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À partir du 1er septembre 2023, Laurent Titreville occupera le poste de directeur régionale de Paris au sein du Crédit Agricole d'Île-de-France. Il remplacera Jean-Pierre Touzet, devenu directeur de l'agriculture et de l'agroalimentaire chez Crédit Agricole S.A. (Le Figaro, S.A., 01/06)
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Laurent Chenain est nommé responsable de corporate & leveraged finance chez Crédit Agricole CIB à compter du 1er juin 2023. Il succède à Jamie Mabilat qui a rejoint l’Italie en qualité de senior country officer en février 2023. Il sera rattaché à Jean-François Balaÿ, directeur général délégué de Crédit Agricole CIB, et reste membre du comité de direction de la banque. (www.agefi.fr, 31/05)
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Lors de la présentation du rapport annuel 2022 de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, a réitéré l’importance de « la solidité du secteur bancaire et assurantiel français », ainsi que du « modèle de régulation et de supervision européen ». Ces éléments ont, selon lui, permis de faire face aux répercussions de la guerre en Ukraine, au retour de l’inflation et aux turbulences ayant secoué le secteur financier au printemps 2023. En dépit de la pression sur les marges d’intérêt constatée chez certaines banques, comme les caisses régionales de Crédit Agricole et la Société Générale au premier trimestre 2023, « la hausse des taux d’intérêt bénéficie globalement aux banques françaises et européennes », a souligné le gouverneur de la Banque de France. Ce dernier a partagé de nouvelles pistes de réflexion portant sur la vitesse de circulation des dépôts, le marché des CDS ou les mécanismes de résolution. (La Tribune, Eric Benhamou, 01/06)
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Dans sa dernière « Revue de la stabilité financière », la Banque centrale européenne (BCE) met en évidence les défis posés par la hausse des taux. L'institution fait part de ses préoccupations quant à la stabilité financière de la zone euro. La hausse des taux met en lumière la vulnérabilité des acteurs de la finance non bancaire, dont les portefeuilles sont très souvent exposés à une remontée du risque de crédit et à la dégradation de l’immobilier. Depuis juillet 2022, la BCE a procédé à une hausse de 3,75% de ses taux directeurs. François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, appelle toutefois à la prudence lors des prochaines décisions de politique monétaire, soulignant que le délai de transmission de la politique à l'économie réelle pourrait être plus long que prévu, pouvant aller jusqu'à deux ans. La BCE alerte également les marchés obligataires mondiaux contre les effets d'une normalisation de la politique monétaire de la Banque du Japon. Selon elle, une remontée des taux japonais rendrait plus rémunérateurs les actifs locaux et détournerait les investisseurs nippons des marchés obligataires mondiaux, notamment en zone euro, ce qui provoquerait des turbulences. (Les Échos, Sophie Rolland, 01/06 ; Les Échos, Guillaume Benoit, 01/06 ; L’Agefi, Alexandre Garabedian, 01/06)
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Orange Bank, la banque en ligne de la société de télécommunications française Orange, est en vente depuis octobre 2022. Lancée en 2017 par l'ancien président-directeur général d’Orange, Stéphane Richard, Orange Bank visait à offrir une nouvelle source de croissance et à réduire le taux de désabonnement de l'opérateur. Malgré les investissements conséquents réalisés pour assurer le succès de ce projet, la banque en ligne n'a pas réussi à atteindre les objectifs fixés, accumulant des pertes d'exploitation totales d'environ un milliard d'euros depuis sa création, dont 200 millions d'euros en 2022. (Les Échos, Gwénaëlle Barzic, 01/06)
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PRODUITS / MÉTIERS / ACTIVITÉS BANCAIRES
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La Banque centrale européenne (BCE) anticipe une concurrence plus intense entre banques sur les dépôts des clients. « Les sorties de dépôts et les remboursements de TLTRO [ces prêts géants bon marché accordés aux banques par la BCE, NDLR] pourraient intensifier la concurrence sur le marché des dépôts, entraînant une retarification des dépôts plus rapide et plus élevée que celle observée récemment », a expliqué l’institution le 31 mai. L’établissement relève que cette concurrence pour attirer les dépôts entraîne « des implications négatives pour les coûts de financement des banques à l’avenir ». (Les Échos, Thibaut Madelin, 01/06)
