["ARGUS DE LA PRESSE"]
 
SYNTHÈSE DU 27/02/2023
 
VIE DU GROUPE
 
Dans une tribune publiée par Nice-Matin, Philippe Brassac, président de la Fédération bancaire française et directeur général de Crédit Agricole S.A., explique l’utilité spécifique plus structurelle des banques en France et pourquoi les établissements tricolores protègent les épargnants et les emprunteurs bien plus efficacement que leurs homologues étrangers. Le rôle que les banques françaises ont joué en apportant en urgence, à côté de la puissance publique, les centaines de milliards de prêts garantis par l’État, indispensables à la survie d’entreprises de toutes tailles et de tous secteurs d’activité durement touchés par la crise Covid, a très nettement contribué à l’amélioration de leur image, indique-t-il. (Nice-Matin, 26/02)
 
 
Lors d’une conférence presse du 21 février 2023, le groupe Crédit Agricole Assurances (CAA) a annoncé que le nombre d’agriculteurs ayant souscrit à une assurance récolte chez sa filiale Pacifica avait progressé de 32% en 2023 par rapport à 2022. Les primes d'assurance ont également été réduites dans le cadre de la réforme entrée en vigueur le 1er janvier 2023. D’après Jean-Michel Geeraert, directeur du marché de l’agriculture de Pacifica les grandes cultures et les viticultures sont en baisse de 10% à 15%, et l’arboriculture et les prairies de 30% à 45%. À propos de la création du groupement de compagnies d’assurances, Pacifica compte parvenir à un accord avec d'autres assureurs, agréés pour vendre des assurances récoltes, au plus tard fin juin 2023. (Agra Presse Hebdo, LM, 27/02)
 
 
Dans une tribune publiée par Option Finance, Didier Borowski, responsable de la recherche sur les politiques macroéconomiques chez Amundi Institute, parle de la politique monétaire des banques centrales et de leurs effets. Selon l’auteur, les marchés se focalisent sur le niveau du taux terminal de la Réserve fédérale américaine et de la Banque centrale européenne « au point d'occulter la politique budgétaire ». Avec le rythme de la hausse des prix hors alimentation et énergie qui va graduellement baisser en 2023 et 2024, « la fin du durcissement monétaire se rapproche à grands pas », indique Didier Borowski. (Option Finance, 27/02)
 
ENVIRONNEMENT BANCAIRE
 
La hausse des taux d’intérêt profite aux banques européennes cotées en Bourse. Le 16 janvier 2023, l’indice boursier Stoxx 600 Bank a grimpé à 154,52 points, en hausse de près de 30% en six mois. « Le secteur se paye en moyenne sept fois les bénéfices attendus pour 2023, contre un PER de treize environ pour les actions européennes », indique Olivier Lefevre, chez Hottinguer Banque privée. Certaines institutions, dont les rendements sur dividendes pour l’actionnaire dépassent parfois les 10%, ont décidé de relancer des plans de rachats d’actions. Chez Crédit Agricole, sa filiale Amundi gère désormais près de 2 000 milliards d’euros d’actifs sous gestion. (Le Figaro, Hervé Rousseau, 25-26/02)
 
 
Alors que la transposition des accords de Bâle 3 entame sa dernière phase, la Fédération des banques européennes (FBE) alerte sur le poids de la réglementation européenne. En s’appuyant sur une étude de référence du consultant Oliver Wyman, la FBE a suggéré qu'une révision des exigences actuelles permettrait de dégager une capacité de financement de 4 000 à 4 500 milliards d’euros. « Les banques européennes sont prêtes à déployer davantage de capitaux pour alimenter cette croissance, mais nous devons veiller à ce que notre cadre réglementaire et de surveillance ne crée pas de contraintes qui vont au-delà d’autres régions, y compris les États-Unis », indique Ana Botin, présidente de la FBE et présidente exécutive de Santander. D’après Thomas Verdin, directeur associé du pôle Banques chez BM&A UK, ce message d’alerte est destiné surtout au gouvernement et au Parlement européen. L’objectif, selon lui, « est de rappeler à Bruxelles qu’il n’est pas nécessaire d’alourdir » ce dispositif de soutien. (L’Agefi, Aurélie Abadie, 27/02)
 
