de France indique d’ailleurs qu’en 2019, les prêts immobiliers, qui représentent environ 35 % de l'endettement du ménage, étaient au même niveau avec le crédit à la consommation. De plus, si les ménages ont renégocié leur crédit, entre 2015 et 2017, pour profiter des taux bas, ceux qui entreprennent cette démarche, aujourd’hui, souhaitent principalement faire baisser leurs mensualités. « C'est en partie le signe de l'inquiétude des ménages en difficulté à faire face à leurs mensualités », explique Philippe Taboret, directeur général adjoint chez Capfi. Face à ces signaux de dérapage, le Haut Conseil de stabilité financière a recommandé aux banques de durcir l'octroi du crédit immobilier. (Les Echos, Gabriel Nedelec, 15/10)
 
 
Dans une étude publiée le 13 octobre, l’ACPR s’est penchée sur la baisse de taux que les épargnants en assurance-vie ont dû encaisser l’an dernier, avec une attention particulière portée sur les fonds euros. Le superviseur a noté que le rendement moyen de ces placements était de 1,46 % en 2019, contre 1,83 % en 2018, soit une baisse de 37 points de base, la plus forte observée depuis 2011. Confrontés à la baisse des taux d’intérêt, les assureurs ont ainsi été contraints de repenser leur offre. L’une des premières mesures prises par le secteur porte sur l’abaissement de la garantie. Si « les assureurs l’ont pour la plupart fait passer de 100 % net de frais à 100 % brut de frais, soit 99 % », d’autres vont plus loin, à l’image de Spirica (Crédit Agricole Assurances) qui l’a abaissé cet été à 98 %. « Cela offre la possibilité d’une diversification accrue avec une prise de risque annuelle supplémentaire à l’actif de 1 % », indique Cyrille Chartier-Kastler, président de Facts & Figures. (Les Echos, Solenn Poullennec, 15/10 ; L’Agefi Hebdo, Virginie Deneuville, 15-21/10)
 
 
En moins de deux mois, Oddo BHF a noué deux partenariats, avec ABN et BBVA, sur les métiers de recherche et d’intermédiation actions. Selon Christophe Tadié, associé-gérant de Oddo BHF, « le partenariat avec BBVA a été assez simple à mettre en place, car les intentions stratégiques des deux groupes demeurent claires : BBVA pourra mieux servir ses clients locaux en profitant de notre base d'investisseur très large. Nous, de notre côté, nous élargissons notre couverture européenne aux valeurs espagnoles ». Ce genre de partenariat est toutefois difficile à conclure, car certaines banques peinent encore à abandonner une activité qu'elles peuvent parfois considérer comme faisant partie de leur cœur de métier. (L’Agefi, Franck Joselin, 15/10)
 
 
Euronext devrait racheter la Bourse de Milan auprès du London Stock Exchange (LSE) pour 4,3 milliards d’euros. Avec cette acquisition, l’opérateur paneuropéen deviendra le principal marché d’actions du continent, avec plus de 1800 entreprises cotées sur ses différents marchés. Pour emporter l’affaire face à ses rivaux, le groupe s’est allié avec Cassa Depositi e Prestiti et Banca Intesa, qui deviendront actionnaires de référence d’Euronext aux côtés de la Caisse des Dépôts, d’Amundi et de BNP Paribas. Selon Antoine Pertriaux, responsable de la recherche à Adamantia, Euronext « mettra aussi la main sur de précieux actifs pour sa stratégie de diversification, notamment dans les activités de compensation et de règlement-livraison des titres ». La transaction devra encore être validée par la Commission européenne en décembre prochain. (Challenges, Damien Pelé, 15-21/10)
 
RSE/DEVELOPPEMENT DURABLE
 
En Californie, la Bourse de Chicago et le Nasdaq prévoient de lancer, d’ici la fin de l’année, des contrats à terme sur l’eau. Il s’agit d’une grande première pour cette ressource naturelle, devenue une matière première et un actif au même titre que le pétrole, le blé ou le cuivre. Ces instruments financiers permettront de se couvrir contre la volatilité des prix. Ils serviront également d’indicateur de la disponibilité de l’eau en Californie et même dans le monde, indiquent les opérateurs boursiers. (Les Echos, Etienne Goetz, 15/09)
 
