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EDF et Crédit Agricole Corporate and Investment Bank (CACIB) ont annoncé la signature d'un prêt bilatéral vert d'un milliard d'euros afin de financer la maintenance du parc nucléaire existant d'EDF en France. Il s’agit d’une première mondiale dans le domaine de la transition énergétique. Le prêt s’inscrit dans le programme industriel majeur du Grand Carénage qui vise à améliorer la sûreté et à poursuivre le fonctionnement des réacteurs du parc nucléaire au-delà de 40 ans. Cette transaction est conforme au Green Financing Framework d’EDF de juillet 2022. (L’Agefi Hebdo, 24-30/11)
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Dans le cadre du deuxième baromètre effectué par LCL et GreenFlex sur les entreprises, des PME et ETI ont été interrogés sur la manière dont ils appréhendaient les enjeux de la lutte contre le réchauffement climatique. Pour 60% des entreprises interrogées, leurs motivations en matière de stratégie bas carbone se sont renforcées au cours de l’année écoulée. (L’Agefi Hebdo, 24-30/11)
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Dans une tribune publiée par L’Agefi Hebdo, Didier Borowski, responsable global views d’Amundi Institute, affirme que l’incohérence des politiques monétaires et budgétaires dans l’Union européenne fait peser un risque sur l’économie du continent. « L’Europe traverse un épisode stagflationniste qui met à rude épreuve la politique économique », souligne Didier Borowski. Selon ce dernier, le policy mix qui en résulte est inefficient à double titre. « Insuffisamment ciblées, les mesures budgétaires ont ou auront un impact inflationniste, ce qui peut conduire la BCE à normaliser davantage sa politique monétaire », ajoute le responsable. (L’Agefi Hebdo, 23/11)
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BNP Paribas va intégrer les bonus dans sa méthode de calcul des écarts de rémunérations entre hommes et femmes. Cette décision concernera les quelque 40 000 employés de BNP Paribas SA. La CFDT BNP Paribas avait dénoncé il y a deux ans sa méthode de calcul visant à mesurer et corriger les écarts. Selon elle, cette dernière n’intégrait pas la rémunération variable au moment de comparer les salaires. La justice a donné raison au syndicat le 27 septembre. La CFDT appelle par ailleurs à « la rapide réouverture des négociations » sur des mesures visant à « définitivement supprimer les écarts injustifiés de rémunération ». (Les Échos, Édouard Lederer, 25-26/11)
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À l'exception de Boursorama Banque, les banques en ligne françaises semblent avoir du mal à attirer de nouveaux clients. Fin septembre 2022, Boursorama Banque comptait 4,3 millions de clients. Elle n’est plus très loin d’atteindre son objectif de 4,5 millions de clients pour 2025 et de « figurer parmi les grandes banques de détail en France ». Selon un sondage OpinionWay pour MoneyVox réalisé du 26 septembre au 19 octobre 2022, en France 4 % des clients des banques déposent la majorité de leurs revenus chez Boursorama. Bien qu'elles soient présentes sur le marché français depuis plus de dix ans, des banques telles que Hello Bank ou BforBank n'ont pas encore atteint le million de clients. Cependant, les résultats de l'enquête montrent que les banques en ligne ont encore une marge. 32 % des personnes interrogées ont répondu qu’elles seraient prêtes à confier leurs revenus aux banques en ligne. De plus, la presque-gratuité des services bancaires en ligne motive les gens à changer de banque. (www.moneyvox.fr, Vincent Mignot, 24/11)
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Après le scandale du pillage du fonds souverain de Malaisie 1MDB, Goldman Sachs devait redorer son image et son cours en Bourse. Comme stratégie, le groupe voulait se développer dans la banque de détail pour engager des dépôts et revenus récurrents. Mais, quatre ans après l’arrivée de David Solomon à la tête de Goldman Sachs, l’image de ce dernier ne s’est pas fondamentalement améliorée. Mi-octobre 2022, David Solomon a décidé de chambouler l’organisation interne pour doper les synergies entre activités. « Ce nouveau mouvement peut aider à garder les managers et les employés de Goldman sur le qui-vive. Mais on se demande toujours dans quelle mesure cette réorganisation fera une différence », souligne Mike Mayo, analyste chez Wells Fargo. Par ailleurs, David Salomon a réussi à améliorer la performance boursière du groupe. (Les Échos, Véronique Le Billon, 25-26/11)
