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Amundi a célébré, en 2022, le 10ème anniversaire de son fonds Amundi Finance et Solidarité, représentant près de 500 millions d’euros. Il s’agit d’un fonds à impact qui investit dans des titres non cotés d'entreprises. Le dispositif vise à avoir une influence positive sur la société et l’environnement. En dix ans, le fonds Amundi Finance et Solidarité a permis notamment de créer ou préserver 59 833 emplois, ou encore de concevoir des logements. 408 875 personnes fragiles ont aussi pu bénéficier d’un accès aux soins et 11 86 hectares de terres agricoles ont été préservés. (Challenges, 05-11/01)
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La finale de l’appel à projets de Capital & Innovation, filiale du Crédit Agricole Alpes Provence (CAAP), s’est déroulée au business center du CAAP à Marseille, en décembre 2022. « L’innovation au secours de la crise de l'eau », telle était la thématique de cet événement. Cet appel à projets avait pour enjeu de trouver des solutions pour dépolluer, recycler, capter ou économiser l’eau. Les startups « ont eu la possibilité de partager entre elles et aussi de rencontrer leurs donneurs d’ordre. C’est un peu le rôle du Crédit Agricole Alpes Provence : alimenter les synergies entre tous les acteurs du territoire », a expliqué Clément Célérier, responsable du développement de Capital & Innovation. Quatre des dix entreprises sélectionnées ont été récompensées. (La Provence, 05/01)
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Une étude réalisée par l’Observatoire financier des entreprises agroalimentaires et publiée en octobre 2022 par le Crédit Agricole révèle que le chiffre d’affaires des coopératives polyvalentes serait en progression de 1,8% sur l’exercice 2021. Malgré la période post Covid-19, le secteur aurait progressé grâce à « un effet prix favorable » et, parfois, à l’essor des activités de jardinerie, ou encore à des opérations de croissance externe. La reprise de la filière semble toutefois inégale, car sur la période étudiée, 40% des acteurs auraient ainsi rencontré un recul de leurs activités. (Agra Fil, 04/01)
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En septembre 2022, les banques françaises se sont engagées à limiter à 2% la hausse maximale des tarifs de base en 2023. « Globalement, les engagements sur la limitation des hausses sont tenus », les quelques hausses « sont principalement dues à l’évolution des prix des cartes, des frais de tenue de compte, de l’assurance des moyens de paiement », indique la CLCV dans son étude tarifaire annuelle. Ces établissements ont également accepté de ramener de 3 à 1 euro par mois l’offre spécifique aux clientèles fragiles (OCF). Toutefois, l’identification des clientèles fragiles s’avère être compliquée. Par ailleurs, il faudrait procéder à la généralisation de la gratuité de certains frais pour incidents dans le cadre de l’OCF. « Une exonération est affichée par 60 banques issues des réseaux du Crédit Agricole dont la Banque Chalus, des Crédits Mutuels, CIC, LCL, Fortuneo, Monabanq ainsi que la Banque Populaire Auvergne Rhône Alpes », mais cette pratique « devrait être étendue », suggère la CLCV. (Les Echos, Edouard Lederer, 05/01)
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En Europe, les banques irlandaises, espagnoles et italiennes ont permis à l’indice STOXX des banques de la zone euro de ne perdre que 5% en 2022, malgré un contexte économique difficile. Ces établissements ont vu leurs revenus augmenter, grâce à la remontée des taux d’intérêt de la Banque centrale européenne (BCE). L’an dernier, les actions de Bank of Ireland, Sabadell et Banco BPM ont respectivement progressé de 79%, 49% et 26%. Du côté des banques françaises, les effets de la hausse des taux tardent à se faire ressentir, en raison du modèle de prêts à taux fixe qu’elles pratiquent. Les titres BNP Paribas, Crédit Agricole et Société Générale ont respectivement reculé de 12%, 21% et 22% en 2022. La hausse des taux devrait stimuler les revenus des établissements français vers 2024. Pour 2023, les analystes estiment que le resserrement de la politique monétaire de la BCE va continuer à profiter aux banques. (Les Echos, Romain Gueugneau, 05/01)
