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Cette année, dans le cadre d’Octobre Rose, la caisse régionale de Crédit Agricole Nord Midi-Pyrénées a renouvelé son engagement dans la lutte contre le cancer. Du 1er au 17 octobre 2022, ses salariés ont décidé de faire le tour du monde en parcourant 40 075 km en marchant, en courant ou en pédalant. Leur objectif est de faire un don de 8 000 euros aux associations locales engagées dans la lutte contre le cancer. 2 000 euros ont déjà été remis aux associations aveyronnaises Ligue contre le cancer et Tout le monde contre le cancer, soit 1 000 euros chacune. (Midi Libre, 24/10)
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Muriel Hurtis, ambassadrice du label « Le Sport pour Valeur » du Crédit Agricole Alpes Provence, Jean-Luc Lesieur, vice-président de la Caisse Locale de Marseille Centre du Crédit Agricole Alpes Provence, et Paul Leccia, président du Cercle des Nageurs de Marseille (CNM) ont renouvelé leur partenariat. Le Crédit Agricole Alpes Provence a créé il y a 7 ans le label « Le Sport pour Valeur » pour traduire son engagement auprès des clubs sportifs amateurs du territoire et de la formation des jeunes. (La Provence, 22/10)
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Crédit Agricole annonce le lancement de deux nouvelles offres qui visent à accompagner les micro-entrepreneurs et les entreprises individuelles. Accessibles à partir de 8 euros par mois, Propulse by Crédit Agricole et LCL Essentiel Pro proposent un compte professionnel sans engagement entièrement digital, ainsi qu’une plateforme de services de gestion extrabancaires. (L’Agefi, 25/10)
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Face à la baisse de la croissance économique et couplée à l’inflation élevée et politiques monétaires menées par les Banques centrales, Amundi ETF arbore une position défensive sur les actifs risqués. La structure veut privilégier les entreprises à fort potentiel qui résisteront à la fluctuation du marché économique. Le gestionnaire d’actifs estime qu’« au niveau géographique, les États-Unis devraient continuer à mieux performer que l’Europe, qui est la zone la plus menacée par les risques de stagflation et les tensions géopolitiques ». (Opinion Finance, 24/10)
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Le 20 octobre, L’Agefi a remis les European ETF Awards 2022, les récompenses pour les meilleurs ETF selon la méthodologie de Trackinsight. Les douze lauréats sont répartis en trois catégories et quatre thématiques. Amundi est récompensé dans deux catégories, comme celui du « most efficient tracking award », remporté par Amundi MSCI Eastern Europe ex Russia UCITS ETF. Amundi MSCI Em Latin America UCITS ETF figure parmi les lauréats de l’« investor inspiration award ». (L’Agefi quotidienne, Réjane Reibaud, 21/10)
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HiPe Kids, l'edtech niçoise spécialisée dans les cours d'anglais en ligne pour les enfants de 3 à 18 ans, prévoit d’intégrer le gaming et l’intelligence artificielle dans l’apprentissage numérique. L’edtech est un secteur en pleine expansion. « II existe de vraies lacunes dans l'offre d'enseignement en France, en ligne comme en présentiel », estime Mehdi Benrahhalate, cofondateur de HiPe Kids. En 2021, son chiffre d’affaires avoisinait les 200 000 euros. Soutenu par le Village by CA, Mehdi Benrahhalate espère boucler un tour de table de 1 million d’euros d’ici la fin 2022. (La Tribune édition quotidienne, 22/10)
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Société Générale et trois de ses organisations représentatives se sont accordées, le 21 octobre 2022, sur une hausse des rémunérations des salariés du groupe en France. L’objectif est de les aider à faire face à l’inflation. Dans les détails, Société Générale s’engage à augmenter de 3% les salaires inférieurs à 60 000 euros bruts annuels, et de 2% les salaires compris entre 60 000 et 80 000 euros bruts annuels. Ces augmentations seront appliquées à partir du 1er avril 2023. La banque va également verser une prime de partage de 1 700 euros à partir de la fin du mois de janvier 2023. Pour cela, l’établissement va débloquer 166 millions d’euros. Société Générale rejoint les autres banques françaises, dont le Crédit Agricole, qui ont déjà accordé des hausses de salaire à leurs salariés. (Les Echos, Edouard Lederer, 24/10 ; L’Agefi, Aurélie Abadie 25/10)
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Pour limiter l’inflation, la Banque centrale européenne (BCE) envisage des hausses de taux et une réduction de bilan. Toutefois, il s’agirait d’une solution homogène pouvant être entravée par les disparités croissantes des situations entre pays de la zone euro. « Il semble qu'il faudrait davantage encourager les mesures fiscales ciblées et coordonnées, plutôt que de confier la lutte contre l'inflation à la seule banque centrale, avec les dégâts pour l'économie que pourrait causer une politique monétaire à marche forcée », suggère Eric Dor, directeur des études économiques à l'IESEG. (L’Agefi, Fabrice Anselmi, 25/10)
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PRODUITS / MÉTIERS / ACTIVITÉS BANCAIRES