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Le livret d’épargne populaire (LEP), un produit d’épargne à taux bonifié réservé aux personnes avec des revenus modestes, devient de plus en plus populaire. Des chiffres présentés le 31 mai en marge d’une conférence de l’ACPR montrent que le nombre de livrets ouverts était de 9,6 millions fin mars, contre 8,5 millions fin 2022. « Je note ici avec satisfaction que le LEP, rémunéré à 6,1%, décolle enfin », a indiqué le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau. Les encours ont enregistré une progression de 15 milliards d’euros en un an pour s’établir à 55 milliards d’euros à fin février, selon les derniers chiffres disponibles. (Les Échos, Edouard Lederer, 01/06)
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Après avoir connu des années fastes marquées par des financements à bon compte en 2020 et 2021, les start-up de la finance sont actuellement confrontées à la raréfaction du capital. Les investisseurs sont, en effet, devenus beaucoup plus prudents depuis la remontée soudaine des taux. Une récente étude du Boston Consulting Group (BCG), réalisée à l’échelle internationale, relève que les valorisations des fintechs ont chuté de plus de 60% depuis le pic de la mi-2021, avec des multiples divisés par cinq. Les entrepreneurs de la finance cherchent ainsi à s’adapter face à cette nouvelle donne de sobriété. (Les Échos, Romain Gueugneau (avec Marion Heilmann et Thibaut Madelin), 01/06)
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Un an après son entrée en vigueur, la loi Lemoine commence à porter ses fruits. Celle-ci a fait bouger le marché de l’assurance emprunteur. L’inclusion a progressé même si l’objectif de faire baisser les tarifs n’est atteint qu’en partie. « Après le pic enregistré en septembre, quand les demandes de résiliation ont été multipliées par trois ou quatre, leur niveau a un peu baissé, mais il reste élevé. Cela confirme que la loi a porté ses fruits sur la résiliation infra-annuelle (RIA) », a déclaré Alain Roussel, directeur assurance emprunteur et prévoyance de Crédit Agricole Assurances. (L’Argus de l’Assurance, Sybille Vié, 02/06)
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Intesa Sanpaolo a entériné la semaine de 4 jours, un dispositif introduit le 1er janvier, à la suite d’un accord signé par l’ensemble des organisations syndicales, le 26 mai. Il permet aux salariés de la première banque italienne de choisir de travailler 9 heures pendant 4 jours, sans modification de leur rémunération. « Nous voulons être à la pointe des innovations sur l’organisation du travail pour anticiper les évolutions du marché. La mise en place de la semaine courte répond donc à un double besoin : le bien-être des personnes et le développement de la banque », explique Paola Angeletti, Chief Operating Officer d’Intesa Sanpaolo. (Les Échos, Olivier Tosseri, 01/06)
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ESG ET TRANSITION ENVIRONNEMENTALES ET SOCIÉTALE
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Le député Renaissance David Amiel a présenté le 31 mai son rapport sur MaPrimeRénov’ à la commission des Finances de l’Assemblée nationale. Il a affirmé qu’il fallait désormais « changer d’échelle ». « Face à l'urgence climatique, une accélération considérable est indispensable », indique le député dans un entretien aux Echos. Il estime que les banques devront être mises à contribution : « l’État ne pourra pas tout payer, mais les ménages ne pourront pas tout avancer ». En présentant son rapport, David Amiel a dévoilé une proposition de loi en préparation pour faciliter le financement des travaux. Celle-ci viserait à généraliser le « prêt avance mutation », qui permet d'emprunter pour réaliser des travaux de rénovation énergétique et de n’en rembourser le capital et les intérêts qu’au moment de la mutation du logement. (Les Échos, Anne Feitz, 01/06)
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À l’occasion des Journées européennes de la mer, organisées par la Commission européenne à Brest les 24 et 25 mai 2023, le centre de culture scientifique Océanopolis a inauguré l’Océanolab, un laboratoire ouvert au public dédié au partage de la science « en train de se faire ». Il est le premier de ce genre en Europe. « Dans un contexte de désinformation et de perte de confiance en la science, il nous manquait une plateforme expérimentale sur l’écologie marine pour rapprocher la science et la société », a souligné Virginijus Sinkevičius, commissaire européen en charge de l'environnement, des océans et des pêches. Ouvert depuis le 29 mars 2023, le laboratoire représente un investissement de 1 million d’euros, dont 20 000 euros ont été financés par le Crédit Agricole. (La Tribune Edition Quotidienne, Pascale Paoli Lebailly, 01/06)
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Dans une tribune publiée par L’Agefi, réalisée en réponse à celle des eurodéputés Gilles Boyer, Pascal Canfin et Stéphanie Yon-Courtin, le chargé de plaidoyer réglementation chez Reclaim Finance, Olivier Guérin, souligne une différence entre les promesses des parlementaires et les propositions qu’ils défendent au Parlement. Les négociations y sont en cours sur deux importants textes : Solvabilité 2 et la Capital Requirements Regulation (CRR)/Capital Requirements Directive (CRD). « Dans les deux textes, l’inclusion des plans de transition est marginale et doit être renforcée », indique Olivier Guérin. Selon lui, les eurodéputés doivent apporter des changements permettant de « faire des plans de transition le pilier d’une transition écologique ordonnée, qui réduise les impacts négatifs et destructeurs sur nos vies, nos sociétés et nos économies ». (L’Agefi Quotidien, Olivier Guérin, 01/06)
