["ARGUS DE LA PRESSE"]
 
SYNTHESE DU 13/11/2020
VIE DU GROUPE
 
Le 12 novembre, Amundi a annoncé avoir obtenu le label Relance pour les trois fonds du programme d’investissement « Amundi Private Equity Megatendances 2 », géré par Amundi Private Equity Fund (PEF). Ce label vise à aider les investisseurs à identifier les fonds d’investissement destinés à accompagner le développement des PME et ETI françaises. (L’Agefi, 13/11)
 
 
Le 12 novembre, Amundi a présenté ses perspectives d’investissement pour 2021. Pour la société de gestion, quatre grands thèmes mondiaux entreront en jeu l’année prochaine, dont « une reprise lente et inégale après la crise sanitaire », mais aussi une « démondialisation équilibrée ». Amundi indique qu’« une part relativement plus importante du cycle économique sera dictée par la demande intérieure ». D’autre part, les disparités dans la reprise économique devraient créer des opportunités sur les marchés émergents, notamment en Chine. Amundi estime également que l’année prochaine devrait être marquée par la poursuite du triptyque politique, budgétaire et monétaire. Le gestionnaire d’actifs considère principalement que « les investisseurs devraient progressivement accroître leur exposition aux valeurs cycliques, aux titres de qualité sous-évalués, aux actions asiatiques et aux thèmes ESG ». (Correspondance Economique, 13/11)
 
 
Frey vient de signer une ligne de crédit revolving solidaire de 70 millions d’euros à 5 ans avec Crédit Agricole CIB, LCL et la caisse régionale de Crédit Agricole du Languedoc. Ce crédit, qui porte intérêts à Euribor 3 mois augmenté d’une marge indexée, comporte un mécanisme de renoncement d’une partie de la rémunération par les trois banques du pool et un abondement d’un montant équivalent par Frey au profit d’une structure solidaire, laquelle pourra changer chaque année. Au total, le montant financé à parts égales par Frey et le pool bancaire pourra atteindre jusqu’à 140 000 euros sur ces cinq ans. (L’Agefi, 13/11)
 
 
Crédit Agricole Assurances et la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) d’Île-de-France refusent de se faire dicter les conditions de restructuration de Comexposium, dont ils sont actionnaires. Cette entreprise a été gravement impactée par la crise et a été placée sous sauvegarde. Les fonds KKR, Attestor, SVP et Hayfin, qui avaient convaincu les banques traditionnelles de Comexposium de leur céder à prix soldé leurs 570 millions d’euros de créances, ont alors proposé d’injecter 175 millions d’euros dans l’entreprise. Ils ont également demandé une annulation de la moitié de la dette contre une conversion en capital, mais aucune réponse formelle n’a été formulée. Les fonds anglo-saxons n’entendent pas en rester là. Ils envisagent de saisir la justice britannique à cause du refus de la société de leur communiquer des données financières. (Les Echos, Anne Drif, 13 au 14/11)
 
 
Le 12 novembre, l’UFC-Que Choisir a annoncé avoir lancé une action de groupe contre LCL devant le Tribunal judiciaire de Lyon. L’association accuse la banque de ne pas respecter le délai légal de dix jours pour répondre à la demande de ses clients de changement d’assurance emprunteur. Il est également reproché à la banque de continuer, dans certains cas, à prélever des primes alors que le nouveau contrat est déjà en place. Les prélèvements ne s’arrêteraient qu’après réclamation des clients qui ne seraient pourtant jamais remboursés. Des actions contre d’autres banques pourraient avoir lieu. (L’Agefi, Gaétan Pierret, 13/11)
 
