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Dans une interview accordée à Public Sénat, Philippe Brassac, directeur général de Crédit Agricole S.A., parle des engagements des banques pour soutenir le climat. Il revient à cette occasion sur le financement de nouveaux projets de pétrole et de gaz et explique que certaines institutions financières les soutiennent toujours en raison d'un « manque de cadre suffisamment clair ». Le directeur général souligne que les banques investissent des sommes importantes pour soutenir les projets d'énergies renouvelables. Il revient aussi sur la prise de conscience croissante de la société sur les questions climatiques. (Public Senat, David Jacquot, 07/04)
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Le Crédit Agricole Pyrénées Gascogne (CAPG) a enregistré des résultats positifs en 2022. Les données présentées le 30 mars 2023 par le directeur général du CAPG Paul Carite et son président Marc Didier révèlent une hausse de 2% du produit net bancaire à 397,70 millions d’euros et un résultat net de 95 millions d’euros. Sa filiale CAPG Énergies Nouvelles (CAPGEN) a également permis à la banque de devenir un acteur local des énergies renouvelables. Paul Carite a par ailleurs tenu à rassurer ses clients face aux faillites bancaires aux États-Unis et en Suisse : « C’est une crise de certaines banques, mais pas une crise bancaire. Il n’y a aucun risque de contagion, aucun effet de bords sur les clients ». (Sud Ouest, Romain Bely, 11/04)
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Selon le directeur général du Crédit Agricole d’Ille-et-Vilaine Jean-Yves Carillet, l’établissement a connu une année dynamique en 2022 « grâce à une démographie très positive dans le département ». Une situation qui a incité la banque à créer de nouveaux métiers dans le secteur de l’environnement, de la fraude et de l’immobilier. En 2022, elle a accueilli 27 000 nouveaux clients. Par ailleurs, le Crédit Agricole d’Ille-et-Vilaine a financé 3,4 milliards de crédits, soit une hausse de 0,9% par rapport à 2021, « dont deux milliards sur l’habitat », précise son directeur général. (Ouest France, Charlotte Heymelot, 08-09/04)
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Malgré les incertitudes géopolitiques et économiques qui pèsent sur le secteur bancaire, le Crédit Agricole de Lorraine a poursuivi son développement en 2022 et déploie plusieurs projets autour des transitions pour 2023. La transition énergétique est « l’un des axes majeurs du projet sociétal du groupe », précise Laurent Cazelles, directeur général du Crédit Agricole pour la Lorraine. Le Crédit Agricole se lance dans ce nouveau métier via un programme de rénovation de 95% des agences du réseau sur les cinq prochaines années. Il a engagé un plan d’investissement de 150 millions d’euros pour les bâtiments de ses trois sièges en Lorraine (Nancy, Metz et Bar-le-Duc). Au côté d’Amundi, les cinq caisses régionales du Crédit Agricole de l’Est de la France envisagent également d’investir dans la transition énergétique. (L’Est Républicain, Hervé Boggio, 11/04/2023)
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Le Village by CA Centre France a accueilli 6 nouvelles start-up au siège du Crédit Agricole Centre France, aux Salins, le 6 avril 2023. Selon Vincent Supiot, directeur du Village by CA Centre France et Frédéric Baraut, directeur général du Crédit Agricole Centre France, le Village doit permettre aux jeunes entreprises innovantes d’atteindre au plus vite les conditions de la réussite. « C’est un écosystème dynamique et créateur de valeur qui a pour ambition de promouvoir l’innovation au sens large et de participer au développement économique des territoires de l’Auvergne », ont-ils expliqué. (La Montagne, 10/04)
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Le Village by Crédit Agricole Provence Côte d'Azur (Capca), installé depuis 2018 à Sophia-Antipolis, a accompagné 62 jeunes entreprises depuis 2018. « Notre mission est d'être utile en soutenant l'émergence de la nouvelle économie et de l'innovation sur les territoires, ce qui se fait en accompagnant de jeunes entreprises Innovantes - dites start-up - dans leur accélération de business », explique Marie Nghiem, maire du Village by CA. « Ce qui nous intéresse, c'est de bâtir la confiance. Les dirigeants qui se reconnaissent dans le parcours qu’on leur propose sont ceux qui sont très à l'aise avec le collaboratif, qui ont envie de créer de la valeur pour leurs collaborateurs, leurs clients, leurs actionnaires. II existe une quête de sens très importante pour eux », ajoute-t-elle. (La Tribune édition quotidienne, Laurence Bottero, 08/04)
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Le dernier « Fintech Outlook » des études économiques du Crédit Agricole montre que les levées de fonds de la fintech ont chuté de 57% au premier trimestre. Les start-up de la fintech en phase d'amorçage ont également du mal à trouver des investisseurs. Même en France, qui était jusqu'à présent relativement épargnée, l'écosystème de la fintech est finalement touché par la crise de liquidité en fonds propres. Si cette situation perdure, cela pourrait entraîner une profonde restructuration mondiale de la fintech. (Les Échos, 11/04)