PRODUITS / MÉTIERS / ACTIVITÉS BANCAIRES
 
Alors qu’une surépargne de 160 milliards d’euros a été enregistrée en France depuis 2020, les Français prévoient encore d’épargner en 2023. D’après la dernière enquête de confiance des ménages publiée le 24 février 2023 par l’Insee, la part des foyers jugeant opportun d’épargner a bondi de huit points en février 2023. « Face à la hausse des prix et à l’érosion de leur pouvoir d’achat, les ménages ne puisent pas dans leur bas de laine, bien au contraire, ils le renforcent », souligne Philippe Crevel, directeur du Cercle de l’Epargne. Cette attitude est causée par la hausse du taux d’intérêt du Livret A, mais aussi par les inquiétudes liées à la guerre en Ukraine. Avec la persistance de l’inflation et la réforme des retraites, les Français sont inquiets pour leur avenir. Selon la Banque de France, le taux d’épargne des ménages devrait rester supérieur à 16% du revenu disponible brut en 2023. (Les Échos, Nathalie Silbert, 27/02)
 
 
Le taux d’usure qui sera en vigueur à compter du 1er mars 2023 a été publié au Journal Officiel, le 26 février 2023. Pour les crédits immobiliers sur 20 ans et plus, le taux d'usure sera fixé à 4% pour les emprunts immobiliers, contre 3,79% actuellement. Auparavant, il était calculé tous les trimestres, mais sera désormais revu tous les mois. Cela afin de faciliter l’accès au crédit. En revanche, les ménages modestes seront susceptibles d’avoir des difficultés à emprunter. (Les Échos, Rachel Cotte, 27/02)
 
 
D’après les derniers chiffres de l’Association des sociétés financières (ASF), le crédit à la consommation a baissé de 2,6% en décembre 2022. Les prêts personnels ont diminué de 23,5%. Ce recul pourrait perdurer au premier semestre 2023. Cela résulte du problème lié à la capacité à prêter des financeurs qui font face à une hausse des coûts de refinancement et à un faible taux d’usure. « L’inflation touche tout le monde. Nos charges augmentent, le coût du risque augmente, mais nous ne pouvons pas répercuter ces coûts », commente Stéphane Priami, directeur général de Crédit Agricole Consumer Finance (CACF - Sofinco en France). Tous les acteurs deviennent ainsi plus sélectifs sur les dossiers et certains décident de réduire leurs effectifs. CACF qui mise sur le secteur automobile ne prévoit aucun plan social. Selon Stéphane Priami, la location avec option d’achat (LOA) et la location longue durée (LLD) sont moins exposées « au coût du risque ». (Les Échos, Marion Heilmann, 27/02)
 
 
Dans une tribune publiée dans Les Échos, Philippe Zaouati, CEO de la société de gestion Mirova, parle de l’impact de la hausse du taux d’intérêt du Livret A sur la transition écologique. Le livret d’épargne réglementée, qui est passé à 3% depuis le 1er février 2023, devrait « pénaliser la collecte des unités de compte, dont celles dites « vertes » », indique le dirigeant. « Le risque de détourner une grande partie de l’épargne des immenses besoins en financement de la transition écologique a poussé le gouvernement à annoncer la création d’un nouveau véhicule d’épargne, un autre « livret » qui serait plus risqué que les livrets existants et qui serait fléché en totalité vers les solutions durables », ajoute Philippe Zaouati. Mais pour lui, « l’industrie de l’épargne financière est en mesure de réorienter les financements vers la transition ». (Les Échos, Philippe Zaouati, 27/02)
 