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Les chiffres publiés par Amundi ont montré que les fonds indiciels ont résisté aux mauvaises conditions de marché. Selon Amundi, la collecte de l’industrie des fonds indiciels cotés (ETF) a reculé en Europe : en août (-743 millions d’euros) et en septembre (-1,4 milliard d’euros). En revanche, au niveau mondial, elle reste positive de l’ordre de 34,4 milliards d’euros en septembre, portée par les Etats-Unis (+24,3 milliards d’euros) et par les marchés asiatiques (+11,4 milliards d’euros). (Les Échos, Rachel Montero, 25/10)
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Selon la dernière enquête du fournisseur d’ETF SPDR, menée auprès de 700 acteurs dans le monde, les investisseurs utilisent de façon croissante ETF pour la gestion des poches obligataires des portefeuilles qui est actuellement soumise à de multiples changements. « Les ETF sont des fonds cotés qui sont par nature liquides, peu coûteux et simples à traiter. Ils répondent ainsi à de nombreux usages tant structurels que tactiques », précise Antoine Lesné, responsable de la recherche et de la stratégie chez SPDR. Ces fonds permettent d’ajuster les portefeuilles à la remontée des taux d’intérêt en diminuant la duration et d’accélérer l’intégration des critères ESG dans les portefeuilles. Pour 41 % des sondés, les ETF obligataires sont indispensables pour accompagner l’intégration croissante d’instruments non cotés dans les portefeuilles. (Les Échos, R. M., 25/10)
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ESG ET TRANSITIONS ENVIRONNEMENTALES ET SOCIETALES
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Les banques renforcent leurs financements dans la lutte contre le changement climatique. En 2021, l’ensemble des encours « verts » des banques françaises ont atteint plus de 100 milliards d'euros contre 76,2 milliards en 2020. Pour parvenir aux objectifs de l’Accord de Paris, des changements ont été opérés dans l’ensemble du secteur bancaire, la mise en place des politiques de désengagement du charbon d'ici à 2030. Les banques prévoient aussi un désengagement dans les hydrocarbures. Cependant, « penser que les banques peuvent devenir entièrement vertes du jour au lendemain est dangereux et impossible. Nos portefeuilles de crédit reflètent l'état de l'économie qui est encore carbonée », signale Laurent Mignon, président du directoire de BPCE et président de la Fédération bancaire française (FBF). (Le Figaro, Danièle Guinot, 25/10)
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Dans le cadre de la lutte contre le changement climatique, le Carbon Disclosure Project (CDP) lance sa campagne annuelle visant à inciter les entreprises à se fixer des objectifs d’émission de gaz à effet de serre sur leurs scopes 1, 2 et 3 avec une trajectoire à 1,5°. Cette campagne est soutenue par 318 institutions financières, dont Crédit Agricole. En 2022, le CDP vise plus de 1 000 entreprises dans le monde, contre 1 610 pour la première édition en 2020. Selon le CDP, 44 % de l’indice boursier mondial MSCI All Country World n’ont toujours pas mis en place d’objectifs crédibles en matière de climat. (L’Agefi Quotidien, 25/10)
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Selon un sondage réalisé auprès de 300 entreprises de plus de 100 employés par l’institut Viavoice et le cabinet Les Temps Nouveaux pour Sopra Steria Next et Les Echos, plus des trois-quarts des entreprises envisagent le déploiement d’un plan de sobriété afin d’économiser de l’énergie. Selon Philippe Muller, partenaire chez Sopra Steria Next, les dirigeants d’entreprises « sont à l’offensive pour rendre leur entreprise attractive, et prendre le virage de la transition énergétique ». (Les Echos, Nathalie Silbert, 25/10/2022)
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Amir Sharifi, directeur des investissements de Hy24, s’exprime sur les enjeux du secteur de l’hydrogène. Il parle du fonds dédié à l’hydrogène décarboné qui réunit plusieurs acteurs clés comme TotalEnergies, Air Liquide et Vinci Concessions. En décembre 2021, les investisseurs sont rejoints entre autres par Axa, Crédit Agricole Assurances. Le fonds disposait alors d’un milliard d’euros. Amir Sharifi espère que d’autres fonds seront levés, car « l’hydrogène est un sujet tellement transversal qu’il donne lieu à des coopérations inédites entre des acteurs qui avaient pour habitude de fonctionner en silo ». (Option Finance, Joffrey Marcellin, 24/10)
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Lors de la COP26 pour le climat en Écosse, 145 États s’engageaient en 2021 à mettre fin à la déforestation et à la dégradation des terres en 2030 dans l’espoir d’atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050 et de préserver la biodiversité. Or, un an plus tard, « les États ne sont pas sur la bonne trajectoire pour atteindre l’objectif…même si de modestes progrès ont été enregistrés », estime Erin Matson, consultante pour la société de conseil Climate Focus. Bien que la déforestation ait diminué de 6,3% en 2021 par rapport au taux de déforestation moyen pour la période 2018-2020, selon une « Évaluation de la déclaration pour les forêts » publiée par Climate Focus le 24 octobre 2022, près de 6,8 millions d’hectares de forêt ont disparu en 2021. En outre, les engagements financiers pour les forêts restent insuffisants, soulignent les auteurs de l’évaluation. (Le Monde, P.M., 25/10)