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Les assemblées générales (AG) des grands groupes sont devenues des tribunes où les activistes, ralliant des scientifiques et même des financiers, poussent les entreprises à prendre des mesures concrètes en faveur de l'environnement. Les manifestations se multiplient à l'intérieur et à l'extérieur des réunions, mettant en lumière les préoccupations croissantes de la société concernant le changement climatique. (Challenges, Claire Bouleau, 01-07/06)
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Alors que les questions environnementale, sociale et de gouvernance (ESG) et de cybersécurité sont de plus en plus présentes dans l’agenda des conseils d’administration, les investisseurs souhaitent que les risques et les opportunités relatifs à ces sujets soient pris en compte dans les décisions d’affectation du capital. Dans ce cadre, un recrutement d’un administrateur pouvant accompagner l’entreprise est nécessaire. Pour Laurent Blivet, directeur général du bureau de Paris de Spencer Stuart, « un profil d’administrateur plus intéressant serait un cadre technique ayant non seulement été aux prises avec la cybersécurité, mais également joué un rôle technologique dans un cadre stratégique plus étendu ». La qualité du « board » influence grandement celle de ses comités. (Les Échos, Muriel Jasor, 01/06)
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L’Union européenne (UE) a mis en place « les droits à polluer » pour inciter les industriels, en particulier ceux du ciment et de l’acier, à réduire leurs émissions de carbone. Cependant, vingt ans après sa création, le mécanisme s’est révélé globalement inefficace. Au cours de la dernière décennie, les émissions de CO2 de ces deux secteurs ont très peu diminué. Ce n’est que depuis récemment que les changements se font sentir, sous l’impulsion de nouvelles réglementations européennes et nationales, mais aussi de l’envolée du prix du carbone sur le marché où s’opèrent les échanges de quotas. Mais le système des quotas gratuits de CO2 semble n’avoir joué qu’un rôle à la marge dans ce changement. Non seulement le système est inefficace et contre-productif dans la lutte contre le changement climatique, mais il n’a pas non plus permis de conserver des emplois sur le territoire européen. Selon le Syndicat français de l’industrie cimentière, le secteur a perdu 12% de ses effectifs en l’espace de dix ans. Les quotas gratuits ont aussi eu un effet inattendu sur l'inflation. En 2013, les compagnies d'électricité ont été exclues du dispositif, car elles achetaient des surplus de « droits à polluer » et augmentaient ainsi le prix de l'électricité. (Le Monde, Guillaume Delacroix, Emmanuelle Picaud, Luc Martinon, 01/06)
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Malgré les efforts entrepris par certaines entreprises pour favoriser le maintien des travailleurs âgés sur le marché du travail suite au recul de l'âge de départ à la retraite, de telles mesures demeurent encore peu répandues. Les résultats de l'étude « La nouvelle ère des talents » menée par Manpower Group en novembre 2022 soulignent que seulement 38% des salariés âgés de 55 à 64 ans estiment que leurs managers s'investissent dans leur développement de carrière, et ce chiffre atteint 46% pour l'ensemble des salariés, toutes tranches d'âge confondues. De plus, seuls 43% des salariés de cette tranche d'âge estiment que leur employeur encourage activement les formations. (Le Monde, Myriam Dubertrand, 01/06)
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A l'occasion de la présentation du rapport annuel 2022 de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) le 31 mai 2023, le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, a mis en avant plusieurs défis à relever comme la protection des clients de banque et les offres trop coûteuses en frais. Il a réitéré sa demande d’une meilleure transparence et modération des frais sur les unités de compte en assurance-vie. « Notre objectif sera d'écarter des offres commerciales liées aux unités de compte à la fois trop chères et trop peu performantes », a-t-il précisé. (L’Agefi Quotidien, Nessim Ben Gharbia, 01/06)