 
Les biens classés G+ au diagnostic de performance énergétique sont interdits à la location depuis le 1er janvier 2023. Cette interdiction s’étendra à ceux notés G, F et E entre 2025 et 2034. Les propriétaires souhaitant engager des travaux d’économie d’énergie peuvent bénéficier des accompagnements de l’État via des dispositifs comme MaPrimeRénov’. Depuis le 1er juillet 2022, les bailleurs et propriétaires occupants ont accès à l’éco-PTZ Prime Rénov’. D’un montant maximal de 30 000 euros, ce dernier permet de financer le reste à charge des travaux de rénovation énergétique éligibles à MaPrimeRénov’. Il est actuellement distribué par les Banques populaires et la Caisse d’Epargne, mais il sera disponible prochainement chez Crédit mutuel, CIC, Crédit Agricole et La Banque Postale. (Le Figaro, Valérie Valin-Stein, 25-26/02)
 
 
Le marché de l’immobilier en viager aurait décollé en France, passant de 5 000 transactions annuelles en 2018 à quelque 10 000 transactions début 2023, selon Renée Costes Viager, le leader du viager français. Le secteur attire aussi bien les vendeurs que les investisseurs. « Pour un bien d’une valeur de 300 000 euros occupé par une femme de 74 ans, l’investisseur pourra payer un bouquet de 40 000 euros associé à une rente de 600 euros par mois », explique Vincent Gibelin, fondateur du réseau Univers Viager. « Le senior peut ainsi profiter d’un logement performant énergétiquement et mieux isolé. Quant à l’acquéreur, il est rassuré sur la valeur à venir de son bien, et profite des aides aux travaux disponibles aujourd’hui », promet Sophie Richard, fondatrice du réseau Viagimmo. (Le Monde, Ludovic Clerima, 25/02)
 
ESG ET TRANSITION ENVIRONNEMENTALES ET SOCIÉTALE
 
Actuellement, de plus en plus d’entreprises décident d’intégrer les critères RSE dans le choix de leurs partenaires financiers. De leur côté, les factors choisissent de revisiter leurs offres pour y ajouter une dimension environnementale et sociétale, orientée principalement autour d'un système de bonus et/ou de malus. C’est notamment le cas de Crédit Agricole Leasing & Factoring, qui a lancé sa gamme d’affacturage en décembre 2022. « La mise en place de notre offre d’affacturage RSE résulte à la fois du projet sociétal du groupe Crédit Agricole et de la demande de nos clients », précise Olivier Vallès, son directeur stratégie, marketing et communication. Dédiée préalablement aux grandes entreprises, elle va « décliner sur les PME et TPE, mais aussi auprès d’entreprises ayant une appétence particulière sur le sujet ou ayant des pratiques durables et responsables dans des secteurs tels que l’agroalimentaire ou l’économie circulaire », a-t-il ajouté. (Option Finance, Anne del Pozo, 27/02)
 
 
Lors du premier « Comité de pilotage ministériel sur l’adaptation au changement climatique » qui s’est tenu le 23 février 2023, Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, a appelé à se préparer à un scénario de réchauffement de 4°C en France. Les conclusions du dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) doivent donner lieu à une consultation publique au printemps 2023. Un troisième plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC) devrait par la suite être adopté d’ici 2024. Cette stratégie « doit permettre d’ harmoniser l’ensemble des politiques publiques d’adaptation afin de prévenir les risques environnementaux, sociaux et économiques encourus dans chaque territoire », souligne-t-on au ministère. (Le Monde, Rémi Barroux, 25/02)
 
RÉGLEMENTATION BANCAIRE
 
Les assurances affinitaires répondent parfois à un réel besoin, mais elles présentent aussi des inconvénients. Auparavant, il était difficile de renoncer à ces types d’assurances après s’être souscrite. Néanmoins, les choses se sont améliorées depuis l’entrée en vigueur, le 1er janvier 2023, des dispositifs de l’article 18 de la loi du 16 août 2022 sur le pouvoir d’achat. Celle-ci permet aux clients de disposer une fonctionnalité gratuite permettant d’accomplir par voie électronique les démarches de résiliation du contrat. Dans ce domaine, le Comité consultatif du secteur financier (CCSF) suggère une amélioration du recueil du consentement pour l’assurance affinitaire. À compter de 2024, le projet de contrat devrait être remis préalablement au recueil du consentement et la signature devrait être clairement séparée de l’acte d’achat du bien ou du service, selon le CCSF. (Le Monde, Nathalie Coulaud, 25/02)
 