 
Les établissements traditionnels les plus avancés dans l’open banking sont souvent ceux qui ont absorbé un agrégateur qui va enrichir leur réflexion sur l’usage de l’agrégation et qui va les doper techniquement. Au sein du groupe Crédit Agricole, Linxo répond aux besoins en tant que clients en matière d’open banking des banques du groupe. De son côté, LCL est en charge de la prestation de services pour l’ensemble du groupe, ainsi que pour les FinTechs et start-up externes souhaitant se raccorder au système d’information. « Les systèmes ont été conçus pour les postes des conseillers puis nous y avons ajouté le Web et les applications mobiles à destination des clients. Désormais, nous commençons à ouvrir nos systèmes vers l’extérieur et des enjeux de cybersécurité, nous ne savons pas du tout estimer les volumes de transactions et le nombre de partenaires qui vont se raccorder au système d’information », a notamment expliqué Olivier Biton, directeur des systèmes d’information de LCL. (RB Revue Banque, Stéphanie Chaptal, 11/2020)
 
ENVIRONNEMENT BANCAIRE
 
Après l’annonce de Pfizer pour son vaccin anti-Covid, l’envolée des marchés a été amplifiée pour les valeurs bancaires. Ainsi, BNP Paribas et Crédit Agricole se sont adjugé 18 % et 14 %, le 9 novembre, tandis que Société Générale a progressé de 18,4 %. Au-delà de rotation sectorielle favorable aux financières, Société Générale profite également de l’élan acquis avec ses comptes au troisième trimestre. En effet, après deux trimestres de pertes, elle a dégagé un bénéfice net de 862 millions d’euros de juillet à septembre, stable d’une année sur l’autre (+0,9 %), mais meilleur qu’attendu. Les comptes restent cependant dans le rouge sur neuf mois avec une perte nette de 728 millions. Société Générale demeure la banque française la moins bien valorisée en Bourse, à 0,28 fois ses fonds propres tangibles. (Le Revenu, Lionel Garnier, 13 au 19/11)
 
PRODUITS / METIERS / ACTIVITES BANCAIRES
 
Le 12 novembre, Ma French Bank la néobanque de la Banque Postale, a officiellement lancé « WeStart », un compte pour les 12-17 ans. Pour deux euros par mois, les jeunes adhérents pourront bénéficier d’une carte de débit, de retraits d’espèces gratuits dans la zone euro, du paiement mobile ou encore de virements gratuits par SMS. Selon Ma French Bank, pour ouvrir un compte bancaire, les parents ne doivent pas nécessairement être clients de La Banque Postale ou de la néobanque. Néanmoins, « équiper les enfants des parents titulaires d’un compte à La Banque Postale nous intéresse. Nous avons comme ambition de recruter 200 000 mineurs à l’horizon 2025 qui seront en partie des enfants de clients de La Banque Postale », note Alice Holzman, directrice générale de Ma French Bank. Avec cette offre pour les adolescents, la néobanque s’intègre dans un marché français du « teen banking » où les acteurs se multiplient, que ce soit du côté des banques traditionnelles comme des nouveaux acteurs. (L’Agefi, Pauline Armandet, 13/11)
 
RSE/DEVELOPPEMENT DURABLE
 
Les principaux leaders économiques de la planète se sont réunis, le 9 au 11 novembre à Londres, pour parler du financement de la transition écologique. Selon les chiffres de l’Agence internationale de l’énergie, il faudrait investir 3 500 milliards de dollars par an jusqu’en 2050 dans le secteur de l’énergie pour atteindre l’objectif de l’accord de Paris de limiter le réchauffement climatique à 2 degrés. Pour Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne, la transition coûtera très cher. « Mais nous ne pouvons pas nous permettre de ne rien faire, notre survie est en jeu », indique-t-elle. « Nous n’arriverons pas à un objectif de neutralité carbone en gardant la finance verte dans une niche, il faut que l’intégralité de l’économie réalise la transition écologique », ajoute Mark Carney, envoyé spécial des Nations unies pour l’action sur le climat. (Le Monde, Eric Albert, 13/11)
 