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En rachetant Credit Suisse, UBS se placera parmi les 30 banques mondiales jugées comme « too big to fail », trop grosses pour faire faillite. Depuis la grande crise financière de 2008, une réglementation stricte sous l’égide du Comité de Bâle a été mise en place. Chaque année, le Conseil de stabilité financière (FSB) dresse une liste des Global systemically important banks (G-SIB), des banques jugées comme « d’importance systémique » au niveau mondial. Leur faillite pourrait ainsi avoir des effets désastreux sur l’ensemble du système bancaire mondial. Afin d’éviter cette crise, ces banques doivent disposer des fonds propres supplémentaires selon leur classement. (L’Agefi Quotidien, 11/04)
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Selon le fournisseur de données Ortex, les fonds spéculatifs ont gagné au total 7,24 milliards de dollars en mars 2023 en spéculant sur la chute des actions des établissements financiers européens et américains, dont Credit Suisse et Silicon Valley Bank (SVB). Ces fonds ont utilisé la technique de la vente à découvert qui consiste à emprunter des titres auprès d’un tiers pour les vendre immédiatement et les racheter ensuite, si possible, à un cours inférieur. Selon Peter Hillerberg, cofondateur d'Ortex, ce mois de mars a été le plus lucratif pour les vendeurs à découvert d'actions bancaires depuis la crise financière de 2008. (Le Figaro, Danièle Guinot, 08-09/04)
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Suite à l’effondrement de la Silicon Valley Bank (SVB), en mars 2023, les investisseurs cherchent à identifier ceux qui sont à l’origine de cette banqueroute pour les tenir responsables. Après le dirigeant de la structure Greg Becker et son directeur financier Daniel Beck, ce sont désormais son commissaire aux comptes KPMG et des grandes banques américaines ayant travaillé avec elle sur les marchés financiers qui font l’objet de poursuites judiciaires. Des fonds de pension ont porté plainte contre la firme d’audit et des établissements qui ont organisé des levées de fonds pour SVB, comme Goldman Sachs, Morgan Stanley et Bank of America, qui sont accusés d’avoir caché au marché l’étendue de l’exposition de la banque au risque. (Les Échos, Laurence Boisseau, 11/04)
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Les investisseurs du Golfe portent un intérêt particulier à la finance européenne, en dépit des déboires de Credit Suisse. Standard Chartered figure parmi les banques européennes dans leur viseur. En janvier 2023, la First Abu Dhabi Bank (FAB) se préparait à acquérir Standard Chartered, mais a finalement décidé de se rétracter. Toutefois, cette déclaration de rétractation ne sera plus effective à compter du 10 août et la FAB pourra de nouveau tenter une approche d’acquisition. Dans ce contexte, Bill Winters, directeur général de Standard Chartered, ambitionne d’accélérer sur les relais de croissance. La banque veut tirer parti de la politique d’internationalisation de la devise chinoise vers des pays comme l’Arabie saoudite et faciliter les flux d’investissement entre la Chine et l’international. En outre, Standard Chartered vient de renforcer l’équipe européenne depuis Paris pour conseiller les grands clients sur les enjeux géopolitiques. (Les Échos, Anne Drif, 11/04)
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PRODUITS / MÉTIERS / ACTIVITÉS BANCAIRES
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Dans son dernier bulletin macroprudentiel, la Banque centrale européenne (BCE) a pointé des risques concernant les fonds immobiliers de la zone euro. Selon la BCE, ces fonds pourraient être touchés par des retraits massifs. « La capacité du marché de l’immobilier commercial à affecter les fonds immobiliers a été démontrée par les événements de stress observés hors de la zone euro », poursuit l’institution. La BCE revient également sur les vulnérabilités structurelles des véhicules d’investissement mis en place. « La première est l’incompatibilité entre la liquidité des actifs et les conditions de retrait », souligne-t-elle. (Les Échos, C. M, 11/04)
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Malgré la hausse des taux et le contexte économique tendu, la Banque de France a fait remarquer, le 7 avril 2023, que le crédit aux entreprises est resté « très dynamique » au mois de février. Les données publiées par l’institution soulignent que l’encours des crédits bancaires accordés aux sociétés non financières a progressé de 6,9% par rapport à la même période en 2022. « La dynamique reste portée par le crédit à l’investissement », selon la Banque de France, avec un bond de 7,3% en février, supérieur aux crédits de trésorerie, en hausse également de 5,7%. (Les Échos, Romain Gueugneau, 11/04)