AGRICULTURE
 
Le 25 février 2023, le président Emmanuel Macron a inauguré le Salon de l’agriculture qui se tient au parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris. À cette occasion, le chef de l’État a parlé de souveraineté agricole et a annoncé un nouveau plan destiné à faciliter la diminution des pesticides, en coordination avec les recommandations de l’Union européenne (UE). Il a également plaidé pour des attitudes de sobriété concernant l’eau. Interviewé par Les Echos et Le Figaro, Marc Fesneau, ministre de l'Agriculture, fait savoir que la souveraineté alimentaire est une des priorités du gouvernement. Il souligne l’importance de l’élevage et de la mise en place d’un « système de gestion des produits phytosanitaires qui permet de prendre des mesures nationales décorrélées de la réglementation européenne ». Le ministre évoque également l’accès à l’eau qui, selon lui, est « la meilleure assurance-vie contre les aléas climatiques ». Il annonce la mise en service, d’ici juin 2023, de 51 nouveaux projets d’ouvrages hydrauliques à vocation agricole. Jean-Luc Poulain, président du Salon de l'agriculture, ajoute dans Aujourd'hui en France que le renouvellement des générations et les prix font aussi partie des défis de la souveraineté agricole. (Aujourd'hui en France Supplément, David Charpentier, 25/02 ; Le Figaro, 25-26/02 ; Les Échos, David Barroux, M.-J. C, 27/02 ; Les Échos, Marie-Josée Cougard, 27/02)
 
 
À l’occasion du retour du Salon de l’agriculture à Paris, l’institut OpinionWay a publié un baromètre, intitulé « Les Français, l’agriculture et l’alimentation ». 89% des répondants à ce sondage affirment avoir une très bonne image des agriculteurs et surtout du made in France. Le soutien des Français est néanmoins mis à mal par l’inflation. La part des sondés se disant prêts à payer plus cher les produits alimentaires pour garantir une rémunération plus juste des agriculteurs a reculé de 4 points sur un an. « Même si les gens sont sensibles à la question de la rémunération des agriculteurs et celle du juste prix, ils ne sont pas prêts à tous les efforts et les sacrifices », explique Bruno Jeanbart, vice-président d'OpinionWay. (Les Échos, Florian Maussion, 27/02)
 
 
Alors que les agriculteurs français, qui se retrouvent au Salon international de l’agriculture dès le 20 février 2023, ont connu des années de crises agricoles à répétition, ils sont actuellement confrontés à de nouveaux défis. Tout comme les charges liées à l’énergie et à l’alimentation animale, les prix des engrais azotés connaissent une augmentation de 50% sur un an. La question des traitements phytosanitaires est également préoccupante pour la ferme France. Dans un arrêté du 19 janvier 2023, la Cour de justice européenne a déclaré illégale la dérogation française qui permettait l’utilisation des néonicotinoïdes (NNI). Une décision qui laisse les 23 500 agriculteurs planteurs dans l’impasse technique. (Le Figaro, Olivia Détroyat et Éric de La Chesnais, 25-26/02)
 