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Dans un communiqué commun, le groupe brestois Crédit Mutuel Arkéa et la Confédération Nationale du Crédit Mutuel (CNCM) annoncent avoir trouvé une entente « sur le cadre et la méthode pour conduire un processus de négociation » au projet d’indépendance d’Arkéa. « Cette négociation donne lieu, sous l’égide de la CNCM, à des travaux d’instruction menés entre les principaux dirigeants exécutifs du Crédit Mutuel, travaux qui aboutiront à l’élaboration de propositions définies entre élus et administrateurs au sein d’une instance dédiée », soulignent-ils. Début novembre 2022, Nicolas Théry, président de la CNCM, a affirmé au média Le Télégramme qu’il existait une « zone d’accord possible ». Il précise que le but est de préserver la cohésion du groupe et consolider l’autonomie de ses membres, en recherchant « une alternative au projet de désaffiliation porté jusqu’ici par les dirigeants du Crédit Mutuel Arkéa ». (L’Agefi, Bertrand de Meyer, 05/01)
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PRODUITS / MÉTIERS / ACTIVITÉS BANCAIRES
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Selon France Assureurs, la collecte nette en assurance vie s’est élevée à 1,4 milliard d’euros en novembre 2022, après cinq mois de faibles ventes ou de retraits de capitaux. Sur les onze premiers mois de 2022, elle s’est établie à 13,7 milliards d’euros, contre 20 milliards en 2021. Cette hausse est due à la collecte des supports en unité de compte qui a atteint 1,7 milliard, compensant la décollecte de 0,3 milliard sur les fonds en euros. La collecte nette des PER a atteint 5,4 milliards d’euros depuis janvier 2022 pour un total de 3,7 millions d’assurés. Elle représente 40% de la collecte du marché. « Pour préserver cette attractivité, la transparence et la lisibilité des frais sont essentielles. C’est le sens de l’annonce que France Assureurs a faite, en invitant ses membres à renforcer, à compter de 2023, l’examen des unités de compte référencées en comparant les frais de chaque UC à un niveau de référence », indique Franck Le Vallois, directeur général de France Assureurs. (Les Echos, Amélie Laurin, 05/01 ; L’Agefi Quotidien, Lionel Garnier, 05/01)
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Le 12 juillet 2022, Swile et Bimpli ont obtenu l’accord pour acter leur rapprochement. Swile acquiert donc 100% de Bimpli et en contrepartie, le groupe BPCE devient le premier actionnaire de Swile avec 22% de participation. Ce rapprochement donnera naissance à un géant du segment des avantages salariés. Swile est axée sur les TPE/PME, tandis que Bimpli opère au niveau du secteur public et des grands comptes. « Nous allons être un acteur puissant, entre la dynamique de croissance de Swile et nos compétences dans le digital, la data, les moyens de paiements », assure Yves Tyrode, directeur général Digital & Payments du groupe BPCE. Ensemble, les deux entités toucheraient jusqu’à 75 000 entreprises et institutions. (Les Échos, Martine Robert, 05/01)
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Le cashback se développe de plus en plus auprès des enseignes. Le dispositif permet aux utilisateurs de bénéficier d’un gain de pouvoir d’achat, par le biais des réductions offertes chez des enseignes ou marchands partenaires. Capital Koala a, de son côté, mis en place un système de cashback dédié à l’épargne. Le cashback bénéficié par le consommateur sera reversé sur le livret d’épargne de ses enfants. En 2010, Capital Koala avait noué un partenariat avec plusieurs acteurs de la finance comme Monabanq, LCL ou encore la Caisse d’Épargne. Avec la hausse actuelle des taux, les banques entendent se lancer dans ce système pour fidéliser leurs clients et enrichir leurs offres. (Revue Banque, Jean-Yves Bernard, janvier 2023)
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En France, le taux moyen de crédit immobilier est passé de 1,07% en janvier à 2,25% en novembre 2022, hors assurance et toutes durées d’emprunt confondues. Cette hausse aurait provoqué, fin novembre, une chute « de 37,3% en glissement annuel et en nombre de prêts » de la production de crédits, indique l’Observatoire Crédit Logement/CSA. Elle aurait entraîné la baisse des ventes de logements. D’après le Pôle Habitat de la Fédération Française du Bâtiment et la Fédération des Promoteurs Immobiliers de France (FPI), les ventes de logements neufs auraient ainsi globalement diminué d’environ 30%. Le dernier bilan du Conseil supérieur du notariat parle aussi d’un ralentissement des ventes du bien immobilier ancien pour 2022. Les prix, eux, résistent au marché. Dans le neuf, ils ont continué d’évoluer de 5,9% en moyenne, selon la FPI. Dans l’ancien, ils ont également augmenté de 5,3% pour les appartements et de 8,2% pour les maisons, au niveau national, au troisième trimestre 2022. (Challenges, Virginie Grolleau, 05-11/01)