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Les prêts participatifs relance (PPR) ont connu un démarrage difficile en raison de leur complexité, mais ils commencent à susciter l'intérêt des entreprises françaises. Cet engouement s’explique par la hausse des taux d’intérêt et par « une meilleure visibilité pour certaines entreprises de leur besoin d’investissement », informe Hélène Madar, directrice générale Banque de proximité et Assurances chez BPCE. Les banques sont également de plus en plus intéressées par les PPR, alors que jusqu'à récemment, la majorité des flux étaient gérés par BNP Paribas et Crédit Agricole. (Les Échos, Amélie Laurin et R. G, 11/04)
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Après avoir connu des années de croissance grâce à la pandémie et à l'augmentation des achats en ligne, les entreprises qui proposent des paiements fractionnés subissent désormais les conséquences de la hausse des taux d'intérêt, qui a pour effet d'augmenter les coûts de refinancement. Klarna, un acteur majeur dans ce secteur, a récemment annoncé les plus importantes pertes de son histoire pour l'année 2022. Si la formule « Buy now, pay later » (BNPL) continue d’attirer les consommateurs dans un contexte marqué par une inflation affichant une progression considérable, le segment est néanmoins confronté à une hausse des risques d’impayés. « On assiste à un dégonflement de la bulle du BNPL », selon Marc Lanvin, directeur général adjoint de Floa, le spécialiste du crédit à la consommation racheté par BNP Paribas en 2021. (Les Échos, Marion Heilmann, 11/04)
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ESG ET TRANSITION ENVIRONNEMENTALES ET SOCIÉTALE
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Le Forum pour l'Investissement Responsable (FIR) s’est allié à l’Agence de la transition écologique (Ademe) pour étudier les plans climat des entreprises françaises soumis au vote consultatif des actionnaires dans le cadre de leurs assemblées générales (AG) 2023. Le FIR avait déjà publié, post-AG 2022, des fiches relatives au degré d’alignement des stratégies climatiques de plusieurs entreprises, dont Amundi, Carrefour, EDF, Engie, Icade, Nexity ou encore TotalEnergies, avec ses recommandations. À noter que ces stratégies avaient été approuvées en moyenne à 93% par leurs actionnaires. Grâce à l’Ademe, ces fiches seront enrichies de l’outil d’évaluation Assessing Low Carbon Transition (ACT), permettant de décrypter l’engagement et la stratégie bas carbone des entreprises, et publiées en amont des assemblées générales. (L’Agefi, Bruno de Roulhac, 11/04)
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Au premier trimestre 2023, les émissions d’obligations vertes dans le monde ont atteint un volume record de près de 164 milliards de dollars, en hausse de 32% par rapport à la même période en 2022. Les excellentes conditions du marché au cours des deux premiers mois ont été le principal facteur expliquant cette progression. Les investisseurs avaient d'importants capitaux à placer après une année 2022 difficile pour les taux, ce qui a conduit à un afflux massif sur le marché avec la stabilisation de la situation au début de 2023 et la diminution des craintes liées à l'inflation. (Les Échos, Guillaume Benoit, 11/04)
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La société française spécialisée dans la data-science et l’intelligence artificielle, Ekimetrics, accompagne la transition écologique des entreprises, avec son outil « Climate Q&A ». Reprenant les dispositions des différents rapports des experts de l’ONU, Climate Q&A est une solution utile et accessible permettant de comprendre les enjeux environnementaux. « L’outil a été adoubé par la paléo-climatologue Valérie Masson-Delmotte, (paléo-climatologue, coprésidente du groupe 1 du rapport du Giec, NDLR). Celui-ci reste toutefois perfectible, notamment sur la hiérarchisation des données qu'on lui a transmises », explique Laurent Félix, partner et directeur général France d’Ekimetrics. La société a séduit plus d’une centaine de clients avec ces solutions, dont 90% dans le gotha du Fortune 500. (Le Figaro, Hervé Boggio, 08-09/04/2023)
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Un groupe de dix-sept investisseurs européens et américains, parmi lesquels Edmond de Rothschild AM, La Banque Postale AM & Tocqueville Finance, La Financière de l’Échiquier et Sycomore AM, a déposé une résolution consultative visant la trajectoire de TotalEnergies en matière d’émissions de gaz à effet de serre. « Nous demandons un alignement des émissions du scope 3 avec celles fixées par les accords de Paris », précise Bertille Knuckey, gérante ISR chez Sycomore AM. Bien que la neutralité carbone en 2050 soit en ligne avec l’Accord de Paris, la stratégie de TotalEnergies soulève des inquiétudes chez ses actionnaires. Cette résolution pourra être soumise au vote lors de l'assemblée générale de la compagnie, le 26 mai 2023. (Le Figaro, Elsa Bembaron, 08-09/04)