 
Le 21 février 2023, une quarantaine d’acteurs du bio se sont réunis à Paris pour réclamer au ministère de l’Agriculture des aides à la filière bio. Cela s’est tenu à la veille du Salon international de l’agriculture s’est ouvert le 25 février 2023 à Paris au parc des expositions de la porte de Versailles. Depuis plus d’un an, la filière fait face à une forte baisse des ventes. Selon une note commandée par l’Agence bio à un bureau d’études indépendant, les ventes de produits bio ont reculé de 4% en 2022. D’après le magazine spécialisé Bio Linéaires, le chiffre d’affaires des magasins bio a baissé de 12,2%. Les exploitants dénoncent un abandon de la part de l’État. Les acteurs constatent l’insuffisance des aides annoncées. (Libération, Pauline Moullot, 25-26/02)
 
 
Après avoir été incubée à Paris Saclay, la start-up Aiherd s'est implantée à Nantes en 2021, où elle est notamment accompagnée par Atlanpole et le Village by CA Atlantique Vendée. Fondée en 2020 par Quentin Garnier, Léonard Théron et Tristan Gauvain, la jeune pousse vise à protéger le bien-être des bovins laitiers grâce à la vision et l'intelligence artificielle (IA). Elle a réalisé une levée de fonds de 2,1 millions d’euros auprès du groupement de vétérinaires, des investisseurs historiques de Aiherd et de Bpifrance. Ce tour de table doit lui permettre d’accélérer la commercialisation en France mais aussi au Bénélux de sa solution dédiée monitoring des vaches laitières utilisant la vision par ordinateur. Avec cette opération, la start-up va également déployer son offre à l’échelle internationale, sur un marché évalué de plus de 276 millions de bovins. (www.usine-digitale.fr, Maureen Le Mao, 24/02)
 
CONJONCTURE ÉCONOMIQUE
 
En 2022, les bénéfices annuels cumulés des entreprises du CAC 40 se sont élevés à plus de 140 milliards d’euros, malgré les incertitudes liées aux dérèglements des chaînes d’approvisionnement, des pénuries de matières premières et de composants, la hausse des taux d’intérêt, les difficultés de recrutement et l’explosion des prix de l’énergie, causée par la guerre en Ukraine. Cette bonne performance s’explique par leur capacité à répercuter la hausse des prix sur les prix de vente(Le Figaro, Keren Lentschner, 25-26/02)
 
 
Malgré l’inflation, la crise énergétique et les difficultés d’approvisionnement, les chefs d’entreprise restent majoritairement confiants. Le climat des affaires s’est légèrement amélioré depuis février à 103, dépassant de trois points sa moyenne de long terme. Après avoir reculé en-dessous de 50 au début de la crise sanitaire, le climat des affaires progresse aujourd’hui dans tous les secteurs à l’exception du bâtiment. Des enquêtes montrent même un certain optimisme quant à l’avenir. En revanche, le moral des ménages apparaît très dégradé en février, selon l’Insee. L’indicateur qui mesure la confiance des Français affiche un niveau bien inférieur à sa moyenne de long terme (82). S’inquiétant de leur situation financière, les consommateurs sont nombreux à vouloir épargner. (Le Figaro, Anne De Guigné, 25-26/02)
 
 
Aucun communiqué commun n’a été rédigé au sujet de la guerre en Ukraine à l’issue de la réunion des ministres des Finances du G20. Moscou et Pékin n’ont pas approuvé deux paragraphes du texte élaboré sur l’Ukraine mentionnant explicitement le mot « guerre ». La Chine ne veut pas condamner cette guerre, selon les participants à cette rencontre. Les discussions « sont plus difficiles que lors des précédentes réunions car la guerre continue », avait déjà prévenu Nadia Calvino, ministre espagnole des Finances, le 25 février 2023. Alors que le texte publié par New Delhi ne mentionne aucun programme d’aide du FMI à Kiev, la proposition de l’Inde de constituer un groupe d’experts chargé de réfléchir à l’évolution de leur politique de prêt afin de prendre en compte les nouveaux défis internationaux a été actée. (Les Échos, Richard Hiault, 27/02)
 
 
Retrouvez la synthèse du 24/02/2023 ici : https://xml.luqi.fr/casa/fluxpresse/20230224/synthese.html
 
Synthèse réalisée par Cision-L'Argus de la Presse
 
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