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ESG ET TRANSITION ENVIRONNEMENTALES ET SOCIÉTALE
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Dans une recommandation publiée fin décembre 2022, l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) a alerté sur les risques de greenwashing et la communication trompeuse sur le caractère durable de l’investissement dans l’assurance-vie. Le superviseur a observé « un risque d’exposition de la clientèle à des pratiques dites « écoblanchiment » contrevenant l’obligation de délivrer à la clientèle une information claire, exacte et non trompeuse ». Il a noté que l’analyse des publicités d’assurance-vie et d’autres produits de capitalisation « a permis d’identifier certaines pratiques susceptibles d’induire le client en erreur ». Pour plus de transparence, L’ACPR édicte des recommandations qui seront appliquées le 1er avril. Le régulateur demande, entre autres, des contreparties pour pouvoir évoquer des caractéristiques extra-flnancières : dont un minimum de 80% de fonds article 9 ou éligibles à une « communication centrale » ESG. Ces dernières semaines, de nombreuses sociétés de gestion comme BlackRock, Amundi ou encore Axa IM, ont déclassé plusieurs fonds. (Les Echos, A. L., 05/01)
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Dans une tribune parue dans La Revue Banque, Hortense Bioy, CFA-directrice de la recherche sur l’investissement durable chez Morningstar, parle de la règlementation sur la durabilité. Alors que les conseillers financiers sont soumis, depuis le 1er janvier 2023, à une nouvelle obligation dans le cadre de cette règlementation, il reste crucial de clarifier la notion même d’un actif durable, estime-t-elle. Concrètement, ils doivent prendre en compte les préférences de leurs clients en matière d’investissements durables, au même titre que les autres intermédiaires financiers. « La tâche des conseillers s’annonce difficile » à ce stade, indique Hortense Bioy. D’après les données collectées par Morningstar mi-octobre 2022, environ 4 000 (soit moins de 50%) des fonds « durables » disponibles à la vente en Europe fournissaient des informations sur la part dédiée aux investissements durables. Plusieurs sociétés de gestion, dont Amundi et BNP Paribas AM, ont annoncé, depuis, une série de rétrogradations de fonds Article 9 en Article 8. (Revue Banque, Janvier 2023)
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La réglementation imposant aux entreprises françaises de calculer leurs émissions de CO2 ouvrirait d’intéressantes perspectives. « Certaines banques proposent des prêts à taux bonifiés aux PME et ETI, si elles réduisent leurs émissions, ce qui nécessite de réaliser des bilans carbone », explique Xavier Leroy, directeur du pôle conseil d’EthiFinance, une agence de notation extrafinancière. « Quand on réalise un bilan carbone, ce n’est pas la valeur brute des émissions de gaz à effet de serre qui est la plus importante. Mais bien davantage ce que le prestataire va apporter sur le plan de la trajectoire de réduction des émissions ainsi que la force de conviction pour faire bouger les dirigeants », souligne un consultant RSE au sein d’une banque française. (L’Express, Philippine Robert et Lucas Mediavilla, 05-11/01)
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Alors que le vote du projet de loi « verte » se tiendra dans une semaine, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a indiqué le 4 janvier 2023, sur France Inter, qu’il voulait le porter sur « l’industrie verte ». Il a précisé que le texte, dont la présentation est prévue pour le printemps, contiendrait un ensemble de dispositions visant à accélérer la réalisation de sites industriels sur le territoire français et « inciter à la décarbonation de l’industrie ». Le futur projet de loi s’articule autour de plusieurs axes, dont le renforcement de l’attractivité de la France via la réglementation, la fiscalité, et la mobilisation du financement privé. Bruno Le Maire a également insisté sur l’importance de « raccourcir les délais, de simplifier les procédures » et d’octroyer des aides d’État plus importantes. (Les Échos, Isabelle Couet, 05/01)