 
Depuis l’apparition des premiers « green bonds », ou « obligations vertes », finançant des projets respectueux de l’environnement, les outils « durables » se sont multipliés. En termes de volumes, le seul marché des obligations vertes devrait atteindre 350 milliards de dollars en 2020, contre 258 milliards de dollars l’année dernière. Alors que les investisseurs sont de plus en plus nombreux à afficher leur engagement ESG, les émetteurs, eux, s’intéressent de plus en plus aux outils qui permettent d’aligner stratégie financière et stratégie RSE. Les Echos affirment, en outre, que bientôt, les banques et investisseurs ne prêteront qu’à ceux qui peuvent démontrer qu’en plus d’être rentables, ils sont vertueux en matière d’environnement, de social et de gouvernance. Quelques activités, comme certains types de forages, ont d’ailleurs déjà commencé à souffrir d’exclusions. (Les Echos, Cécile Desjardins, 13 au 14/11)
 
 
Dans une interview accordée aux Echos, Valérie Spies, directrice de la clientèle de la banque Neuflize OBC, analyse l’impact de la crise sanitaire sur l’investissement socialement responsable (ISR). « Les performances des investissements responsables sont tout à fait comparables à celles de la gestion classique. Elles se sont même révélées meilleures ces dernières années, avec un découplage croissant. Le Covid-19 a accéléré la tendance : nous avons constaté une surperformance des mandats ISR de l’ordre de 4,5 % entre janvier et septembre 2020 », souligne la directrice. « La plupart des PME que nous accompagnons font montre de beaucoup d’agilité et de réflexion sur les sujets du développement durable. De fait, les enjeux sont majeurs, tant pour leurs opérations de croissance externe que pour les collaborations qu’elles mettent en place avec d’autres sociétés. La plupart des dirigeants sont aussi conscients que la RSE est un accélérateur de valorisation de leur entreprise », ajoute-t-elle. (Les Echos, Cécile Desjardins, 13 au 14/11)
 
 
L’opération lancée par le groupe Korian tient aujourd’hui le rang du plus important placement privé européen (Euro PP) à impact jamais réalisé en France, avec 230 millions d’euros. Elle témoigne bien de l’évolution du marché des placements privés, où la responsabilité se taille progressivement une place. Selon Marc-Etienne Sébire, avocat associé, responsable des marchés de capitaux chez CMS Francis, “il y a toujours de financements ‘classiques’ mais les opérations durables sont désormais installées”. “On voit dans les opérations qui se préparent que les Euro PP, comme les autres marchés, seront de plus en plus verts et durables, ajoute-t-il. La version révisée de la Charte Euro PP d’octobre 2019 a ainsi intégré dans sa rédaction la possibilité pour ces emprunts d’être “verts”, “sociaux” ou “sustainability-linked”, afin d’éviter le “greenwashing”. (Les Echos, du 13 au 14/11)
 
 
A l’occasion d’une allocution sur l’avenir des services financiers devant la Chambre des communes, le ministre britannique des Finances, Rishi Sunak, a annoncé que le Royaume-Uni émettrait ses premières « green gilts » en 2021. Selon le ministre, ces opérations permettront de financer des projets visant à lutter contre le changement climatique, et notamment « des investissements dans les infrastructures ». Ces « green gilts » aideront également à atteindre l'objectif de neutralité carbone fixé à l'horizon 2050. En outre, cette annonce permettrait au pays de se présenter comme un champion de la finance verte au moment où il s’apprête à accueillir à Glasgow l’an prochain la COP 26, la conférence internationale sur le climat. Par ailleurs, en choisissant de se lancer l’an prochain, le Royaume-Uni rencontrera de la concurrence. Outre la France, et probablement l’Allemagne, d’autres pays ont d’ores et déjà annoncé qu’ils solliciteraient les investisseurs verts. (Les Echos, Alexandre Counis et G. Be., 13 au 14/11)
 