 
Certaines déclarations d’experts et publications d’études ont démontré que le secteur bancaire constituait un frein à la transition écologique. Apparu fin novembre 2019, un rapport de l’ONG Oxfam et de l’association des Amis de la Terre a dénoncé « la colossale empreinte carbone » des établissements bancaires français. Pourtant, en intégrant des normes « green » à des fonds dédiés et aux politiques des grandes institutions économiques, la finance met en œuvre des ambitions écologiques qui peuvent devenir de puissants leviers en faveur de l’environnement. Sous l’égide du forum international Paris Europlace, les professionnels s’engagent collectivement à élargir les catégories d’actifs verts sur lesquels investir. Cette finance « bio » a pour principaux promoteurs Engie, Amundi et Axa. (Décideurs Magazine Guide, N 214 - 2020)
 
REGLEMENTATION BANCAIRE
 
Réunis en visioconférence le 14 octobre, les ministres des Finances du G20 ont acté l’échec des négociations politiques autour du projet de taxation internationale des activités numériques, porté par l’OCDE, et ont décidé de repousser les discussions à mi-2021. Le ministre français des Finances, Bruno Le Maire, appelle ainsi à la mise en place rapide d’une solution européenne. « La Commission doit présenter sa propre taxe sur les services numériques début 2021 », a-t-il souligné. Selon le dernier rapport du Conseil des prélèvements obligatoires (CPO), remis à l’Assemblée nationale le 14 octobre, un accord aurait pourtant pu rapporter gros à la France. Premièrement, les impôts de production et impôt sur les sociétés (IS) totalisent 124 milliards d’euros de recettes et présentent à eux seuls 15,7 % de l’ensemble des prélèvements obligatoires en France. Puis, l’actuelle taxe française sur les services numériques rapporte 400 à 500 millions d’euros par an. Enfin, en siphonnant les paradis fiscaux, cette mesure rapporterait une centaine de milliards d’euros au niveau mondial, dont 7,3 milliards d’euros pour la France, indique le CPO. (L’Opinion, Raphaël Legendre, 15/10)
 
 
En quête de crédibilité, les entreprises s’intéressent de plus en plus au statut de prestataire de services sur les actifs numériques (PSAN). Après avoir à avoir obtenu un enregistrement auprès de l’Autorité des marchés financiers (AMF), LGO et StackinSat viennent d’entrer sur la liste blanche des PSAN. Anne Raoul-Tardieu, de la division suivie des intermédiaires de marché, en charge des enregistrements et agréments des PSAN au sein de l’AMF, indique que l’Autorité instruit une trentaine de dossiers de demande d’enregistrement et d’agrément, et a des contacts avec des entités qui préparent leur dossier ainsi qu’avec de grands acteurs internationaux intéressés par le dispositif. Par ailleurs, l’AMF constate parfois des difficultés à intégrer les obligations de la lutte antiblanchiment et financement du terrorisme. Mais avec les nouvelles règles européennes publiées de 24 septembre, cet encadrement devrait évoluer. (L’Agefi Hebdo, Alexandra Oubrie, 15-21/10)
 
STRATEGIE DIGITALE
 
Le confinement mondial a alimenté une masse considérable de données supplémentaires. A condition de pouvoir les exploiter, ces data peuvent être l’une des clés de la reprise économique. « Du point de vue de l’entreprise, le bénéfice du big data est triple : il permet d’améliorer l’expérience client, il motive la création de nouveaux services qui n’existaient pas, et il entraîne une meilleure efficacité opérationnelle en aidant les dirigeants à optimiser leurs coûts », détaille Jacques-Aurélien Marcireau, gérant chez Edmond de Rothschild AM. Les consultants de PwC ont chiffré à plus de 15 000 milliards de dollars la contribution potentielle de l’intelligence artificielle à l’activité mondiale entre 2017 et 2030. Cet exercice de chiffrage souligne aussi l’avance considérable de la Chine. Selon PwC, le pays pourrait tirer près de la moitié du gain généré par l’IA d’ici à dix ans. Par contre, l’Europe risque fort de souffrir d’un handicap économique majeur, en raison d’une réglementation plus stricte qui empêche l’accès et l’exploitation de nombreuses données. (L’Opinion, Muriel Motte, 15/10)
 
 
Bpifrance veut accompagner la transformation du système de la santé. Il souhaite ainsi créer un dispositif pour accélérer le développement des solutions numériques imaginées par les start-up du secteur. Ce plan prévoit la constitution d’un groupe de jeunes pousses, de donneurs d’ordre et de laboratoires. Par ailleurs, le fonds Patient Autonome, qui a investi dans Invivox ou Doctoconsult, est amené à se renforcer. (Les Echos, 15/10)
 