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Outre-Manche, le secteur agricole post-Brexit est en pleine crise. Le gouvernement britannique a décidé de remplacer progressivement le modèle de subventions directes de la politique agricole commune (PAC) par celui de l'Environmental Land Management (ELM). Selon le ministère britannique de l’Agriculture, les paiements directs relatifs à la PAC constituaient en moyenne 55% des revenus des exploitations anglaises en 2019. Ils baissent d’environ 15% par an depuis 2021 et auront disparu à l’horizon 2028. Cependant, ELM est un système de subventions qui rémunère les agriculteurs en contrepartie de la production de biens publics à vocation environnementale. Ce nouveau système, qui n’est valable que pour l’Angleterre, divise les exploitants. Dans le pays, quatre chaînes de supermarchés (Asda, Sainsbury’s, Tesco et Morrisons) contrôlent la distribution. Les agriculteurs ne captent que moins de 1% de la marge sur les produits finaux, d’après une étude de l’université de Portsmouth. Face aux pertes, ils réduisent leur production pour limiter les dégâts. (Le Monde, Cécile Ducourtieux, 01/06)
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En mai 2023, le rythme de l’inflation en France a ralenti, passant de 5,9% en avril à 5,1% en mai par rapport à 2022, selon les chiffres provisoires de l'Insee. Cette baisse inattendue est en grande partie due à la diminution des prix du pétrole et du gaz, qui sont revenus à leurs niveaux de fin 2021 avant la guerre en Ukraine. Cependant, le gouvernement reste préoccupé par le niveau élevé des prix. La consommation des ménages a diminué, avec une baisse de 0,6% au premier trimestre par rapport à l'année précédente. Les dépenses alimentaires ont chuté d'environ 10% sur un an. La question principale est de savoir si le pic de l'inflation a été atteint et si la baisse va se poursuivre. C'est en tout cas le scénario privilégié par la Banque de France, qui prévoit une décélération rapide au cours de la seconde moitié de 2023. L'inflation a également eu un impact sur l'investissement des entreprises, qui a connu une baisse de 0,4% au cours des trois premiers mois de 2023, après avoir soutenu la croissance en 2022. (Les Échos, Nathalie Silbert, 01/06)
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Le gouvernement français se retrouve sous forte pression à l'approche de la publication des conclusions de l'agence de notation financière Standard and Poor's (S&P) sur la dette de la France, prévue pour le 2 juin 2023. Avec une dette publique s’élevant à près de 3 000 milliards d'euros, l'exécutif redoute une nouvelle dégradation de la note financière du pays, après celle réalisée par l'agence Fitch le 28 avril 2023. De plus, Paris prévoit de procéder à un nouvel emprunt de 270 milliards d'euros en 2023, dans un contexte où les taux d'intérêt continuent d'augmenter. Selon le site Fipeco, une augmentation d'un point du taux d'emprunt (passant de 3% à 4%) entraînerait un surcoût de la charge d’intérêt de 2,4 milliards d'euros la première année, de 16 milliards d'euros la cinquième année et de 10 milliards d'euros la dixième année. (Challenges, Thierry Fabre, 01-07/06)
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Le brevet européen unitaire entre officiellement en vigueur ce 1er juin 2023, avec le lancement opérationnel de la juridiction unifiée du brevet. Il ne remplace pas le brevet européen classique ni les brevets nationaux. Ces trois systèmes coexisteront et pourront être combinés par les entreprises pour une meilleure protection de leurs innovations. Pour pouvoir faire une demande d’effet unitaire, la procédure de délivrance d’un brevet européen classique doit être finalisée auprès de l’Office européen des brevets (OEB). Avec ce nouveau dispositif, « les titulaires pourront faire respecter leurs brevets de manière plus simplifiée et plus rentable, en particulier dans le cas d’une contrefaçon transfrontalière impliquant des brevets prenant effet dans plusieurs États », selon un porte-parole de l’OEB. Cependant, « un tel système centralisé signifie que cette Cour unique pourrait également révoquer un brevet européen dans les 17 pays pour lesquels elle est compétente à ce jour », prévient-il. (Les Échos, Chantal Houzelle, 01/06)
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Malgré le manque de souffle économique en Chine en mai, qui a jeté un froid sur les marchés le 31 mai 2023, les États-Unis et l’Europe ont évité la récession. L’indice PMI manufacturier en Chine a accentué sa contraction, alors que la croissance dans les services commence à ralentir. La croissance dans les services se tasse, renforçant les craintes sur la consommation des ménages, soutenue par l’excès d’épargne. Selon Didier Borowski, responsable de la recherche sur les politiques macroéconomiques chez Amundi Institute, cette épargne s’est largement normalisée. Il prédit un net tassement de la consommation d’ici fin 2023, en raison des situations d’épargne des ménages, qui sont de plus en plus sous pression. (L’Agefi Quotidien, Fabrice Anselmi, Xavier Diaz, 01/06)
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Synthèse réalisée par Cision-L'Argus de la Presse
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