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Selon l’édition 2022 du sondage « Les Français et le recyclage » réalisé du 6 au 7 juin 2022 par l’entreprise de sondages politiques et d’études marketing française OpinionWay pour Les Échos, 50% des citoyens français interrogés manquent d’enthousiasme face à la valorisation des déchets. Le manque de volonté politique est mentionné par 38% des sondés, et le manque d’engagement de la part des entreprises concerne 34% des répondants. En outre, ce sont 95% des enquêtés qui estiment que les entreprises françaises doivent davantage s’impliquer en matière de recyclage. « Il y a une conscience forte que les entreprises font davantage partie du problème que de la solution », explique le sociologue Ronan Chastellier. (Les Échos, Julie LeBolzer, 25/10)
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À quelques jours de la présentation du plan de restructuration de son activité, Credit Suisse a conclu, le 24 octobre 2022, un accord avec l’État français lui évitant un procès pour « blanchiment aggravé de fraude fiscale » entre 2005 et 2012. Selon les termes d’une convention judiciaire d’intérêt public (CJIP), que la banque a signée avec le parquet national financier (PNF), elle versera à l’État une amende de 238 millions d’euros à la France. Sur cette affaire, l'enquête du parquet financier avait débuté en 2016 après la réception de signalements dans le cadre d’une entraide financière pour blanchiment. Au total, 5 000 clients de Credit Suisse sont concernés, représentant 2 milliards d’avoirs dissimulés. Cette situation intervient une semaine après que Credit Suisse a accepté de payer 495 millions de dollars à la justice américaine pour litige concernant des titres adossés à des créances hypothécaires. (Le Figaro, D.G., 25/10)
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Depuis que Mark Zuckerberg, fondateur et PDG de Facebook, a changé le nom de son groupe en Meta, en référence au métavers, plusieurs projets se lancent dans l’objectif de « révolutionner internet » avec des expériences plus immersives. Dans ce contexte, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, a demandé, le 14 février 2022, une mission exploratoire visant à informer les décideurs sur « les grands enjeux économiques, sociétaux et culturels que soulève le développement des métavers ». Rédigée par Camille François, enseignante à l’Université de Columbia et chercheuse à l’Institut français de géopolitique, l’avocat Adrien Basdevant, membre du Conseil national du numérique et Rémi Ronfard, chercheur à l’Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique (Inria), le rapport a été présenté le 24 octobre au gouvernement au ministère de la Culture. Indiquant que le métavers constitue un futur enjeu de souveraineté culturel au niveau mondial, le document liste plusieurs atouts que possède la France. (L’Agefi Quotidien, Louis Tellier, 25/10)
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Selon l’indicateur des directeurs d’achats des grandes entreprises (indice PMI) publié le 24 octobre 2022 par l’entreprise américaine S&P Global, l’indice de l’industrie en zone euro est tombé à 47,1 en octobre 2022, son plus bas niveau depuis deux ans et demi. Un recul de l’activité économique qui s’expliquerait, selon un sondage réalisé par S&P Global auprès de 750 entreprises, par une incertitude générale de la part des entreprises vis-à-vis de « la hausse des prix, des conditions défavorables sur les marchés et du niveau élevé des stocks chez les clients ». Le contexte les pousserait à suspendre leurs commandes et leurs projets d’investissements. (Le Figaro, Anne de Guigné, 25/10)
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Au Royaume-Uni, l’ex-banquier Rishi Sunak s’apprête à succéder à Liz Truss après avoir perdu la course à la tête du Parti conservateur face elle. L’ex-ministre des Finances est le troisième Premier ministre britannique en l’espace de quatre mois, après le court mandat de Liz Truss (44 jours) qui avait été marqué par les turbulences financières et de multiples revirements sur la politique fiscale. Dans ses débats face à Liz Truss cet été, il avait averti sur les risques liés à son plan de baisses d’impôts. Il apparaît comme une figure rassurante pour les marchés. Le 24 octobre 2022, la livre s’est reprise et les taux des obligations d’État sont revenus au niveau d’avant le « mini-budget » de Liz Truss. Néanmoins, cette tendance favorable pourrait n’être que de courte durée, alors que les investisseurs se concentrent sur les perspectives de l’économie britannique qui s’annoncent plutôt sombres. Rishi Sunak, dont la victoire signe le retour de la rigueur budgétaire, aura pour tâche de restaurer la crédibilité du pays sur les marchés financiers. (Les Echos, Ingrid Feuerstein, 25/10 ; Les Echos, In. F., 25/10)
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Synthèse réalisée par Cision-L'Argus de la Presse
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