AGRICULTURE
 
L’édition 2021 du salon de l’Agriculture, prévue à Paris du 27 février au 7 mars, a été annulée et repoussée à l’année suivante en raison de l’épidémie. Néanmoins, le concours général des produits agricoles, dont l’enjeu économique est important pour les producteurs primés, seront maintenus. Christiane Lambert, présidente de la FNSEA regrette cette annulation. « C’est une rencontre manquée entre le monde agricole et les citadins. Mais nous ne pouvions pas prendre de risques à la fois sanitaires et financier », a-t-elle indiqué. (La Croix, Michel Waintrop, 15/10)
 
CONJONCTURE ECONOMIQUE
 
Selon une étude de l’INSEE, les conséquences économiques du confinement ont été très inégales pour les ménages. En effet, près d’un ménage sur quatre déclare une dégradation de sa situation financière. Seuls 2% d’entre eux ont remarqué une amélioration. 7% des ménages les plus pauvres ont également indiqué avoir besoin de s’endetter pour s’en sortir, contre 2% pour l’ensemble de la population. De plus, la situation des ménages avec enfants s’est aussi dégradée. Selon l’INSEE, « même en tenant compte de l’âge, de la catégorie socio professionnelle, du niveau de vie et du fait d’être passé par le chômage partiel ou d’avoir télétravaillé, cette surreprésentation des ménages avec enfants parmi ceux dont la situation financière s’est dégradée demeure ». Par ailleurs, les jeunes font partie des premières victimes financières, car 9% des personnes âgées de 15 à 24 ans ont perdu leur emploi. (Les Echos, Alain Ruello, 15/10)
 
 
Avec la crise qui persiste, les ménages pourraient basculer dans le surendettement dans les prochains mois. Pour anticiper ce phénomène et atténuer ses effets, les députés travaillent sur de nouveaux dispositifs. « Conscient de l’urgence et de la gravité de la situation », le Premier ministre, doit aussi faire de nouvelles annonces ce week-end pour le plan pauvreté. De son côté, la Banque de France observe, depuis septembre, un « certain retour à la normale » des dépôts de dossiers de surendettement, après une période de ralentissement pendant le confinement et les mois qui ont suivi. Selon Mark Béguery, directeur des particuliers à la Banque de France, « le faible nombre de dossiers en stock pour l’instant est un avantage pour faire face à une éventuelle hausse des dépôts ». (Les Echos, Romain Gueugneau, 15/10)
 
 
Selon une étude de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), publiée le 14 octobre, les entreprises françaises pourraient être plus affaiblies par la crise du Covid-19 que leurs concurrentes européennes. En effet, les firmes tricolores ont subi une perte de revenus de l’ordre de 50 milliards d’euros, soit environ 2 points de PIB, alors que les ménages ont vu leurs revenus baisser de seulement 3 milliards d’euros. Ces différences s’expliquent par l’intensité du confinement, ainsi que « les mesures d’urgence du gouvernement » qui « ont eu pour objectif de préserver les revenus des ménages », souligne Mathieu Plane, économiste à l’OFCE. Pourtant, les PGE ont été plus utilisés l’Hexagone que dans les autres pays de la zone euro, mais le montant des autres mesures d’urgence destinées à soutenir les entreprises a été plus faible en France qu’en Allemagne, en Italie ou en Espagne. L’État a ainsi prévu de renforcer les fonds propres des entreprises de 15 milliards d’euros dans le cadre du plan de relance. (Les Echos, G.C, 15/10)
 
 
Dans un rapport publié le 14 octobre, le Conseil des prélèvements obligatoires (CPO) estime que la baisse des impôts de production, une mesure du projet de budget de crise pour 2021, qui prévoit une réduction de 10 milliards d'euros, est pertinente et qu’elle peut améliorer la compétitivité des entreprises tricolores. Le CPO considère toutefois que le financement de cette mesure, présentée dans le plan de relance de 100 milliards d’euros par l’exécutif, reste « incertain » et qu’elle ne permettra pas à l'économie française de s'aligner complètement sur ses voisins. Par ailleurs, si la diminution de 10 milliards sera compensée avec de l’argent public, le gouvernement ne prévoit pas de nouvelles recettes pour contenir les dépenses, alors que ces impôts représentent aussi des rentrées fiscales conséquentes pour les collectivités. Les experts recommandent ainsi d’élaborer une « stratégie » chiffrant les « mesures structurelles » pour compenser le coût pour les finances publiques, au cas où de nouvelles baisses devaient être décidées dans les prochaines années. (Le Figaro, Manon Malhère, 15/10)
 
 
Retrouvez la synthèse du 14/10/2020 ici : https://xml.luqi.fr/casa/fluxpresse/20201014/synthese.html
 
Synthèse réalisée par Cision-L'Argus de la Presse
 
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