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Le calendrier de rénovation énergétique fixé dans le cadre de la loi climat et résilience est contraignant pour les 5,2 millions de logements thermiques sur les 30 millions de résidences principales en France. Certains logements classés G au titre du diagnostic de performance énergétique (DPE) ne peuvent plus accueillir de nouveaux baux depuis le 1er janvier 2023. L’interdiction s’étendra aux G à partir de 2025, aux F en 2028 et aux E en 2034. D’après l’Observatoire national de la rénovation énergétique (ONRE) arrêté début 2022, ces mesures concerneront plus de 2 millions de logements à la location d’ici à cinq ans. Elles visent à encourager les propriétaires-bailleurs à réaliser les travaux nécessaires pour améliorer l’isolation et la performance énergétique des bâtiments. Ce calendrier est « intenable » en raison d’une hausse des taxes foncières et d’une « baisse drastique » des rendements locatifs des propriétaires des biens, a indiqué Loïc Cantin, président de la Fédération nationale des agents immobiliers (Fnaim), lors du Congrès de l’organisme en décembre 2022. (Les Echos, Elsa Dicharry, 05/012023)
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En 2023, l’Union européenne (UE) devra se pencher sur trois textes importants de la régulation du secteur bancaire et financière, dont la finalisation de la révision de la réglementation bancaire Bâle III. Cette réforme vise à mettre en place un plancher de capital garantissant que les actifs pondérés par les risques (RWA) des banques, issues des modèles internes, ne puissent pas être inférieurs à 72,5% des RWA calculés selon l’approche standard. Le texte doit faire l’objet d’un vote final au parlement européen, pour une mise en application entre 2025 et 2030. L’UE devra également s’attaquer à la révision de la directive Solvabilité 2 sur les assurances et à la directive des marchés d’instruments financiers (MIF 2-Mifid-MIFIR). (L’Agefi, Fabrice Anselmi, 05/01)
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H2O AM conteste la décision de la Commission des sanctions de l’AMF et a annoncé, le 4 janvier 2023, que la société avait l’intention de déposer un recours devant le Conseil d’État. Pour l’entreprise, deux des trois griefs retenus ne sont pas valides et aucune erreur intentionnelle n’a été commise. La société a également affirmé que la Commission n’a pas examiné la question de la liquidité à la date d’acquisition des titres non cotés, mais une date ultérieure. « Ceci n’a pas de sens, tant sur le plan juridique que sur le plan financier. On ne peut pas prévoir l’irrationalité de la liquidité », selon l’entreprise. Il n’est pas possible de « juger ex-post l’irrationalité des marchés. On ne peut pas prévoir l’irrationalité de la liquidité », a indiqué, Bruno Crastes, cofondateur de la société de gestion avec Vincent Chaille, lors de l’audience. (L’Agefi, Jean-Loup Thiébaut, 05/01)
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En infligeant une amende de 93 millions d’euros à la société de gestion H2O AM et deux de ses dirigeants le 3 janvier 2023, la Commission des sanctions de l’Autorité des marchés financiers (AMF) a battu son record de 2021. En effet, à cette époque, le montant des sanctions attribué sur l’année représentait 61 millions d’euros. En revanche, en 2022, les amendes infligées par l’AMF n’ont pas dépassé les 6,29 millions d’euros pour 12 décisions rendues, un montant figurant parmi les plus faibles depuis sa création. Le gendarme boursier explique cet écart par l’absence d’affaire hors norme en 2022. (Les Echos, L. Boi., 05/01)