 
450 banques publiques de développement (BPD) se sont réunies en marge du Forum de Paris sur la Paix pour réfléchir à la façon de faire évoluer et coordonner leurs pratiques. Le but est d’avancer dans la lutte contre le réchauffement climatique et en faveur du développement durable en ligne avec l’agenda 2030 des Nations Unies. Ce sommet pourrait alors contribuer à créer des coalitions de banques engagées, plus fortement que d’autres, dans la transition écologique. Pour Rémy Rioux, directeur général de l’Agence française de développement, à l’origine de ce rassemblement, ces BPD ont « un rôle important à jouer ». Elles ont, en effet, une capacité d’intervention de 2 000 milliards de dollars en engagements ou décaissements et elles représentent pas moins de 10 % de l’investissement public mondial total. Il n’est toutefois pas facile de faire travailler dans la même direction des entités fort diverses, car ce sont aussi bien des sociétés financières internationales, des banques agricoles, que des fonds d’investissement. (Les Echos, Michel De Grandi, 13 au 14/11)
 
 
Selon le gouvernement, la perspective d’un projet de loi Convention citoyenne pour le climat, annoncée pour mi-décembre, risque de glisser en janvier. Le texte, dont la rédaction en cours, sera prêt, mais sa sortie se fera « en fonction de l’actualité ». Néanmoins, Matignon assure qu’il n’y a pas de retard structurel et que le calendrier parlementaire n’a pas bougé. En effet, le projet de loi doit être toujours transmis aux députés en janvier. Selon le ministre chargé des Relations avec le Parlement, Marc Fesneau, « l’objectif est de faire en sorte que le texte soit débattu au printemps 2021 et qu’il y ait une adoption avant la fin de la session parlementaire estivale ». Il ajoute également que « des contingences budgétaires ou d’autres contingences [peuvent survenir], qui font qu’on bouscule le calendrier ». Le reconfinement a, par ailleurs, perturbé les réunions prévues entre les parlementaires et les citoyens de la Convention. (Les Echos, Muryel Jacque, 13 au 14/11)
 
REGLEMENTATION BANCAIRE
 
Malgré la crise, l’Autorité des marchés financiers (AMF) poursuit ses missions de régulation. En 2020, le régulateur français a continué à œuvrer aux côtés des législateurs, émetteurs et investisseurs, pour réaliser de nouvelles réglementations, favoriser l’innovation ou faire la chasse au « greenwashing ». Par ailleurs, pour accompagner le développement de la finance verte, l’AMF contribue à l’élaboration de nouvelles normes européennes. Elle a notamment participé à la consultation sur les standards d’application du règlement Disclosure, une des réflexions sur la révision de la directive sur l’information extra-financière des entreprises. À l’échelle nationale, l’Autorité encourage l’innovation émanant des acteurs financiers. « Nous avons par exemple publié une doctrine sur les démarches de compensation de l’empreinte carbone à l’intention des sociétés de gestion », précise Philippe Sourlas, secrétaire général adjoint chargé de la direction de la gestion d’actifs de l’AMF. Il ajoute que l’AMF tient également un rôle important pour protéger les épargnants. (Les Echos, 13 au 14/11)
 
 
BNP Paribas doit répondre à des questions sur la lutte contre la corruption dans le cadre d'un accord avec la Deutsche Bank Prime Brokerage. L'Agence française de lutte contre la corruption (AFA) a mis en cause un paiement effectué à une entreprise d'un ancien négociant de Goldman Sachs qui s'élevait à des centaines de milliers de livres. La Financial Conduct Authority du Royaume-Uni a également été informée du paiement, mais elle n'a pas encore décidé si elle allait lancer une enquête officielle. (ft.com, Owen Walker, 12/11)
 