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Alors que les entreprises françaises font face à des difficultés de recrutement, le taux de chômage reste élevé. La dernière enquête de la Banque de France montre que 55% des sociétés peinent à trouver des salariés, contre 49% en 2021. S’agissant du taux de démission, il atteint son plus haut niveau depuis la crise financière, à 2,7%, selon la Direction de l’Animation de la recherche, des Études et des Statistiques (Dares). De son côté, Didier Borowski, responsable de la recherche sur les politiques macroéconomiques au sein d’Amundi Institute, constate que « le plein impact de la guerre en Ukraine ne s’est pas encore matérialisé. Or, l’emploi est un indicateur retardé ». « Actuellement, la résilience de l’emploi dans un environnement de croissance en baisse signifie que la productivité s’affaiblit, ce qui peut se révéler inflationniste. De ce fait, la BCE pourrait être contrainte de remonter les taux plus fortement que prévu, même en cas de récession », estime l’expert. (L’Agefi Hebdo, Corentin Chappron, 24-30/11)
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PRODUITS / MÉTIERS / ACTIVITÉS BANCAIRES
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L’assurance-vie et le Livret A offrent de belles perspectives de rentabilité pour 2023. Pour l’assurance-vie, les assureurs devraient s’appuyer sur les provisions pour participation aux bénéfices (PPB), afin de servir des taux restant attractifs en 2022, estime le site Good Value for Money. Selon le site, les PPB des assureurs français s’élèvent à 71,4 milliards d’euros. « Sur le papier, cela leur permettrait de soutenir les taux servis sur les fonds en euros de leurs clients de 0,8% par an pendant huit années », explique son fondateur Cyrille Chartier Kastler. Le Livret A pourra de son côté compter sur une nouvelle hausse de son taux de rémunération au 1er février 2023, a annoncé la Banque de France. Fixé à 2% depuis le 1er août, ce taux pourrait monter à 3%. (Le Parisien, Maxime Gayraud, 25/11)
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Dans le cadre d’une interview accordée aux Échos, Thierry Martel, directeur général de Groupama, rappelle que « le montant des sinistres indemnisés en France a quadruplé » depuis 2010 en raison du changement du climat. Pourtant, les conditions climatiques ne cessent de se dégrader. Pour y faire face, les assureurs devront prendre plusieurs mesures, dont l’augmentation des tarifs. « Avec l’accroissement du nombre des sinistres et de leur coût, elle est inévitable », estime Thierry Martel, précisant que les engagements pris récemment par la profession en matière de modération tarifaire ne pourront pas être tenus dans la durée. Votée en 2022, la réforme de l’assurance agricole vise à augmenter la proportion d’agriculteurs assurés contre la perte de leurs récoltes. Pour Thierry Martel, il s’agit d’ « une approche très novatrice et moderne ». (Les Échos, 25-26/11)
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Le Crédit Mutuel est la première banque à se lancer dans un investissement quantique de plusieurs millions d’euros aux côtés d’IBM, via sa filiale technologique Euro Information. « Notre collaboration avec IBM dans le domaine des solutions cognitives nous a permis de développer des modèles qui arrivent à de bons niveaux de pertinence, avec, dans leurs domaines de connaissances jusqu’à 92 % de réponses correctes », explique Frantz Rublé, président d’Euro Information. De son côté, la Banque de France a déjà réalisé avec succès une expérimentation de sécurisation post-quantique avec la start-up Cryptonext Security, spin-off de l’Institut national de la recherche en sciences et technologies du numérique (Inria) et de l’Université Paris Sorbonne. « En pratique, cela nous a amenés à combiner un algorithme d’échange de clés résistant à une attaque quantique avec un algorithme sécurisant l’échange de flux et à intégrer cet assemblage dans nos systèmes », souligne Thierry Bedoin, directeur général du système d’information de la Banque de France. (L’Agefi Hebdo, Alexandra Oubrier, 24-30/11)