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Trois décrets relatifs à la réforme de la gestion des risques climatiques en agriculture ont été publiés au Journal officiel (sans modification par rapport aux textes validés en Codar en début d’année), marquant une étape réglementaire avant la parution des textes encadrant le réseau d'interlocuteurs agréés. Le premier décret concerne les pertes indicielles sur prairies et les obligations des assureurs et des fournisseurs d'indices. Le deuxième décret détaille les conditions de versement de l'indemnisation publique pour pertes catastrophiques aux agriculteurs non-assurés. Le troisième décret fixe les modalités de création d'un pool de co-réassurance pour les assureurs. Depuis l’approbation de ce décret en Codar le 24 janvier, les assureurs Pacifica et Groupama ont indiqué avoir bon espoir que l’ensemble des assureurs se mette d'accord sur les détails du pool d’ici fin juin. (Agra Presse, LM, 10/04)
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L’Agefi Quotidien s’intéresse à l'écart entre industrie et services en Europe. Les entreprises de services sourient un peu plus que les entreprises manufacturières. Selon le média, l’écart entre les deux indices, pointe vers une résistance des économies européennes mal anticipée par les marchés. « Dans l’ensemble, nous continuons de voir des améliorations incrémentales de l’activité européenne », a déclaré Annalisa Usardi, économiste senior à l’Amundi Institute. Pour rappel, l’Amundi Institute prévoit des données meilleures qu’attendu au premier trimestre. (L’Agefi Quotidien, Corentin Chappron, Fabrice Anselmi, 11/04)
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Selon le baromètre Fiducial, mené par l'Ifop auprès de 1001 dirigeants de TPE entre le 27 février et le 15 mars 2023, les deux tiers de ces derniers ne font pas confiance aux mesures économiques annoncées ou mises en place par l'État. Ils estiment que leurs préoccupations ne sont pas prises en compte par les autorités. Bien que les TPE aient bénéficié des aides de l'État pendant la pandémie, elles subissent actuellement les impacts de la guerre en Ukraine, notamment la flambée des prix de l'énergie, et considèrent que les dispositifs gouvernementaux ne sont pas suffisants. Malgré le contexte incertain, 48% des TPE restent optimistes, 56% n’ont pas de difficultés financières, tandis que 22% estiment être dans une situation financière délicate aujourd’hui. (Les Échos, Nathalie Silbert, 11/04)
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Le gouvernement français s'apprête à présenter son projet de loi pour le plein emploi dans les semaines à venir. Ce projet vise à répondre aux difficultés de recrutement dans un contexte de hausse des intentions d'embauche. D’après la dernière édition du baromètre sur les besoins de main-d’œuvre des entreprises publiée le 7 avril 2023 par Pôle emploi et le Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Crédoc), 3 millions de recrutements sont attendus en 2023, dont 72% en emploi durable, CDI ou CDD de plus de six mois. (Les Échos, Alain Ruello, 11/04)
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Réalisée du 2 au 8 mars 2023, par l’Institut français d'opinion publique (Ifop) pour la Tablée des chefs, une enquête en ligne sur la précarité alimentaire démontre que 79% des ménages modestes ont diminué leurs achats alimentaires à cause de l’inflation. L’étude a été menée auprès d’un échantillon de 1 007 personnes, représentatif gagnant le SMIC ou moins. « Cela fait déjà plusieurs mois qu’ils ont adapté leurs achats face à l’inflation, mais la hausse des prix de l’alimentation de ces derniers temps a été le coup de grâce. Désormais, ce sont sur les besoins essentiels que se font les arbitrages d’une partie des Français », commente Jérôme Fourquet, directeur du département opinion publique à l’Ifop. Selon l’Insee, la hausse des prix s’élève à 5,6% sur un an en mars 2023. (Le Parisien, Aurélie Lebelle, 11/04)
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Dans un entretien accordé au Figaro, Bruno Angles, directeur général d’AG2R La Mondiale, groupe d’assurances dédié à la protection sociale et patrimoniale, avance des pistes pour que les Français puissent s’adapter au choc démographique. Pour être à la hauteur des enjeux du bien vieillir, Bruno Angles préconise à la France « de faire un constat lucide et objectif sur la situation, définir des plans d’action pour y répondre et s’assurer de leur mise en œuvre ». « II faut former, valoriser et accompagner les aidants », ajoute-t-il. Ces aidants devraient suivre des formations à la fois en quantité et en qualité. En outre, l’Hexagone doit être équipé d’infrastructures, en multipliant le nombre de résidences services seniors. (Le Figaro, Ivan Letessier, 08-09/04)
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Synthèse réalisée par Cision-L'Argus de la Presse
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