AGRICULTURE
 
Selon l’ONU, les 500 millions de petites exploitations agricoles, qui sont particulièrement exposées aux effets du réchauffement, ne reçoivent que 1,7 % des financements climatiques. En effet, sur les 569 milliards de dollars engagés en 2017 et en 2018 à l’échelle mondiale pour s’adapter au réchauffement et l’atténuer, seulement 10 milliards sont allés à cette myriade de fermes familiales, a affirmé un rapport que le Fonds international de développement agricole (Ifad) a publié, le 12 novembre, à l’occasion du sommet Finance en commun. La hausse des températures, ainsi que les périodes de sècheresse et d’inondation de plus en plus longues et intenses, font d’ailleurs plonger les rendements. Le rapport préconise ainsi de mobiliser des milliers de milliers de dollars pour que la situation s’arrange. Pour Liza Leclerc, coordinatrice du programme environnement et changement climatique de l’Ifad, « les banques agricoles nationales et régionales doivent aussi aligner leurs financements avec l’Accord de Paris ». (Les Echos, Joël Cossardeaux, du 13 au 14/11)
 
CONJONCTURE ECONOMIQUE
 
À cause de l’épidémie du coronavirus, le Forum des banques centrales, organisé chaque année à Sintra par la Banque centrale européenne (BCE), s’est déroulé, le 12 novembre, en vidéoconférence. Christine Lagarde, présidente de la BCE, Andrew Bailey, gouverneur de la Banque d’Angleterre, et Jérôme Powell, président de la FED se sont exprimés, à cette occasion, sur les élections américaines. Ils ont également salué les avancées sur le vaccin contre le coronavirus et ont réaffirmé qu’une réponse forte était encore nécessaire pour accélérer la reprise. Pour Christine Lagarde, il est indispensable de maintenir des conditions de financement les plus basses possible, tant pour les entreprises que pour les ménages. Dans ce contexte, la BCE s’est engagée à apporter une réponse continue, puissante et ciblée, au moins jusqu’à la fin de la crise sanitaire. (Les Echos, Guillaume Benoit, 13 au 14/11)
 
 
Selon les chiffres publiés le 12 novembre par le Bureau national des statistiques (ONS), le PIB du Royaume-Uni a rebondi de 15,5 % au troisième trimestre, grâce à la réouverture de l’économie. Les données montrent cependant un fléchissement du rythme de l’activité en septembre, laissant augurer une fin d’année difficile. En effet, même si l’ONS souligne qu’il s’agit du cinquième mois de hausse d’affilée, l’activité britannique reste inférieure de 8,2 % à son niveau de février. Par ailleurs, d’après des prévisions dévoilées la semaine dernière, la Commission européenne table sur une récession de 10,3 % pour le Royaume-Uni sur l’ensemble de l’année, contre 7,8 % pour la zone euro, et un rebond limité à seulement 3,3 % en 2021, contre +4,2 %. (Les Echos, Claude Fouquet et Alexandre Counis, 13 au 14/11)
 
 
Les ministres des Finances du G20, réunis ce 13 novembre, pourraient signer un accord historique réunissant non seulement le Club de Paris, mais aussi, pour la première fois, la Chine, l’Inde, l’Arabie Saoudite, la Turquie, le Koweït et les Emirats arabes unis, autour d’un cadre commun pour restructurer au cas par cas la dette des pays pauvres. Pour l’instant, la dette a seulement été reportée dans le temps. Par ailleurs, le Fonds monétaire international (FMI) estime que « la pandémie va effacer les progrès accomplis depuis les années 1990 pour réduire la pauvreté mondiale ». Or, tandis que les banques centrales volent au secours des économies avancées en faisant tourner la planche à billets, « un clivage énorme est en train de se faire, en matière de risque souverain, entre le monde des pays les plus riches qui retrouve une forme de confiance en construisant un univers où la menace du risque de liquidité semble apaisée, et le monde des pays plus pauvres qui n’auront pas un prêteur en dernier ressort illimité pour les soutenir », affirme Tania Sollogoub, économiste spécialiste des émergents et des risques géopolitiques au Crédit Agricole. (L’Opinion, Jade Grandin de l’Eprevier, 13 au 14/11)
 
 
Retrouvez la synthèse du 12/11/2020 ici : https://xml.luqi.fr/casa/fluxpresse/20201112/synthese.html
 
Synthèse réalisée par Cision-L'Argus de la Presse
 
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