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La protection du chef d’entreprise est souvent un sujet sous-estimé en matière de gestion de patrimoine, voire traité à la marge. Les Échos Week-end font le point sur les solutions leur permettant de gérer au mieux leurs patrimoines. Parmi elles figure l’assurance décès. « Cette protection est simple et efficace pour un dirigeant trentenaire qui a encore peu de patrimoine personnel. Une prime de quelques milliers d’euros par an permet de s’assurer pour un capital proche du million d’euros », explique la directrice de l’ingénierie juridique et fiscale de la banque Indosuez Wealth Management, Christelle Sauvage. En outre, le chef d’entreprise devra accorder de l’importance au contrat de mariage. « Il serait pertinent de modifier le régime matrimonial afin d’y adjoindre une société d’acquêts, en vue de réaliser un rééquilibrage des patrimoines entre les époux », suggère Christelle Sauvage. (Les Échos Week-end, 25-26/11)
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En pleine crise inflationniste, les syndicats du leader du paiement en ligne Worldline appellent à une nouvelle journée de grève pour le « Black Friday » du 25 novembre 2022 afin de revendiquer les propositions d’augmentations de salaire. Les employés souhaitent 150 euros bruts d’augmentation par mois pour tous, contre entre 10 euros et 70 euros proposés par la direction en deux fois, d’ici à juillet 2023. Sur les marchés français, « pour prendre des parts de marché, Worldline devra probablement nouer des accords de joint-venture avec les banques. Il discute ainsi depuis plusieurs semaines d’une alliance avec le Crédit Agricole », a déclaré l’agence Bloomberg début octobre 2022. (Le Monde, Aline Leclerc et Olivier Pinaud, 25/11)
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ESG ET TRANSITIONS ENVIRONNEMENTALES ET SOCIETALES
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Dans un communiqué publié le 23 novembre 2022, Orange a annoncé la signature d'un crédit renouvelable syndiqué multidevises de 6 milliards d’euros avec 27 banques « internationales ». « C’est le premier crédit que nous contractons dont la marge va varier en fonction de performances sociales et environnementales », indique Matthieu Bouchery, directeur financement et trésorerie du groupe Orange. Crédit Agricole CIB a participé à l’opération en tant que coordinateur RSE et agent. (L’Agefi Hebdo, Capucine Cousin, 25/11/2022)
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La société française à capitaux publics et privés Semardel obtient des conditions améliorées pour les crédits de ses projets innovants pour l'environnement. Elle vient de bénéficier d’un financement global de 50 millions d’euros auprès de ses banques proches, dont 12 millions d’euros pour un projet de construction de méthaniseur, et 26 millions d’euros pour couvrir ses investissements pour la période 2023-2025. Parmi les banques partenaires de la société figurent le groupe Crédit Agricole, via la Caisse régionale de Paris et d’Île-de-France, ainsi qu’Unifergie, filiale de Crédit Agricole Leasing & Factoring. (L’Agefi Hebdo, Frédérique Garrouste, 24-30/11)
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Dans une interview accordée aux Échos, Philippe Zaouati, directeur général de Mirova, qui célèbre ses dix ans d’existence, dresse le bilan de la COP27. Selon lui, l’évènement n’a pas été concluant, de nombreuses questions restent sans réponse. Pour le directeur général, il faut revoir complètement le système financier international. Pour cela, il propose de réformer le FMI, la Banque mondiale, les banques centrales et les mécanismes financiers internationaux afin d’inclure une dimension durable. « II faudrait in fine davantage de cohérence entre les lois, les directives et les labels de la finance durable », poursuit Philippe Zaouati. (Les Échos, 25-26/11)