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Sur la période 2021-2022, le groupe coopératif agricole Advitam a affiché une perte de 3,5 millions d’euros. Malgré de faibles rendements et un tonnage en baisse de 10%, il a pu atténuer le coup grâce à un travail de tri, de valorisation et de séchage, et par son activité de négoce. Ses activités alimentaires et de distribution ont pâti de la flambée des prix des matières premières. Par contre, le groupe a résisté dans ses autres métiers de négoce. Advitam a pointé une forte baisse de la fréquentation et des paniers moyens après une performance fulgurante pendant la crise sanitaire. Tous les pôles d’activités seront passés en revue en 2023 pour remettre le groupe ordre de marche. Par ailleurs, ce dernier a initié un plan de sobriété énergétique pour soulager la pression. (Les Echos, Olivier Ducuing, 05/01)
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D’après les données provisoires publiées le 4 janvier 2023 par l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), l’inflation en France est descendue à 5,9% sur un an en décembre 2022, contre 6,2% en novembre. L’agence publique associe ce repli à la baisse des prix de l’énergie. Entre novembre et décembre 2022, les prix ont reculé de 0,1%. L’Insee souligne toutefois que la fin de la ristourne à la pompe et le nouveau calibrage du bouclier tarifaire risquent d’entrainer un nouveau rebond de l’inflation en janvier et février 2023. Agnès Benassy-Quéré, directrice générale du Trésor, indique que cette année, « un des principaux moteurs de l’inflation devrait en fait être la hausse des salaires, laquelle pourrait dépasser 6% sur un an, selon la Banque de France ». (Les Echos, Nathalie Silbert, 05/01)
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Le dernier baromètre ManpowerGroup souligne que la prévision nette d’emploi et d’embauche se trouve à un niveau élevé en début d’année, avec une hausse de 27% de janvier à mars 2023. Mathieu Plane, économiste à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), explique que ce dynamisme est porté par les aides accordées aux entreprises depuis trois ans, ainsi que le « quoi qu'il en coûte » pendant la crise pandémique, dont elles ont profité pour embaucher. Sur les neuf secteurs étudiés par ManpowerGroup, sept ont affiché leur intention d’embaucher moins par rapport au 4ème trimestre 2022, mais tous continuent d'afficher des prévisions beaucoup plus positives. (Le Parisien, Catherine Gasté, 05/01)
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Afin d’encourager les sociétés à garder leurs salariés les plus âgés, le gouvernement prévoit de mettre en place un indicateur sur l’emploi des seniors dans les entreprises. Une perspective qui est loin d’être convaincante pour l’ensemble du patronat. « Nous sommes opposés à un index qui consiste à classer les entreprises entre mauvais et bons employeurs. C’est très différent de l’index égalité femmes-hommes qui marche. On ne peut pas le dupliquer sur les seniors », a expliqué le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux. De son côté, la CFDT revendique des mesures concrètes. « La question est clairement quelle contrainte on met sur les entreprises sur la question des seniors », selon Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT. « Nous réfléchissons d’abord à une possibilité de sanction pour des entreprises qui ne respecteraient pas l'obligation de renseigner et de publier l’index », a fait savoir le ministre du Travail, Olivier Dussopt. (Les Echos, Solenn Poullennec et Leïla de Comarmond, 05/01)
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Dans les colones de La Tribune, Edoardo Secchi, président fondateur d'Italy-France Group et fondateur du Club Italie-France, note la progression des relations économiques entre la France et l’Italie en dépit des tensions politiques. Il analyse les atouts des synergies franco-italiennes. En hausse depuis 2014, les échanges bilatéraux ont atteint « 103,8 milliards, dont 84,8 milliards pour les marchandises et 19 milliards pour les services », indique-t-il tout en évoquant « une parfaite complémentarité des deux économies ». Il souligne aussi la position favorable de la France sur le marché italien. « Dans le secteur bancaire et d'assurance, des grands groupes tels que Crédit Agricole, BNP Paribas ou encore AXA figurent parmi les principaux acteurs du pays », souligne-t-il. (La Tribune Édition Quotidienne, Edoardo Secchi, 05/01)
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Synthèse réalisée par Cision-L'Argus de la Presse
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