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Les engagements des entreprises en faveur des énergies renouvelables ne cessent de se multiplier, alors qu’aujourd’hui une entreprise doit s’armer de patience pour signer un contrat avec un fournisseur d’énergie renouvelable. Selon Christine Delamarre, directrice générale d’Unifergie et d’Auxifip, chez Crédit agricole Leasing & Factoring, il faut 18 mois à 2 ans pour obtenir les autorisations d’un projet puis le construire. « Il existe peu d’actifs disponibles pour répondre à la demande des industriels et entreprises », a-t-elle indiqué. (Le Figaro, Guillaume Guichard, 25/11)
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La Banque Postale s’engage dans un programme de mécénat sociétal, baptisé « L’Envol », en attribuant aux élèves un parrain ou une marraine parmi les salariés volontaires de l’entreprise. Les jeunes retenus sont accompagnés durant quatre ans. La déléguée générale de L’Envol, Stéphanie Martin, indique que « l’objectif est de donner à ces jeunes des clés et les codes utiles pour réussir leur parcours, lever des freins et élargir leur horizon ». Les entreprises, mettant en œuvre ce mécénat de compétence, bénéficient d’une réduction d’impôts de 60% du montant du salaire chargé des volontaires. (L’Agefi Hebdo, Helene Truffaut, 24-30/11)
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Bruxelles va demander aux banques européennes de rediriger une partie de leurs flux vers des chambres de compensation implantées en Europe. Dans ce cadre, les fonds de pension européens devront passer, dès l’été prochain, par ces « clearing houses » pour les transactions sur produits dérivés, ce qui n’était à présent que facultatif. En parallèle, les grandes banques les plus actives sur le marché des dérivés devraient traiter une proportion de leurs opérations via une chambre européenne. Cette décision est liée à la récente crise de la dette britannique, qui a mis l’accent sur l’importance de suivre de près cette activité. (Les Échos, Guillaume Benoit, 25-26/11)
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Une ordonnance adoptée par l’exécutif, publié au Journal Officiel du 24 novembre 2022, fixe les « sanctions des manquements des entreprises d’assurance à leurs obligations ». Selon ce texte, les assureurs pourront risquer jusqu’à trois campagnes de récolte d’interdiction de distribution de produit multirisque climatique (MRC) en cas de manquements. Il prévoit également une sanction pécuniaire pouvant s’élever à hauteur de 2% du chiffre d’affaires annuel réalisé en France hors taxes ou cinq millions d’euros d’amende. (L’Agefi, 24/11)
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Une enquête réalisée par des experts franco-belges et publiée le 21 novembre 2022 dans la revue Frontiers in Sustainable Food Systems chiffre entre 372 millions d’euros et 8,2 milliards d’euros les coûts annuels liés à l’usage en France des pesticides en agriculture. « Les maladies professionnelles liées aux pesticides ne représentent sans doute qu’une petite partie des conséquences sanitaires de l’usage de ces produits, explique M. Baret. II n’existe aujourd’hui pas de données suffisamment robustes sur leur impact pour attribuer le coût des maladies à l'exposition aux pesticides, ni pour les populations riveraines des exploitations ni pour la population générale », fait savoir l’agronome Philippe Baret, un des auteurs de l’étude. D’après les chercheurs, seules les subventions directement touchées par le secteur agrochimique ont pu être considérées. (Le Monde, Stéphane Foucart, 25/11)
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L’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) a publié, le 24 novembre 2022, une étude prévisionnelle sur l’évolution démographique dans l’Hexagone, principalement basée sur l’état de fécondité. Sur la période 1995-2018, la population française affichait une croissance annuelle variant entre 0,13% et 1,18 %, rappelle l’Insee. « Entre 2018 et 2050, la population augmenterait moins vite dans deux tiers des régions métropolitaines et continuerait à diminuer dans le tiers restant », estime l’Institut. Et à plus long terme, entre 2050 et 2070, cette croissance « ne dépasserait 0,1% dans aucune région », ajoute-t-il. L’Insee souligne par ailleurs des disparités régionales qui sont fortement liées à des phénomènes migratoires intrarégionaux et internationaux. Il anticipe que les régions du sud et de l’ouest pourraient maintenir une croissance de leur population grâce à leur attractivité. (Les Echos, Leïla de Comarmond, 25-26/11)
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D’après l’enquête de l’Insee, publiée le 24 novembre 2022, l’indicateur du climat des affaires est resté pour le troisième mois consécutif à 102 points en novembre. Les chefs d’entreprises demeurent optimistes, car l’économie française a réussi à faire face aux difficultés liées, notamment, à l’inflation galopante. « A la sortie de la crise du Covid, les entreprises ont pu passer des hausses de prix, car la priorité pour le client était de pouvoir s'approvisionner. Pour cela, il était prêt à payer le prix », a indiqué Olivier Garnier, directeur général des statistiques, des études et de l'international de la Banque de France. Cependant, l’avenir s’annonce incertain et l'environnement pourrait se durcir pour les entreprises en 2023. (Les Echos, Nathalie Silbert, 25-26/11)
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Avec l’inflation, la baisse annoncée de la demande et la crise énergétique, 40 % des entreprises industrielles s’attendent à voir une perturbation de leur production cet hiver et les deux tiers anticipent un choc négatif sur leurs marges, selon une étude publiée début novembre 2022 par la Banque de France. « C'est de 15 à 20 % de la valeur ajoutée de l'industrie manufacturière qui, potentiellement, risquent d'être absorbés par la hausse des prix de l'énergie », avertit Olivier Lluansi, associé chez Pwc Strategy, soulignant que « les 10 milliards d’euros d’aides publiques pour aider les entreprises ne sont pas à la hauteur des enjeux ». La situation pourrait entraîner des difficultés de trésorerie pour certaines entreprises. (Les Échos, N.S., 25-26/11)
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Le gouvernement français prévoit de plafonner les superprofits des énergéticiens, une mesure engagée pour faire face à la crise énergétique. Malgré les tensions financières du groupe EDF, le ministère de l’Économie et des Finances estime que le niveau de production annoncé par EDF pour 2023 est compatible avec cette mesure. Pour le groupe, la taxe sur les surprofits des énergéticiens pourrait coûter 5 milliards d’euros. L’enjeu est risqué pour celui-ci, alors qu’il est par une dette qui doit s’apprécier d’au moins 20 milliards d’euros en 2022 et qui pourrait dépasser les 60 milliards d’euros. (Les Échos, Sharon Wajsbrot, 25-26/11)
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Réunis en Conseil extraordinaire, les Vingt-sept pays membres de l’Union européenne n’ont pas réussi à s’accorder sur les mesures de plafonnement des prix du gaz. Le niveau de plafonnement a été fixé à 275 euros par mégawattheure par la Commission européenne, ce qui est trop élevé pour plusieurs pays. Agnès Pannier-Runacher, ministre française de la Transition énergétique, dénonçait un texte insuffisant qui mettrait en danger l’économie. Les ministres européens de l’Énergie ont néanmoins voté des mesures d’urgence comme le renforcement des achats conjoints de gaz ou encore la limitation de la volatilité des prix de l’énergie. (Les Échos, Fabienne Schmitt, 25-26/11)
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Le gouvernement britannique s’engage dans des mesures budgétaires strictes pour faire face à la crise. Selon l’Office for Budget Responsibility (OBR) le pays serait entré en récession. L’organisme table sur une croissance négative de 1,4% pour 2023. Le nouveau budget priorise la stabilité, la croissance et les services publics. La pression fiscale du pays devrait s’élever à 37,1% du PIB d’ici 2028, contre 33,1% en 2019-2020. « L’environnement international demeure très incertain et les principaux partenaires de l’économie britannique (zone euro et États-Unis) s’orientent vers une récession, d’où un fléchissement de la demande externe », expliquent des experts du Crédit Agricole. (Le Revenu, Habib Hobeika, 25/11 – 01/12)
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Synthèse réalisée par Cision-L'Argus de la Presse
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